Alcool (synonymes argotiques) : Antigel, camphre, carburant, casse-gueule, casse-patte, chane, charge, cogne, coupe-la-soif, cric, élixir, hussard, en quatre, ginglard, gnôle (gniole, gniaule), gobette, gobelette, goutte, pousse-au-crime, raide, schnaps, tafia, tord-boyau(x), vitriol.
Boire (synonymes argotiques) : S'arroser l'avaloir ou la dalle ; s'arsouiller, biberonner ; chauffer le tour le four ; biturer ; bituriner ; chopiner ; cuitarder ; cuiter ; dégringoler ; descendre ; écoper (boire à petites gorgées) ; écluser (un godet), écraser un grain, s'enfiler un verre, entonner, s'envoyer un coup, ...
– Familier : éméché, imbibé, parti, plein comme un œuf, plein comme une outre, pompette, saoul, schlass, soûl, soûl comme un Polonais, soûl comme une bourrique, soûl comme une grive.
VINOPHILE : Définition de VINOPHILE.
Personne qui aime boire du vin, des boissons alcoolisées. ➙ alcoolique. Un buveur invétéré.
L'alcoolodépendance est une addiction à l'alcool sous forme de boissons plus ou moins « fortes ».
Etre bourré comme un coing : être complètement ivre (variantes : comme une cantine, comme une danse auvergnate, comme un pétard). Se cramer le burlingue : boire de l'alcool fort en grande quantité. Etre chaud comme un marron : être ivre. Se noircir comme un corbeau : s'enivrer.
Dans le registre argotique nous avons tout d'abord "avoir gorgeonné"; "être beurré", "être beurré comme un Petit LU", "être bituré", "être bourré", "être bourré comme un coing", "être cramé", "être cuit", "être cuité", "être déchiré", "être murgé", "être paf", "être pinté", "être plein", "être raide", "être torché".
Nom commun
(France) (Péjoratif) Personne adonnée aux boissons alcoolisées.
Verbe 1. Boire de l'alcool.
On dit dans le registre argotique "Une binouse" (ou "Une binouze"), "Une bibine" ou "De la pisse d'âne", pour désigner une bière (mais également une boisson) de mauvaise qualité. "Une mousse" appartient au registre familier.
Connaissez-vous donc les cousins du café? Ils s'appelaient «cafemar, cafeton, cafio, cahoua, cahoudji».
ivrogne \i. vʁɔɲ\ masculin et féminin identiques (On dit aussi ivrognesse pour une femme.) Personne qui s'enivre régulièrement ou qui boit avec excès.
Synonyme : alcoolique, buveur, dipsomane, éthylique. – Argotique : biberonneur. – Familier : boit-sans-soif, éponge, pilier de bar, pilier de cabaret, pochard, sac à vin, soûlographe.
1. Ensemble des règles et des cérémonies qui se pratiquent dans une Église particulière, une communauté religieuse : Le rite romain.
Il vous écrit quand il a bu
Tout le monde le sait, lorsqu'on a bu quelques verres, toutes les gènes et les inhibitions s'envolent comme par magie. Si dans ce moment-là, vous êtes la première personne qui lui vient à l'esprit, celle dont il attend le message, c'est forcément que vous êtes celle qui lui manque.
Meilleurs conseils pour décuver en soirée
Déjà, tu peux commencer à boire plusieurs verres d'eau. Ça permettra d'hydrater tout ton corps. Tu auras (un peu) moins mal à la tête et l'estomac. Pour faciliter la tâche de ton corps, on t'invite à ne plus boire d'alcool.
Lorsque votre ami a trop bu, il est vulnérable alors préparez-vous à avoir quelques bons réflexes ! Si votre ami est trop ivre, restez avec lui. S'il commence à se sentir mal, parlez-lui pour le garder conscient, partez prendre l'air ensemble, restez près de lui s'il vomit, calmez-le s'il devient agressif.
Déjà en 1542, Rabelais mentionnait dans Pantagruel le “nez à pompettes” pour qualifier le nez d'un ivrogne. Il est donc probable que cette expression trouve son origine dans les temps anciens. Aujourd'hui, on dit de quelqu'un qu'il est pompette lorsqu'il s'est légèrement enivré après une consommation d'alcool!
L'origine de cette expression, qui date de la seconde moitié du XXe siècle, reposerait sur le four et la cuisson, notamment le four dans lequel on réalise la cuite de la porcelaine, évoquant la chaleur et le changement d'état.
Pour certains, boire tous les jours est une habitude. Sans être jamais ivres, ils n'en sont pas moins en danger. Pour d'autres c'est plus spectaculaire : l'alcool est essentiellement lié à la fête. S'ils ne boivent pas en semaine, ils peuvent se soûler le week-end.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
un désir de consommer des boissons alcoolisées puissant, compulsif, irrésistible. le besoin de boire toujours plus pour ressentir l'ivresse. l'apparition de symptômes de manque lors d'arrêt de la consommation. une consommation persistante malgré la survenue de problèmes liés à la consommation d'alcool.
Adjectif. (Médecine) Qui a un besoin maladif de boire des boissons toxiques (en particulier de l'alcool) lors de crises intermittentes.