Je m'en fous, je m'en moque.” Une autre façon un peu différente cette fois de dire qu'on s'en moque, que quelque chose ne nous touche pas, eh bien, on peut dire “ça m'est égal”. Ça, c'est plus courant, c'est presque soutenu.
Le pronom démonstratif peut également se montrer fort utile dans une construction de phrase : « cela m'indiffère » ou « ça m'est égal » peut remplacer « je m'en fous » avec une certaine sobriété dans un contexte professionnel.
– Littéraire : n'avoir cure de. – Populaire : s'en balancer, s'en branler, s'en foutre, n'avoir rien à cirer de, n'avoir rien à foutre de, s'en tamponner le coquillard, s'en taper.
déf.
je m'en moque, je ne m'en soucie guère, je n'en ai r [...]
Qui est impertinent, désinvolte : Réponse outrecuidante.
je-m'en-fichisme
Attitude de quelqu'un qui manifeste une indifférence totale à l'égard des événements.
Il y a le « je m'en fous » égocentré qui est une protection, un évitement provenant du vécu de la personne qui se mure. Il y a le « je m'en fous » équanime, qui signifie ça m'est égal, tout me va, signe d'une grande ouverture, d'une absence de peur d'être vulnérable car il y a confiance sans contrôle.
Pour indiquer l'existence de quelque chose, les équivalents de il y a sont il existe , il se trouve , plus rarement il est .
Locution verbale
(Familier) Se désintéresser ou être totalement indifférent de la chose ou personne en question.
Question d'origine : Quel est la différence contre « je m'en fiche » et « je m'en fous »? Ils signifient tous les deux "je m'en moque" mais ne sont pas du même registre de langue. "je m'en fiche" est familier. "je m'en fous" est vulgaire.
bambin, bébé, gamin, gamine, tout-petit. – Familier : bout de chou, bout de zan, chérubin, gosse, marmot, mioche, moustique, moutard, pitchoun, pitchounet, poussin, puce, tête blonde. – Populaire : chiard, lardon, loupiot, loupiote, minot, môme, morpion, mouflet, têtard.
Je suis amoureuse de toi. C'est simple mais efficace!
abominer, avoir en horreur, avoir horreur de, exécrer, haïr, répugner à.
faux, mensonger, trompeur. – Littéraire : fallacieux.
Se la joue indépendant: Il est souvent occupé, mais quand il ne l'est pas vos moments ensemble sont des beaux moments de qualité et la conversation est stimulante. S'en fout: Ça prend tout pour réussir à vous voir, et il n'a jamais rien de nouveau à te raconter.
irritabilité ; frustration ; perte d'intérêt pour le travail, la vie sociale ou les loisirs ; indécision ou incapacité à se concentrer.
➙ blagueur, goguenard, gouailleur. Inspiré par la moquerie. ➙ ironique, narquois, railleur.
ignorant adj. et n. Qui ne sait rien, qui manque d'instruction, de culture générale...
complaisant, coulant, indulgent, libéral, permissif, tolérant. Contraire : absolu, autoritaire, intraitable, intransigeant, rigide, rigoriste.
Laconique vient du grec lakônikos, « de Laconie » (région de Sparte). Les Laconiens avaient en effet la réputation d'être des gens concis ! – du latin taciturnus, « silencieux », taciturne désigne quelqu'un qui parle peu par humeur ou par tempérament. Synonyme : taiseux.
Il n'existe pas de terme unique pour désigner une personne qui pense avoir toujours raison sur tout, mais il existe plusieurs mots qui peuvent s'en rapprocher selon le contexte. On pourrait appeler cette personne un égocentrique, un dogmatique, un intolérant, un prétentieux.
La logorrhée est un terme médical qui est principalement utilisé en psychiatrie. Ce trouble du langage est souvent constaté lors d'accès maniaques chez des personnes bipolaires ou maniaco-dépressives. Les personnes logorrhéiques peuvent présenter un débit de paroles entre 180 et 220 mots par minute.