L'amour courtois ou fin'amor d'après l'occitan, est une expression désignant au Moyen Âge la façon d'aimer avec courtoisie, respect et honnêteté, sa ou son partenaire, dans le but commun d'atteindre la joie (joï en occitan) et le bonheur.
AU MOYEN-AGE, L'AMOUR SOUS TOUTES SES FORMES
Le mot « charité », qui vient du grec, via le latin, s'est rapidement spécialisé pour désigner l'amour divin et l'amour se manifestant dans les œuvres, d'où le sens moderne de «bienfait envers les pauvres» (Petit Robert) qu'il a pris par la suite.
« Caresser l'écureuil, fouler la vendange ou mettre en perce le tonneau » sont des expressions tout droit tirées du Moyen Age et s'appliquent à l'acte sexuel.
Jusqu'au XIIIe siècle, bonjour s'écrivait en deux mots, bon jour, et signifiait « jour favorable, temps heureux ». Par la suite, « bon » et « jour » se sont soudés en une formule de salutation. Pensez-y la prochaine fois que vous le lancerez à quelqu'un.
baisier — Wiktionnaire, le dictionnaire libre.
Mais, au Moyen-Âge, on ne disait pas forcément "corvéable", mais on utilisait plutôt l'expression "taillable à merci".
— Voire, sire, mes que il vous plais. — Sa, conpter, mon amy, et oste decy.
Car au XIIe siècle, le o de o il - que l'on écrit oïl - se prononce "ou" : on en est donc à ou-il. Au siècle suivant, le l final devient muet, comme dans gentil ou fusil (les linguistes parlent d'amuïssement). Notre "oui" est né.
Le latin est alors la langue maternelle de la majorité de la population de l'Empire d'Occident et partout la langue véhiculaire. Le latin écrit est partout le même, tandis que le latin parlé varie selon les provinces, sans que cela nuise à l'intercompréhension.
L'âge au premier rapport sexuel s'est stabilisé au cours de cette dernière décennie (Graphique 1) et s'élève aujourd'hui à 17,6 ans pour les filles et 17,0 ans pour les garçons, sans différence notable selon le milieu social.
Il ne devait pas y avoir beaucoup de préliminaires à cette époque. Les hommes et les femmes préhistoriques n'étaient peut-être pas raffinés dans leur sexualité, mais ils devaient quand même s'apprécier, s'aimer. Les squelettes féminins que l'on a retrouvés sont couverts de parures.
L'homosexualité existait donc bien chez nos ancêtres préhistoriques, même si elle a été longtemps taboue chez les scientifiques. Sexe entre femmes, entre hommes, scènes de zoophilie ou de masturbation, représentations magiques ou obsessionnelles de sexes fendus ou en érection, Cro-Magnon ne s'interdit rien.
L'amour courtois n'est ni libertinage, ni passion brutale, il est presque une ascèse pour le chevalier, qui doit, pour mériter la femme qu'il aime, se soumettre entièrement à elle. La dame est suzeraine, le chevalier est son vassal.
À cette époque, les gens du peuple étaient tous unilingues et parlaient l'un ou l'autre des nombreux dialectes alors en usage en France. Seuls les «lettrés» écrivaient en «latin d'Église» appelé alors le «latin des lettrés», aujourd'hui «latin ecclésiastique», et communiquaient entre eux par cette langue.
On trouve le mot « dame » dans certaines expressions. Par exemple « Nostre-Dame » désigne la vierge Marie. « Ma dame » est une marque de respect dès le XIIIe siècle. Le sens s'affaiblit après le moyen-âge.
L'ancien français provient du roman, un ensemble de dialectes du latin vulgaire présents dans toute la romanité.
I. DAME n. f. XIe siècle, dama.
Du latin vulgaire au roman (5e - 10e siècle) Le français prend sa source linguistique dans ce que les philologues nomment le « roman », sorte de créole à base latine et ingrédients celtes et germains, parlé en gallo-romanie, puis sous les Francs et leurs héritiers.
Les Mérovingiens, puis les Carolingiens sont bilingues ou trilingues: Clovis parlait gallo-roman et vieux bas francique et écrivait en latin classique, Charlemagne parlait gallo-roman et vieux haut francique et écrivait en latin médiéval; Hugues Capet ( X e siècle) qui était de mère saxonne, semble avoir été le premier ...
bon vèspre ! ;bona serada ! bonne nuit ! bona nuèit ! [nuèch !]
L'un des plus traîtres est probablement dies natalis : a priori, on traduirait immédiatement par « jour de la naissance ». Et du coup, quand on lit dans une charte qu'une veuve fait célébrer des messes le « dies natalis » de son mari, on se dirait bingo, voilà un anniversaire.
Au Moyen Age et jusqu'au XVIIe siècle, on ne s'offre pas encore de " cadeaux ", seulement des présents ou des étrennes.
De l'ancien français repast (« nourriture ») dérivé de past (« nourriture ») venant du latin pastus (« pâture », « nourriture animale ou humaine »), de pasco (« faire paître »).