CALIN CÂLIN : -E CHERISUS, var. CHERAPL CHERUSNOILH(IG) parf.
Pokoù signifie « bisous » en breton mais il existe plusieurs variantes : Pokigoù : Des bisous ! Pokoù bras : Gros bisous ! Ur pokig bras : Un grand bisou !
En savoir plus. « Karantez », c'est « l'amour » en breton.
Forme de nom commun. Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
Étymologie. Du moyen breton mam.
Hollgaret : Chéri(e) Ma ael : Mon ange. Ma kalon : Mon cœur. Ma boudig koant : Ma jolie fée.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
une belle (fille) KAERENN f.
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
MAOUEZ , en vannetais bih. -IG b. -ed femme (en gal, loc. bonne femme, compagne...
BONSOIR NOZ VAT (deoc'h...) bonne soirée nozvezh vat (& nozad vat).
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
bara en français. Le dictionnaire breton - français contient 2 traductions de bara , les plus populaires sont : pain, gagne-pain . La base de données de traductions contextuelles de bara contient au moins 239 phrases.
« Au revoir » en breton se dit « Kenavo ». Kenavo est un mot si connu en Bretagne et en France, qu'il s'agit presque d'une signature de la région bretonne, d'un symbole à part entière.
À demain : Ken arc'hoazh.
Bienvenue ! Kenavo ! au revoir ! Yec'hed mat !
Ty et Ker en breton
Kêr est tout simplement un lieu où il y a de la vie : une maison, une ferme, un hameau, voire même une ville ! Ti signifie également « maison ».
Mat 'walc'h !
La seule manière de trinquer quand on est breton : Yec'hed Mat !
deiz-ha-bloaz laouen.
doux | kuñv | ag.
Tad, Tadig, Tata = Père, Papa. Mamm, Mammig = Mère, Maman.
Du moyen breton hoar, issu du vieux breton guoer , du proto-celtique * swesūr, lui-même de l'indo-européen commun * swésōr (« sœur »).