Reprenons : ti (anciennement orthographié ty), c'est la maison d'habitation, à laquelle on donne parfois un nom particulier. Ainsi, ti bihan mamm-gozh signifie « la petite maison de grand-mère ». Kêr est, quant à lui, l'élément le plus courant de la toponymie bretonne.
En breton moderne, le substantif kêr a plusieurs significations : « ville, village, villa » (anciennement « habitat fortifié », et « cité »), parfois « (le) chez soi, intérieur (ou home). » Par contre, la maison en tant que bâtisse se dit ti en breton.
Je vous suggère Ti Laouen ( la maison de la joie ou heureuse), se prononce ti la-ou-enne.
Plou- est un appellatif toponymique préfixé d'origine bretonne qui a pour sens « communauté » puis, par extension, « paroisse ». Il procède du moyen breton ploe, lui-même du vieux breton pluiu. Ce dernier terme est emprunté au latin plebs, plebis, « paroisse ».
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
Trev- signifiant “village”, ou fraction du Plou- justement, rassemblant quelques habitations. Ker- (Car- Caer-, etc.)
La longère est une maison bretonne typique, toute en longueur et de plain-pied pour celles dont le grenier n'a pas été aménagé par la suite. Généralement en granit, elle dispose d'un toit d'ardoises à deux pentes et dans la plupart des rénovations, de volets de couleurs.
En savoir plus. « Karantez », c'est « l'amour » en breton.
« Je t'aime » se dit « Da garan » en breton.
Da garout a ran ! Da garan !
On appelle image d'une application f (d'un ensemble A vers un ensemble B) l'image directe par f de l'ensemble de départ A. C'est donc le sous-ensemble de B contenant les images de tous les éléments de A, et uniquement ces images. On le note Im(f).
Pour démontrer que $F$ est un sous-espace vectoriel de $E$, on applique la caractérisation des sous-espaces vectoriels, c'est-à-dire qu'on vérifie que $0_E\in F$ et que, pour tout couple $(x,y)\in F^2$ et tout scalaire $\lambda\in\mathbb K$, on a $$\left\{ \begin{array}{l} x+y\in F\\ \lambda x\in F.
Imf := {w ∈ R3|∃v ∈ R2,w = f (v)}. Définition Si f : E → F est une application linéaire, son image, notée Imf , est donc l'ensemble des vecteurs de F de la forme f (v) avec v ∈ E : Imf := {f (v)|v ∈ E}.
En Bretagne, petite maison située à l'écart d'un village, souvent au bord de la mer, caractérisée par son toit pentu recouvert d'ardoises.
Étymologie. (Date à préciser) Du moyen breton liorz et lyorz , synonymes de luorz (« courtil, jardin »), lui même issu du vieux brittonique * lub-gorth, composé de lub (« herbe, légume ») et de gorth (« enclos »).
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
Étymologie. Du moyen breton mam.
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.
GRAND-MERE GRAND-MÈRE : MAMM-GOZH f. -où-k. (loc. mamm-baour), dim.
Une maison en meulière est une maison dont la maçonnerie est constituée de pierres meulières avec des joints réalisés par rocaillage. Il s'agit notamment de certaines villas construites au début du XX e siècle qui se distinguent par leur style architectural et leur ornementation inspirés par l'Art nouveau.
Le nom de «Maison-Blanche» peut, aujourd'hui, étonner les visiteurs tant les couleurs sont abondantes dans la crique du même nom. Il proviendrait du milieu du XIXe siècle, où un cabaret y était érigé et dont les murs étaient blanchis à la chaux. Facilement identifiable, il servait ainsi d'amer aux bateaux.
On les appelle des chaumières pour une bonne raison : les maisons normandes traditionnelles disposent de toits de chaume. Autrement dit, un mélange de seigle, de roseaux ou de blé fixé sur une structure en bois, construite avec les mêmes poutres que celles des colombages.
mabig, merc'hig, & dim.
A savoir le ar breton correspond à la particule française le ; de plus certains suffixes sont propres à la Bretagne et permet de repérer les noms made in breizh comme -ec, -ic, -ou, -an, -en, -egan, -egen, -ès, -ez.
Le noir pour les pays gallo : Rennais, Nantais, Dolois, Malouin, Penthièvre ; le blanc pour les pays bretonnants : Léon, Trégor, Cornouaille, Vannetais. Un drapeau synonyme de diversité et d'unité.