Éviter sa belle-mère. Éloignez-vous d'elle. Faites-le dès que vous commencez à vous énerver. Si le simple fait de passer du temps avec elle vous agace ou vous énerve, retirez-vous ou éloignez-vous de la conversation.
Discutez en privé.
Proposez d'emmener votre belle-mère prendre un café ou un déjeuner et demandez-lui de parler du problème avec vous lorsque vous êtes assises. Commencez par expliquer que vous n'êtes pas vexée ou en colère, mais souhaitez simplement comprendre pourquoi elle est aussi critique .
Dans un premier temps, il vaut mieux en parler avec son compagnon, en lui demandant de l'aide. Si on lui demande d'intervenir il risque d'être pris dans un conflit de loyauté. Mieux vaut aussi dire : « J'ai du mal quand ta mère m'aide avec le bébé. », plutôt que : « Ta mère est pénible ».
La détestation de la figure de la belle-mère se trouve alors affermie par la naissance de la famille nucléaire, qui bouleverse la donne. «Elle implique l'intimité du couple, il n'y a plus de place pour la belle-mère», résume Yannick Ripa. Ce contexte donne une nouvelle jeunesse au conflit avec les brus.
1. Une belle-fille toxique ne fait jamais preuve de sympathie envers sa belle-mère. Peu importe ce que la belle-mère traverse, elle ne montre jamais de compassion ou d'empathie pour elle et se présente rarement pour aider. Les seules personnes qui la soutiennent sont son mari, des amis proches et peut-être son fils.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Faites-le dès que vous commencez à vous énerver. Si le simple fait de passer du temps avec elle vous agace ou vous énerve, retirez-vous ou éloignez-vous de la conversation. Assurez-vous de vous excuser tranquillement ou de demander à quelqu'un d'autre à proximité ce qu'il pense du sujet.
Ne vous écrasez pas face à elle, et ne lui laissez pas croire qu'elle peut toujours avoir le dernier mot. Prenez des décisions sans elle, et montrez-lui que son avis n'est pas un élément indispensable comme elle peut le penser. Le plus important est d'avoir confiance en vous et de ne pas vous laisser intimider.
Affirmez votre autorité si elle essaie de diriger votre foyer. Si elle essaie toujours de contrôler la situation lorsqu'elle vient vous rendre visite, dites-lui qu'elle peut s'assoir et se détendre.
Elle est intrusive, manipulatrice, possessive, jalouse et parfois haineuse. Cette situation est particulièrement plus habituelle et prévisible entre une fille et sa belle-mère. Néanmoins, dans bien des cas, la belle-mère envahissante est la mère de la conjointe.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
« Une belle-famille envahissante peut générer une souffrance au sujet de laquelle il ne faut pas culpabiliser : chaque individu a droit au respect de son espace vital et, si celui-ci est menacé, il faut réagir ! » affirme Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne.
Avant de complètement couper les ponts avec vos beaux-parents, tentez de limiter vos fréquentations. Invoquez votre emploi du temps, vos rendez-vous incontournables, votre état de santé. N'hésitez pas à faire de petits « mensonges pieux ».
Vous avez le sentiment que votre vie d'adulte aurait pu être nettement plus épanouissante si vous aviez eu des parents différents. Vous êtes particulièrement peiné. e lorsque vos parents critiquent vos choix, votre mode de vie. Leurs propos ont tendance à vous blesser profondément et de façon assez récurrente.
Mère du conjoint ou de la conjointe. 2. Conjointe du père ou de la mère, pour les enfants issus d'un autre mariage, d'une autre union de l'un ou de l'autre.
Les mères narcissiques qui se sentent accablées par la maternité négligent leurs enfants, elles leur mettent la honte et les critiquent, parfois parce qu'elles sont trop nécessiteuses ou enfantines. Elles sont elles-mêmes dans le besoin et ne peuvent pas subvenir aux besoins de leur enfant.
Plus vous discutez ou vous opposez, plus vous alimentez un conflit présent ou sous-jacent. Il faut s'imposer, imposer ses choix, et prendre ses distances si besoin. Ne culpabilisez pas de ne pas prendre tous ses appels, ni de ne pas assister à toutes les réunions familiales. Surtout si elles vous pèsent.
Ces belles-mères toxiques aiment donner et imposer leur opinion. Elles n'ont pas la capacité de s'autocritiquer. Elles ne sont pas empathiques. Elles ne savent pas comment respecter les décisions de leurs enfants.
Ne pas répondre du tac au tac
Quand on a une belle-famille qui a pris l'habitude de dire tout ce qu'elle pense à haute voix, et en particulier de critiquer à peu près tout ce qu'on fait, on a envie de répondre aussi sèchemment pour ne pas se laisser faire.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Il est important de s'ouvrir à l'idée qu'une belle-mère toxique est prête à tout et n'a aucune limite. Elle aime donner son avis et imposer son opinion à tout va. Elle ne prend pas du tout en compte le fait que les individus face à elle sont des adultes au même titre qu'elle.
En effet, si la belle-mère est désagréable avec sa belle-fille c'est parce qu'elle ne veut pas lâcher son fils. C'est toujours son petit garçon qu'elle ne veut pas donner à une autre femme. Donc l'autre femme devient une rivale et cela créer une sorte de jalousie.
Votre présence peut également être un sujet de discorde. Essayez de ne pas trop passer chez votre enfant à l'improviste, même si c'est pour déposer un repas, un cadeau ou proposer votre aide. Si on a besoin de vous, on vous le fera savoir, dans le cas contraire ne soyez pas offusqué(e).