Agitation ou ralentissement psychomoteur presque tous les jours. Fatigue ou perte d'énergie tous les jours. Sentiment de dévalorisation ou de culpabilité excessive ou inappropriée (qui peu être délirante) presque tous les jours (pas seulement se faire grief ou se sentir coupable d'être malade).
Racontez tout ce qui vous tracasse, votre médecin triera. Donnez tous les indices présents, mais aussi passés, susceptibles de l'aider à poser son diagnostic. Soulever le problème si la relation avec votre médecin vous paraît insatisfaisante.
Créer un espace de dialogue
Pour aider une personne dépressive, il est essentiel de lui permettre de s'exprimer, d'essayer de la faire parler sans jugement pour savoir ce qui ne va pas. Le proche pourra lui rappeler qu'il est présent pour l'aider, et l'inviter à se livrer pour trouver des solutions.
Lorsqu'il dure anormalement longtemps et perturbe la vie quotidienne, on parle de dépression qui est une maladie nécessitant un traitement adapté.
Synonymes : abattement, affliction, amertume, cafard (familier), chagrin, dépression, ennui, mélancolie, morosité, nostalgie, peine… Exprimer et s'exprimer » Exprimer la peur, la joie, la tristesse, des sensations.
La durée d'un premier épisode dépressif est variable (de quelques semaines à plusieurs mois). La plupart des épisodes dépressifs dure moins de six mois. Si l'épisode dépressif est isolé, on parle de guérison.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Si on est mort, on ne vit plus, mais quand on dit : « Je suis mort de fatigue. », ça veut dire : « Je suis très très fatigué, je suis épuisé, je suis exténué, je suis mort de fatigue. » On peut aussi dire : « Je suis mort. » Si vous faites par exemple un jogging de dix kilomètres et vous rentrez en disant : « Ah, je ...
Prêtez une oreille attentive
Il ne s'agit pas de proposer des solutions à tous ses problèmes, mais d'être capable de dire: «Écoute, je sais que tu ne vas pas très bien en ce moment, est-ce que tu veux en parler?» ou «Je comprends que tu n'aies pas vraiment le moral, mais sache que je suis là pour toi».
Pour aider au mieux, il faut s'informer sur la dépression, en connaître ses symptômes, ses causes, ses traitements. Il est essentiel de considérer le malade comme une personne à part entière, capable de prendre des décisions, ou si son état ne le permet pas, de l'impliquer au maximum dans ses prises de décisions.
Apprendre à exprimer ses émotions
Les raisons de ressentir un mal-être sont nombreuses. La façon la plus naturelle d'exprimer sa souffrance est de ne pas hésiter à pleurer : souvent assimilés à un signe de faiblesse, les pleurs sont pourtant la meilleure manière d'évacuer une douleur profonde.
Détaillez le plus possible : parlez d'événements passés, d'addiction, de craintes, de dépression dans votre famille, etc. Tous ces éléments permettront à votre médecin de poser un meilleur diagnostic. Si vous en avez, parlez de vos idées suicidaires. En effet, 60% des suicides sont liés à un état dépressif.
Le millepertuis est une plante antidépressive aussi efficace que les antidépresseurs de synthèse [16]. C'est probablement l'antidépresseur naturel le plus connu et le plus étudié [17, 18]. Ses bienfaits font l'objet de nombreuses études scientifiques qui affirment que millepertuis et dépression sont intimement liés.
Les personnes qui ont vécu des épreuves (chômage, deuil, traumatismes) sont davantage susceptibles que les autres de souffrir de dépression. La dépression peut, à son tour, entraîner davantage de stress et de dysfonctionnements, ce qui aggraver la situation de la personne touchée et son état dépressif.
La question est de savoir s'il est possible de travailler sous antidépresseur. La réponse est oui, même en cas de dépression majeure et à condition d'avoir le bon traitement et d'être patient.
Synonyme : affligeant, angoissant, attristant, déplorable, déprimant, désolant, dramatique, funeste, lamentable, malheureux, navrant, pitoyable.
1 – « Il me manque un petit je ne sais quoi… Je l'ai perdu en même temps que toi… » 2 – « Parfois, quand quelqu'un part, une partie de toi part avec. » 4 – « Si un jour, je te manque, souviens-toi que je ne suis pas partie.
Un chasseur sachant chasser doit savoir chasser sans son chien. Didon dîna dit-on de dix dos dodus de dix dodus dindons. Si six scies scient six saucissons, six cent six scies scient six cent six saucissons. Trois gros rats gris dans trois gros trous ronds rongent trois gros croûtons ronds.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. La beauté est dans les yeux de celui qui regarde. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible.
Marcel Proust : « On ne guérit d'une souffrance qu'à condition de l'éprouver pleinement. » Hugo Victor : « Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. » Agnès Ledig : « Quand le chagrin est trop fort, il faut le jeter dehors. Les larmes sont là pour ça. »