Le craquage de l'eau est un processus aboutissant à la dissociation de l'hydrogène et de l'oxygène de l'eau, atomes composant la molécule d'eau H2O, par thermolyse, électrolyse ou radiolyse. La réaction thermochimique commence à haute température (entre 850 à 900 °C) pour devenir complète vers 2 500 °C.
L'électrolyse de l'eau est le procédé qui, à l'aide d'un courant électrique, permet la séparation de la molécule en ses deux éléments. La molécule d'eau, H2O H 2 O , est une molécule formée par deux atomes d'hydrogène et un atome d'oxygène.
L'opération qui consiste à obtenir à partir de l'eau (H2O) de l'hydrogène et de l'oxygène au moyen d'un courant électrique porte le nom d'électrolyse. Cette expérience de séparation de deux gaz peut être faite à la maison avec peu de matériel sophistiqué.
Électrolyse de l'eau
La molécule d'eau, soumise à un courant électrique au travers de deux électrodes, se dissocie en oxygène et hydrogène gazeux : c'est l'électrolyse. Le courant électrique dissocie la molécule d'eau en ions hydroxyde (OH)- à la cathode et en protons H+ à l'anode.
La cellule électrolytique est constituée de deux électrodes — habituellement en métal inerte dans la zone de potentiel et de pH considérée, typiquement du groupe du platine — immergées dans un électrolyte (ici l'eau elle-même) et connectées aux pôles opposés de la source de courant continu.
Il faut immerger les deux bouts d'un circuit électrique et récupérer les gaz qui s'échappent à proximité des branchements. Le dihydrogène (H2) émerge alors du premier contact et le dioxygène (O2) du deuxième.
Le procédé d'électrolyse consiste à faire passer un courant électrique dans l'eau (H2O), afin de la décomposer en dioxygène (O2) et dihydrogène (H2). Le dihydrogène est la forme moléculaire de l'hydrogène, qui peut être ensuite utilisé comme vecteur énergétique.
L'eau hydrogénée agit comme antioxydant en neutralisant les effets des radicaux libres. Il est préconisé d'en boire 1 à 3 litres par jour chez les personnes en bonne santé principalement à jeun et entre les repas. Lorsqu'elle est chauffée, elle perd tout son effet puisque l'hydrogène s'évapore.
Il existe trois méthodes pour fabriquer de l'hydrogène : l'électrolyse de l'eau, le reformage du gaz (ou vaporeformage) et la pyrolyse de méthane.
La méthode la plus employée est appelée « dissociation induite par collision » (collision induced dissociation, CID). Elle consiste à provoquer des collisions inélastiques entre les ions étudiés et un gaz inerte (par exemple N2 ou Ar) dans une cellule de collision.
Pratiquement, l'air est dépoussiéré, débarrassé de son gaz carbonique et de son humidité, comprimé vers 200 atmosphères, refroidi dans un échangeur, puis détendu jusqu'a 25 atmosphères. Une série de compressions et de détentes aboutit à la liquéfaction.
La combustion oxyfuel consiste à faire brûler un combustible fossile dans de l''oxygène pur. Elle produit de la vapeur d''eau et du gaz carbonique (CO2) quasiment pur, facile à séparer et à stocker (par CCS).
Les méthodes de séparation membranaire des gaz utilisent des membranes denses (pervaporation et perméation gazeuse) ou poreuses (diffusion gazeuse). Ces membranes permettent à certains gaz de passer et d'être éliminés, tandis que d'autre restent dans le flux du gaz d'alimentation.
Voici les équations des réactions ayant lieu aux électrodes : A l'anode (lieu de l'oxydation) : 2 H2O(l) → O2(g) + 4 H+(aq) + 4 e. A la cathode (lieu de la réduction) : 2 H2O(l) + 2 e- → H2(g) + 2 OH-(aq)
Ensuite, la production d'électricité à partir d'hydrogène est possible grâce aux piles à combustible. L'hydrogène y est combiné à l'oxygène de l'air pour générer un courant électrique. Ce mode de fabrication n'émet pas de gaz à effet de serre, seulement de la chaleur et de l'eau.
La division d'un atome s'appelle la fission nucléaire et ce processus a été découvert en 1938. La fission répétée de noyaux atomiques est une « réaction en chaîne X Source de recherche ».
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a assuré dans un rapport qui date déjà de 2019 que l'hydrogène est une énergie d'avenir. En effet, grâce à son faible rejet de CO2 cette énergie paraît être une alternative crédible. Effectivement associée à une pile à combustible, cette énergie ne rejette pas de CO2.
Mettre l'hydrogène au service d'un nouveau modèle
Mais l'hydrogène n'est pas une solution miracle du point de vue écologique. Il génère des pollutions, et son faible rendement le rend peu avantageux pour les usages où l'électricité peut déjà remplacer les énergies fossiles.
La lumière : Le soleil est le moyen le plus simple, mais pas toujours disponible. On met notre eau dans une bouteille en verre et hop quelques heures au soleil pour la dynamiser.
L'hydrogène a montré des propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes significatives et est reconnu comme une thérapie potentielle pour diverses maladies que ce soit pour les maladies cardio-vasculaires, le cancer ou d'autres pathologies dégénératives liées au stress oxydatif (B).
L'ionisation de l'eau survient lorsque la molécule de l'eau est séparée en hydrogène et en oxygène. Ce procédé est grandement facilité par un ioniseur d'eau , un appareil qui vous permet de profiter d'une eau alcaline, vivifiante et antioxydante!
Re : fabriquer un electrolyseur
Enfait c'est tout simple, une pile (3 volts ça va), une récipient plein d'eau avec le sel ou la soude pour rendre l'eau plus conductrice, et voilà.
L'électrolyse de l'eau est la décomposition de l'eau par le courant électrique en dioxygène et en dihydrogène. Le volume du dihydrogène est le double du volume du dioxygène. Le rôle de la soude est d'apporter les ions nécessaires pour rendre l'eau pure conductrice.
L'électrolyse est une méthode qui permet de réaliser des réactions chimiques grâce à une activation électrique. C'est le processus de conversion de l'énergie électrique en énergie chimique. Elle permet par ailleurs, dans l'industrie chimique, la séparation d'éléments ou la synthèse de composés chimiques.