Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».
1 & kariad m. -ridiami m. -ed f.
Bienvenue ! Kenavo ! au revoir ! Yec'hed mat !
Trugarez. C'est la façon la plus connue et la plus utilisée par les bretonnants. Mais « trugarez » ne signifie pas un simple « merci » breton.
Hollgaret = Chéri(e)
L'indispensable “je t'aime” se dit “da garan”. Et comme on dit en breton, n'eus netra kreñvoh eged ar garantez (rien n'est plus fort que l'amour).
Forme de nom commun
Forme mutée de genoù par adoucissement (g > cʼh). Tais-toi (Ferme la bouche) !
"Papa" se dit tadig. C'est le mot affectueux pour "père", ou tad. "Bonne fête des pères" en breton s'écrit gouel laouen tad.
OUI YA : ya da (& laouen, 'vat...), loc. EYA (ouais)...
BONSOIR NOZ VAT (deoc'h...) bonne soirée nozvezh vat (& nozad vat).
Étymologie. Du moyen breton mam.
Dans la pratique courante, on peut s'étonner d'entendre utiliser le terme de matriarcat comme désignant un trait particulier de la société bretonne.
Mat eo, mat ar jeu ganin.
CALIN CÂLIN : -E CHERISUS, var. CHERAPL CHERUSNOILH(IG) parf.
Les traductions de Je m'appelle Enora. en breton, entre autres, sont : Enora eo ma anv.
En allant souvent à l'essentiel : mont a ra ? / mat ar jeu ? / mat an traoù ? / mat ac'h a ? / penaos emañ ?… autant d'expressions qui correspondent à notre « comment ça va ? » en français.
À demain : Ken arc'hoazh.
« Bara » signifie « Pain » en breton.
deiz-ha-bloaz laouen.
hendad (grand-père) ; T : tad (père) ; M : mab (fils) ; W : wyr (petit-fils) ; B : brawt (frère) ; K : soit nai (neveu), soit nghefnder (cousin) ; C : goroyr (arrière-petit- fils) .
FILS MAB m. mibion (& -ed, -où) fils unique (& héritier) PENNHER m.
Komzomp brezhoneg gant hon bugale.
JOLI -E, -MENT KOANT, (fig.) BRAV(IG) /& -K (parf. iron.), anc. jolif (nf.)
Malgré son sourire béat sous un crachin humide, son ciré jaune, son bol de cidre et ses expressions, le Breton est quand même un être humain franchement sympa, souvent excellent camarade de soirée, qui ne demande pas mieux que de vous faire découvrir les beautés de sa région…
Le terme « bigouden » apparaît autour de 1830. Il désigne un élément de la coiffe que portaient les femmes de la région, un appendice de fil placé au sommet. Petit à petit, elles vont se faire appeler « Bigoudènes », ce qui donnera le pays des Bigoudènes et, enfin, le Pays bigouden.