À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Faut-il dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat sur l'appellation de cette viennoiserie agite la France depuis de nombreuses décennies. D'un côté, les Français du Sud-Ouest pour qui "chocolatine" est le terme correct, de l'autre, le reste du pays, qui opte plutôt pour "pain au chocolat".
Autrement dit : à Paris, faites comme les Parisiens et dites « pain au chocolat » ; et à Toulouse faites comme les Toulousains en disant « chocolatine » !
Dans le Nord aussi, on y apporte une petite spécificité : on dit « petit pain au chocolat », voire « couque au chocolat », aussi répandu en Belgique. A l'Est, une petite zone frontalière évoque ainsi le « croissant au chocolat ».
En Corse c'est Ni Chocolatine, Ni pain au chocolat.
Si vous êtes nouveau dans notre belle ville de Strasbourg, vous avez dû remarquer qu'on ne dit pas « pain au chocolat » ou « chocolatine », mais bien « petit pain », voire « petit pain au chocolat ».
A Marseille, le pain appelé presque partout flûte estt nommé restaurant.
pain au chocolat en breton
Traduction de pain au chocolat dans le dictionnaire français - breton : baraenn. pain au chocolat dans les traductions contextuelles a été trouvé au moins 9 fois.
“Les boulangers qui vendaient cette viennoiserie l'ont rebaptisée pain au chocolat pour qu'un lien soit fait avec leur métier. Ils ont également décidé de la renommer ainsi car elle se consommait au goûter et à cette heure-là, les gens mangeaient du pain avec un bout de chocolat”, dit le boulanger toulousain.
Pourquoi en Belgique un pain au chocolat est appelé une couque ?
À Marseille, comme dans une grande partie du pays, le pain au chocolat est roi. Mais attention, dans le sud-ouest, si vous vous y rendez, notre meilleur ami du petit déjeuner se dit "chocolatine".
Pourquoi dit-on chocolatine alors ? Ces pâtisseries viennoises sont à l'époque faites à base de pâte à brioche et de chocolat.
Surtout utilisée dans le sud-ouest de la France, la variante «chocolatine» domine dans la partie francophone du Canada. Alors que le «pain au chocolat» résonne dans la plupart des bouches d'Europe, le Québec lui préfère sa variante courte qui permet de savourer plus rapidement ce délice matinal.
Selon une enquête menée par une équipe de linguistes, l'expression pain au chocolat l'emporte haut la main dans l'Hexagone mais pas en Occitanie où la chocolatine est bien installée.
En Amérique latine et au Mexique, s'emploie le terme « chocolatine ». Dans les pays germanophones, on utilise le terme schokoladencroissant, tandis que dans le monde anglo-saxon, on parle généralement de chocolate croissant, ce qui signifie littéralement et dans les deux cas « croissant au chocolat ».
« Chocolatine » est réservé aux régions bordelaises et toulousaines. En Belgique, on emploie plus volontiers le mot « Couque au chocolat », mais « pain au chocolat » est aussi connu, alors que « chocolatine » est très marginal.
Si vous entrez dans une boulangerie toulousaine pour acheter votre traditionnel pain au chocolat, demandez une « chocolatine ». Oui, c'est ainsi que les habitants de la Ville rose (et du Sud-Ouest en général) nomment cette viennoiserie au chocolat.
En Autriche, le pain au chocolat désigne un cake.
De plus selon le chocolatier Nicolas Berger, le pain au chocolat consistait, au début, en France, en un petit pain que l'on fourrait d'un morceau de tablette de chocolat noir. Les écoliers en étaient friands pour le goûter.
« Chocolatine » est réservé aux régions bordelaises et toulousaines. En Belgique, on emploie plus volontiers le mot « Couque au chocolat », mais « pain au chocolat » est aussi connu, alors que « chocolatine » est très marginal.
Doit-on dire pain au chocolat ou chocolatine ? Le débat fait rage depuis des années. L'Alsace propose quant à elle une autre appellation, petit pain. Si certains politiques font encore des cauchemars à propos de son prix, le débat s'oriente plutôt vers l'appellation officielle de cette viennoiserie.
Étymologie. (1790) La forme est attestée une toute première fois dans un nom d'enseigne « Le café de la chocolatine » à Bordeaux, sans qu'on sache ce que désigne le mot. La première attestation d'usage avec un sens clair se trouve dans un article de Constance Aubert dans le journal L'Illustration.
Les résultats ont été retranscrits dans une carte sur laquelle le clivage est particulièrement marqué entre la France septentrionale, adepte du “croûton” et méridionale, qui utilise principalement le mot “quignon” pour désigner le bout de sa baguette. Entre ces deux zones, le crougnon est plébiscité.
De l'alémanique alsacien Schmutz (« bisou »).