– Argotique : bourre, roussin. – Familier : hirondelle, shérif. – Populaire : cogne, flic, keuf, perdreau, poulet, vache. – Vieux : sergent de ville.
Poulets, keufs, flics, condés…
Les forces de l'ordre ont, depuis toujours, eu droit à de nombreux surnoms plus ou moins affectueux. Mais saviez-vous que le sobriquet « poulet » ne désignait, à l'origine, que les policiers parisiens ?
Qu'en est-il alors de notre «keuf»? Selon le Petit Robert, ce verlan et apocope de «flic», serait apparu en 1978 avec le sens de «agent de police».
Étymologie de « condé »
Désigne à l'origine (argot du XIX e siècle) une autorisation, puis celui qui la donne ou la reçoit, enfin un policier. Le verlan décon est souvent employé pour son homophonie avec « des cons ».
Nom commun. (Populaire) (Au singulier) Policier ; agent de police.
À la fin du XIX e siècle, il y avait onze boutons sur la vareuse des policiers et ils se baladaient toujours par deux ; Cette expression viendrait aussi des prisons, ou des ouvriers typographes où le 22 viendrait de l'addition des chiffres correspondant au rang des lettres du mot « chef » dans l'alphabet.
Dans le langage des jeunes, il a pris la signification d'une alerte pour prévenir qu'une personne arrive. Il est, par exemple, utilisé par les guetteurs pour prévenir que la police arrive : "Arah, Arah, Arah (voilà les flics !)"
C'est lors des grands travaux du baron Haussmann que cette caserne est édifiée… sur un ancien marché aux volailles. Les parisiens ne tardent pas à assimiler les nouveaux occupants des lieux aux anciens. Les policiers parisiens deviennent des poulets et rapidement cette expression gagne l'ensemble du pays !
étym. De l'allemand schmied « forgeron », terme véhiculé chez les jeune par le romani (dialecte sinto). Le forgeron étant celui qui fabrique les menottes dont se sert le policier (Goudaillier) .
L'origine de cette appellation vient de la Préfecture de Police de Paris, qui prit effectivement ses quartiers sur l'île de la Cité en 1871, en lieu et place de l'ancien marché aux poulets de la capitale. Et, comme bien souvent, les nouveaux occupants du lieu prirent le nom de celui-ci.
Le gendarme a différents noms en argot : quand il poursuit le voleur, c'est un marchand de lacets; quand il l'escorte, c'est une hirondelle de la grève; quand il le mène à l'échafaud, c'est le hussard de la guillotine (Balzac, Splend.
Nom commun. Arme de poing, revolver.
Petit de la poule et du coq, mâle ou femelle, entre le moment où il perd ses duvets au profit des plumes, et le moment de sa maturité sexuelle.
Pour une femme, on peut dire « le policier » (surtout dans un sens générique), « la policière », « la femme policier » ou « la femme policière ».
(argot) poulaga nom masculin.
Nom commun
(Argot) Policier ou gendarme.
Les services de police en Russie (en russe : полиция ; transcription : politsiya) sont assurés au niveau fédéral. La police russe est rattachée au Ministère de l'Intérieur. Elle a été créée en 2011, en remplacement de la Militsia, l'ancien service de police.
Pourquoi les policiers touchent-ils la voiture ? - Quora. En fait c'est tout simple : s'assurer que le moteur est éteint lors du contrôle. Juste une mesure de sécurité, les nouveaux moteurs sont de plus en plus silencieux et suivant la circulation autour on n'entend pas forcément le moteur au ralenti.
Pandore en boîte!
Le langage populaire attribue encore parfois aux gendarmes le sobriquet de “Pandores“.
Le premier grade, celui de constable, également connu comme Police Officer, est celui du policier ordinaire, celui qui est directement en contact avec le public.
Animal. Un poulet mâle est un coquelet, un poulet femelle est une poulette.
90 € par jour pour les guetteurs
À un stade intermédiaire, un « gérant » qui a la main sur plusieurs réseaux de revendeurs (à ne pas confondre avec les « charbonneurs ») peut encaisser jusqu'à 250 000 euros par an. Revers de la médaille, c'est lui qui écopera des peines les plus lourdes s'il est pris.
Le guetteur - celui qui surveille si la police pénètre dans une cité où un quartier contrôlé par le trafic de stupéfiants (ndlr) - explique se «sentir en sécurité» dans son activité. Selon lui, il est plus simple de «rester entre ces murs» à attendre les clients et surveiller la zone où s'écoule le trafic.
Les acheteurs de shit et les guetteurs se barrent comme des voleurs en hurlant : « Arah, Arah, Arah », ce qui signifie en arabe : « V'là les flics ! » Je relève le vendeur et je suis estomaqué.