cabinets, lavabos, petit(s) coin(s), waters, W. -C. – Familier : pipi-room, tinette, vécés. – Populaire : chiottes, goguenots, gogues.
Définition "chiottes"
n.f. Pièce contenant un réceptacle permettant à une personne de se livrer à ses besoins de miction ou de défécation.
En France, on utilise souvent le sigle les WC (pour l'anglais water closet), les sanitaires ou les cabinets alors que les termes lieux ou cabinet d'aisances ou plus pudiquement encore, lieux, aisances, commodités, garde-robe ou privés ne sont plus guère utilisés ou utilisés dans des contextes plus littéraires ou ...
Dit-on le ou la toilette ? Souvent, on emploie ce mot au pluriel, les toilettes , et son genre n'est pas apparent. Mais le mot toilette est dans tous les cas un nom féminin : une toilette , la toilette .
cabinets, lavabos, petit(s) coin(s), waters, W. -C. – Familier : pipi-room, tinette, vécés. – Populaire : chiottes, goguenots, gogues.
Ce sont des latrines, suspendues au-dessus du vide. A l'époque féodale, les latrines en encorbellement, fonctionnant sur le principe de l'évacuation gravitaire, sont réservées aux édifices les plus cossus et les plus imposants.
Mot vulgaire et argotique pour parler des toilettes en tant que pièce ou en tant que cuvette. Exemple : J'ai refait la peinture de mes chiottes, hier. Par extension, c'est devenu un terme pour désigner une vieille voiture ou moto.
Le mot désigne "les lieux d'aisances" à partir du XXe siècle
Ensuite, comme cela arrive souvent dans la langue, par déplacement (on appelle cela une "métonymie"), on se met à désigner par le mot "toilette" cette table même où l'on pose éventuellement une cuvette.
bathroom [noun] (American) a lavatory.
Pour demander où sont les toilettes: excusez-moi, Où sont les toilettes?
En Belgique, le W se dit WOUA. De ce fait pour un wagon c'est WOUAAGON alors qu'un français dira Vagon. Le plus drôle c'est WOUAISC (comprenez WC)…
Demande à aller aux toilettes.
Ils préfèrent que l'élève utilise un autre signe de la main. Lève la main, attends patiemment qu'on t'appelle et demande la permission d'aller te soulager. « S'il vous plait, je peux aller aux toilettes, madame (monsieur) ? »
Pot de chambre; p. ext., le plus souvent au plur., lieux d'aisances. Synon. toilettes, chiottes (vulg.).
Éléments de confort ; aises de quelqu'un : Cet appartement a toutes les commodités. 2. Vieux. Lieux d'aisances.
Locution nominale assez surannée. Est apparue au début du XXe siècle et désigne les toilettes, les WC. Désignait littéralement un lieu où l'on soulageait ses besoins naturels. D'où le mot aisance, sensation qui en résultait.
S'essuyer de l'avant vers l'arrière
Si aucune limitation physique ne vous empêche de vous essuyer de l'avant vers l'arrière, cette méthode est généralement considérée comme la plus sûre, parce que vous éloignez les matières fécales des parties les plus vulnérables de votre corps, ce qui réduit le risque d'infection.
Idéalement, une à deux selles par jour, bien moulées et dont l'évacuation se fait facilement sont le témoins d'un transit normal. Manger à des horaires réguliers permet d'habituer l'intestin à des horaires réguliers pour aller à la selle et donc d'y aller plus souvent.
Dans ce cas l'erreur est double, car le mot « toilette » est toujours au féminin et quand il s »agit du lieu d'aisance il est toujours au pluriel. Ne dit-on pas « je fais ma toilette » et « je vais aux toilettes ».
Tuvalet bir, tuvalet iki, tuvalet üç, tuvalet dört, tuvalet beş.
Pour ne pas souiller son pantalon en s'accroupissant sur ses toilettes, Bert Vandegeim aurait noué son pantalon autour de sa tête à la manière d'un turban. Sa femme l'aurait alors comparé avec un padischah ottoman, donnant ainsi ce nom de "turques" aux toilettes tout juste inventées.
L'emploi du pluriel les toilettes , pour désigner par euphémisme un cabinet d'aisances, date du XXe siècle. Chiotte : nom féminin dérivé (1885) de chier, s'emploie au pluriel pour "cabinets (d'aisance)" ; l'emploi au singulier (XXe siècle) entraîne parfois le passage au masculin.
Au Moyen Âge, comme avant au cours de l'Antiquité gréco-romaine et égyptienne, l'essuyage des fesses à l'aide d'un tissu dédié (et non un morceau de vêtement) est l'apanage des élites. Balle de laine, filaments de chanvre ou de lin (…) mais aussi dentelle, à chacun sa fibre.
Les latrines sont les toilettes. Dans les châteaux, on trouve des latrines en encorbellement. C'est un petit édicule construit sur le mur de l'enceinte qui laisse s'évacuer les déjections par un orifice dans le sol. Celles-ci tombent alors dans le fossé engendrant des saletés et des odeurs pestilentielles.
Au Moyen Âge, on se lave fréquemment, pour être propre, mais surtout par plaisir. En effet, se laver, se baigner est une réelle habitude dans les villes médiévales car l'eau est considérée comme bienfaisante et purificatrice.