Saviez vous que "En Belgique, une serviette de bain se dit un essuie de bain."
En Belgique et en Amérique du Nord, un torchon est un linge servant à nettoyer les sols, qu'on appelle en France serpillière. En Lorraine, la serpillière est également appelée « torchon de plancher ».
En Belgique, le W se dit WOUA. De ce fait pour un wagon c'est WOUAAGON alors qu'un français dira Vagon. Le plus drôle c'est WOUAISC (comprenez WC)…
clignoteur n.m. En Belgique, clignotant.
Cela peut être utile, surtout si votre chef vous demande par exemple : “est-ce que tu sais me donner une latte (règle)”.
(Nord et Belgique) La drache, c'est la pluie et quand «il drache», il pleut. (Nord) «Viens, on va faire el'ducasse», c'est du chti, ça veut dire «viens, on va faire la fête».
La plus célèbre expression belge, celle que les Français portent au pinacle du "parler belge" est celle de l'invitation à son fils d'un père souhaitant les explications de celui-ci: Arrivez une fois, fiske ! Pour faire court, "Une fois" signifie tout ce que vous voulez, sauf une fois (p.r. à deux fois ou plus).
1. La drache. « La drache » est peut-être le mot le plus important à apprendre quand on va en Belgique.
Wallon, français régionaux et français "commun" de Belgique
On confond encore souvent les parlers wallons et les français régionaux de Belgique alors qu'ils représentent une réalité linguistique complètement différente.
Non, peut-être : expression bruxelloise pour dire « oui, bien sûr » !
La soirée commence à 18 h, heure à partir de laquelle on se salue avec goedenavond (bonsoir). Contrairement au français, goedenacht (bonne nuit) ne s'utilise pas uniquement pour dire au revoir ou aller se coucher, mais aussi pour saluer quelqu'un au cours de la nuit (entre minuit et 5 h 59 au sens strict).
Dès la fin du XVIIIème siècle, on utilisait l'expression "le torchon brûle" pour dire que l'atmosphère était à la querelle. Le terme "torchon" se rapportant à "torcher" qui signifie "se battre" et le verbe "brûler" signifiant familièrement "se rapprocher".
Les torchons s'utilisent pour se sécher les mains, essuyer la vaisselle et nettoyer le plan de travail. Ils ramassent alors toutes sortes de saletés au fil des usages et deviennent un foyer à microbes. Quand ils sont humides, les bactéries y prolifèrent à une vitesse exponentielle.
Le 14 mai 1941, Pierre Bocquet, un ingénieur vosgien, diplômé des Arts et Métiers, dépose le brevet d'un « tissu à épaisseur irrégulière pour usages multiples ».
exp. s'il vous plaît ! o. alstublieft!
« Comme des diables »
Et si les Belges n'ont pas toujours évolué en rouge dans leur histoire, leur petit surnom s'y est adapté : les Diables Blancs dans les années 1970 ou encore les Diables Noirs au début des années 2000.
On prononce donc « bru-sèl », et non « bruk-sèl ». L'habitant de la capitale le « bruxellois » se prononce donc logiquement « bru-sè-loi » et « bruxelloise » : « bru-sè-loiz » pour les filles.
(Argot bruxellois) Pénis.
Au départ curiosité botanique importée en Flandre depuis les Andes, la pomme de terre devient au XVIIIe siècle le « pain des pauvres ». Sa culture favorise une hausse de la productivité qui contribue à son tour à une forte croissance démographique dans les couches les plus pauvres de la population.
patatkraam ; frietkraam [Bel.] ; frietkot [Bel.] ; frituur [Bel.] exp. nf.
(Familier) Personne qui manque de compétence, de savoir-faire.
Si vous êtes amateur/amatrice de bière, vous connaissez peut-être déjà le cocktail demi-pêche. Ce cocktail à base de bière et au sirop de pêche est tellement bon qu'il mérite qu'on vous partage la "recette" !! Verser le sirop en premier dans le verre, puis verser la bière.