réplique au contre-argument Donnez une raison pour laquelle il devrait être soit réfuté (non considéré), en partie admis (accepté comme étant un bon point, sous certaines conditions), devrait amener à une nouvelle idée ou à une alternative (révision d'une affirmation) ou concédé (accepté comme étant un point valide).
Pour cela on utilise un certain nombre de petits mots, comme par exemple : « vous affirmer que », « je suppose », « j'ai l'impression », « je crois », « j'imagine », « vous semblez croire que », « vous prétendez que »… Vous voyez que là, vous êtes en train de reprendre l'argumentation de l'individu.
Les plus courants sont l'argument logique, l'argument d'expérience, l'argument de valeur, l'argument d'autorité et l'argument ad hominem.
Pour commencer votre argumentation il faut être clair sur vos objectifs : annoncez-les clairement puis argumentez pour les atteindre. Dans la mesure du possible, vos arguments doivent être nourris par des faits précis et indiscutables, afin d'éviter que votre interlocuteur puisse les remettre en cause.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
Pour être irréfutable, un bon argument sera fondé sur des faits indiscutables, des cas concrets, des expériences précises, des données chiffrées. Et surtout, tel un lapin, il ne sortira pas du chapeau. Pas de tour de prestidigitation, rien que du rationnel conduisant votre interlocuteur à la conclusion souhaitée !
Nous pouvons donc dire que lorsqu'une opinion repose sur des prémisses, elle devient la conclusion d'un argument. « Pierre est un grand joueur d'échec. De plus, c'est un très bon chercheur. Donc Pierre est intelligent” constitue un argument.
Pour affirmer que l'on est bien en présence d'un argument, il importe donc... de montrer celui-ci : montrer ses prémisses, sa conclusion et le raisonnement qui les relie. Et pour mener l'enquête qui conduit à identifier un argument, nous suivrons en grande partie la procédure proposée par (Johnson & Blair, 2006: 11).
l'argument d'expérience (« l'expérience montre que… ») ; l'argument d'autorité qui s'appuie sur une personne célèbre ou reconnue (ex. : « Aristote dit que… », « le journal Le Monde écrit que… », etc.) ; l'argument ad hominem qui met en cause la vie privée de l'interlocuteur.
Exprime-toi à voix haute, intelligiblement et calmement en soignant ta gestuelle et en posant ton regard. Respecte ton interlocuteur/trice et attends la fin de son propos avant de lui répondre. Rebondis sur ce qui vient d'être dit sans avancer immédiatement un autre argument.
Pour soutenir un point de vue, une opinion, l'énonciateur utilise des arguments. Ce sont des faits ou des idées qui prouvent qu'il a raison. On utilise des des exemples pour rendre plus clair et illustrer un argument.
- des adverbes ou conjonctions marquant l'opposition et servant de connecteurs logiques à la réfutation : cependant, mais, néanmoins, en revanche, au contraire, or… - des tournures négatives : ne…pas, ne…plus, ne… point…
En règle générale, un argument solide doit être étayé par des preuves solides, logiques et cohérentes. Les contre-arguments doivent également être étayés par des preuves et être logiques. L'objectif est de créer un dialogue constructif et de trouver la vérité en examinant tous les points de vue.
Ecrivez de manière informelle : sans être trop « cool » dans votre style d'écriture, ne soyez pas trop rigide non plus. Le client doit se sentir à l'aise avec des mots simples, qu'il comprend et pas avec des phrases trop techniques dans lesquelles il ne saisirait qu'un mot sur deux.
Si vous voulez faire admettre à votre interlocuteur quelque chose d'inadmissible pour lui, vous avez tout intérêt à vous justifier par un discours d'une logique parfaite et d'une argumentation inattaquable. Pensez à recourir à un ton neutre et de vous en tenir le plus possible aux faits.
« Qu'est-ce qui vous amène dans notre boutique aujourd'hui ? » et « Comment puis-je vous aider ? » sont deux exemples de questions ouvertes qui fonctionnent très bien pour poursuivre la conversation. Les questions ouvertes inciteront le client à discuter avec vous contrairement aux questions fermées.
Pour convaincre quelqu'un de changer d'avis, il est tout à fait inutile de lui expliquer pourquoi il a tort. La clé, c'est de prendre en compte l'opinion de l'autre, ainsi que les arguments qui le poussent à penser de cette manière.
Argumenter, ou chercher à convaincre, c'est utiliser des moyens rationnels et logiques pour démontrer la vérité ou de la fausseté d'un fait. C'est chercher à faire comprendre par une démarche essentiellement intellectuelle, en ayant recours au savoir, aux connaissances et à la logique.
Pour ajouter un argument : Ensuite - Puis - De plus - En outre - Dans un deuxième temps... Pour ajouter un argument contraire au précédent : Cependant - Néanmoins - Pourtant - En revanche... Pour introduire un exemple : Ainsi - En effet - Par exemple... Pour conclure le texte : Pour conclure - En somme - Finalement...
II Le champ de l'argumentation :
Argumenter c'est raisonner, proposer une opinion à d'autres en leur donnant de bonnes raisons d'y adhérer, Argumenter n'est pas convaincre à tout prix, ce qui suppose une rupture avec la manipulation au sens où celle-ci n'est pas regardante sur les moyens de persuader.