On écrit «tu m'aides», mais «aide-moi». Au présent de l'impératif, les verbes en er n'acceptent pas de s à la deuxième personne du singulier, contrairement à ce qui est la règle au présent de l'indicatif. Simple? Pas vraiment.
à la forme positive, sauf lorsqu'elles sont suivies de en : Parle-moi !
L'impératif est seulement utilisé avec trois personnes ("tu", "nous" et "vous"). Il n'y jamais de pronom sujet. À la forme affirmative, la conjugaison est similaire à la conjugaison des verbes du présent de l'indicatif : Prendre → Prends ! / Prenons → Prenez !
Comment conjuguer l'impératif ? L'impératif présent se conjugue à trois personnes (tu, nous, vous) et sans pronom précédant le verbe. Au présent, à la 2e personne du singulier, les verbes du 1er groupe se terminent sans s, sauf lorsqu'ils sont suivis de “y” ou “en” : mange ! Manges-en un peu !
Commencez vos propos par une formule comme : “À vrai dire, je suis content que vous m'ayez posé cette question”, même si c'est faux. Mettez-y du ton dans la voix. Prenez le dessus et entamez une allocution qui présentera les choses à savoir sur vous. Préparez-vous un petit discours d'une minute, bref et précis.
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) !
Si l'on peut remplacer le « ce/se » par « me » ou « te », il faut écrire « se » (ou « s' »). Sinon, il faut écrire « ce » (ou « c' »), qu'on peut souvent remplacer par « cela » : Il s'est donné des objectifs.
Même s'il est fréquent d'employer nouvelle au pluriel ("Donne-moi des nouvelles"), le nom, précédé du déterminant "aucun", reste au singulier : "Je n'ai reçu aucune nouvelle de lui" (qui sous-entend "pas une seule nouvelle").
Il faut écrire : Va-t'en dès que possible si tu ne veux pas rater le bus. « Va » n'a pas de sujet exprimé, signe qu'il s'agit de l'impératif, et le « t » présent ici est en fait le pronom « toi » : dans ce cas-là, il est suivi d'une apostrophe. On écrit « va-t'en » et non « va-t-en ».
la phrase impérative exprime un ordre, un conseil ou une défense et se termine par un point (.) ou un point d'exclamation (!). Exemple : Cesse de m'éclabousser avec ta peinture !
L'imparfait est principalement le temps de l'inachevé, de l'action qui dure dans le passé. Ses terminaisons sont les suivantes : ais, ais, ait, ions, iez, aient. Quand utiliser l'imparfait ? L'imparfait de l'indicatif présente une action réelle qui dure dans le passé.
– éloquent : vous vous exprimez avec aisance et votre discours est de qualité. Vous savez captiver votre auditoire tant par le fond que par la forme ; – disert : vous parlez avec facilité et élégance. Autrement dit, vous avez la parole facile !
On lie le tout par un trait d'union. On écrit donc « profite bien » et « profites-en bien ». Attention – cas particulier du cas particulier, c'est le comble ! – si les pronoms « en » ou « y » dépendent d'un infinitif et non directement du verbe à l'impératif, il n'y a ni « s » ni trait d'union.
Vous est un substitut de "tu" dans le "vous de politesse" ou "vouvoiement". "On", pronom exclusivement sujet, désigne quelqu'un, singulier collectif ou vrai singulier, que l'on ne peut ou ne veut nommer : "En Provence, on produit la meilleure huile d'olive."
Au fil des siècles, on a rajouté un -s à l'impératif de tous les verbes, même des verbes en -er, par analogie avec la 2e personne du singulier de l'indicatif présent, puisque ces formes se prononcent de la même façon et que le -s est perçu comme la marque de cette personne.
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous et ce, sans sujet exprimé. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion. En général, l'impératif est identique au présent de l'indicatif à l'exception près qu'il n'a pas de sujet.
La phrase impérative (dite aussi « injonctive ») se termine par un point ou un point d'exclamation. Elle sert à exprimer : un ordre : Écoute-moi !
«Pense à moi».
C'est le cas avec les pronoms « moi » et « toi », qui s'élident devant les pronoms « en » et « y ». Les voyelles de ces pronoms sont remplacées par une apostrophe : « Donne-m'en » et non « donne-moi s'en », avec un « s » ou un « z » qui sortirait d'on ne sait où.
Tous les verbes du premier groupe prennent un "s" quand on les conjugue à la deuxième personne du singulier au présent de l'indicatif. Avec les verbes en "ir" comme "bondir", ou en "re" comme "descendre", il y a encore un "s" avec "tu". Et "voir" prend lui aussi un "s" au présent et devient "tu vois".
Du latin eloquens, « qui parle bien », l'adjectif éloquent s'attache à la qualité du discours. Il est très utile pour saluer l'aisance avec laquelle une personne s'exprime. Quelqu'un d'éloquent saura captiver son auditoire tant par le fond que par la forme.