Les deux orthographes sont correctes mais « autant pour moi » et « au temps pour moi » ont des sens très distincts ! L'expression « autant pour moi » peut être reformulée par « la même chose pour moi ».
Soit l'on considère, comme l'Académie française, que la seule graphie valable est "au temps pour moi !", soit l'on considère que les deux expressions coexistent, avec une nuance de sens : "au temps pour moi !" pour "reprenons au moment où je me suis trompé", et "autant pour moi !" pour "j'ai moi aussi commis une erreur ...
Quand doit-on utiliser « au temps » et « autant » ? Lorsque l'on commet une erreur et que l'on désire se faire pardonner en l'admettant, on écrit : « Au temps pour moi » et non « Autant pour moi ». On emploie « Autant » s'il est question d'une chose ou d'une quantité identique et non d'une erreur.
L'injonction « au temps ! » enjoint la personne à reprendre le mouvement au premier temps lorsqu'il a fait une erreur. C'est ainsi que l'expression « au temps pour moi » est née. Elle est utilisée pour admettre son erreur et signifier qu'on va reprendre le problème à son origine et reconsidérer la solution.
L'orthographe correcte, selon l'Académie française, est « au temps pour moi ». Cette expression familière et réservée au langage l'oral provient de l'injonction militaire « au temps ! », qui commande la reprise d'un mouvement depuis le début.
La bonne orthographe est Au temps pour moi. Autant pour moi est de plus en plus utilisé, mais est toujours considéré comme une faute. « Au temps pour moi » est considérée comme la bonne orthographe de l'expression par l'Académie française.
Pour utiliser pour autant, il est nécessaire que la phrase contienne une négation (en gras dans l'exemple). Pour autant signifie le plus souvent « pour cela, pour cette cause », comme dans la phrase : « Les résultats de cette année sont meilleurs mais ne sont pas satisfaisants pour autant. »
Autant pour moi est une expression que l'on utilise pour reconnaître son erreur, pour avouer que l'on s'est trompé sur quelque chose. Orthographe : Cette orthographe est controversée et la graphie "au temps pour moi" est aujourd'hui privilégiée. Exemple : Autant pour moi, je me suis trompé !
De fait, elle s'écrit toujours en tant que. Si l'erreur est souvent commise de l'écrire en temps que, c'est simplement parce qu'elles ont exactement la même prononciation phonétique. Mais en temps que est incorrect.
D'autant plus est une locution servant à la structure argumentative et exprimant une accumulation d'importances afin de justifier un motif d'action ou de pensée. Exemple : C'est d'autant plus dommageable que tu n'es pas arrivé à l'heure à la réunion.
Voici une règle communément admise: lorsque «merci» précède un verbe à l'infinitif, il est toujours suivi de la préposition «de». On dira ainsi «merci de m'écouter». Il est également d'usage de considérer que «merci pour» est employé pour introduire une action ou un fait à venir, qu'on espère ou qu'on enjoint.
Le mot temps provient du latin tempus, de la même racine que le grec ancien τεμνεῖν (temnein), couper, qui fait référence à une division du flot du temps en éléments finis.
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
Répondez en disant « tout le plaisir est pour moi ».
Par exemple, lorsqu'un(e) ami(e) dit « merci beaucoup pour ce repas délicieux », vous pouvez à votre tour répondre de la manière suivante « tout le plaisir est pour moi. » Cela prouve votre grand plaisir à cuisiner pour les autres.
L'étymologie de la locution « tant pis »
L'expression « tant pis » nous vient du XVIe ou du XVIIe siècle. Elle se compose du mot « tant » venant du latin « tantum » et qui signifie « du même sens » . Puis, le mot « pis » (« pejus » en latin) s'y accole, signifiant « pire ».
Si on est en désaccord avec cette affirmation, on peut dire “je ne suis absolument pas d'accord avec toi” ou “je ne suis pas du tout d'accord avec toi“. Pour nuancer davantage le propos sans être aussi catégorique, on peut répondre “je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi” ou bien “je n'en suis pas sûr/certain“.
Il est un usage de il est temps de qui signifie plutôt l'heure est venue de, sans idée de temps limite : il était temps pour eux de se taper la cloche, qu'ils jugeaient avoir bien méritée.
Locution conjonctive
Selon que ; autant que.
Dans un faire part d'adoption écrire : « Après tant d'années, nous sommes enfin réunis ». Nous souhaitons une formule courte mais est-ce bien français de mettre une virgule plutôt que « après tant d'années d'attente ou d'espoir… ». Demandé par Curtil le 17 avril 2020 dans Général.
quand il y en a pour un, il y en a pour deux & quand il y en a pour un il y en a pour deux ; quand il y en a pour deux, y en a pour trois ; quand y a de la place pour un, y en a pour deux ; quand il y en a pour trois, il y en a pour quatre ; quand il y en a pour un, il y en a pour seize #locution.
Je vais à l'inspection du travail. Exemple : je vais au cabinet médical. La préposition est aux avec les noms de lieux lorsque le complément est un nom inanimé toujours pluriel désignant un local, un endroit. La préposition est chez avec les noms de lieux lorsque le complément est une personne ou sont des personnes.
AUTANT, adv. I. − Adv. de compar. exprimant en phrase compar., explicite ou implicite, l'égalité de deux procès, quant à leur intensité, leur quantité ou leur valeur.
Sans avoir égard à ; en dépit de, malgré.
Origine : Cette expression signifie que quelque chose ne vaut pas la peine d'être fait.