Si l'ensemble est sujet le verbe est au pluriel. Mes amis planteront chacun un arbre. Vous planterez chacun un arbre. Si chacun précède le nom de l'ensemble -> 3e personne du singulier.
L'adjectif indéfini chaque a été tiré du pronom indéfini chacun, dont il est proche par le sens ; tous deux sont des distributifs, mais leur nature fait qu'ils ne se construisent pas de la même manière : chaque, qui est un déterminant, ne peut s'employer sans être suivi d'un nom, alors que chacun, qui est de nature ...
Chaques ou chaque ? Comme l'adjectif indéfini « chaque » désigne une seule personne ou une seule chose dans un ensemble, autrement dit « une unité », on l'écrit toujours au singulier. Chaque jour, il prend sa voiture. Le professeur corrige les copies de chaque élève.
Le Trésor de la langue française nous éclaire. De la même façon que l'on ne mettra jamais de «s» au mot «chacun», on évitera d'accorder le terme «chaque», qui rejette le pluriel. On notera donc: «Chaque femme riait», «à chaque génération», «chaque matin», etc. Et pour une fois, il n'y a pas d'exception qui tienne!
On utilise généralement chaque (sans à) dans les expressions suivantes : chaque matin. chaque jour.
Les noms des jours sont des noms communs, ils s'écrivent donc avec une minuscule et prennent un « s » au pluriel : Je fais du sport tous les vendredis. Dans « les lundi et jeudi de chaque semaine », on ne met toutefois pas de « s », car il y a un seul lundi et un seul jeudi par semaine.
Les jours de la semaine prennent un “s”
En effet, lundi, mardi etc. sont des noms communs, ils s'accordent donc en nombre comme n'importe quel autre nom commun. On doit écrire les lundis, tous les lundis ou encore plusieurs lundis. Cette règle est simple et facile à retenir.
L'accord se fait selon le sens ou l'intention au pluriel ou au singulier , mais c'est plutôt le pluriel qui l'emporte. L'un des plus beaux étés que j'ai vécus. Cela signifie : parmi les étés que j'ai vécus, celui-ci est le plus beau. (mais ils sont bien tous vécus).
Les noms en -au, eu et -eau prennent un -x. Les noms en -al font leur pluriel en -aux. Les noms en -ail font leur pluriel en -ails mais il y a déjà beaucoup d'exceptions. Les noms en -ou font leur pluriel en -ous sauf bijoux, choux, genoux, cailloux, joujoux, hiboux et poux.
"Le mot du champion : hebdomadaire."
Leur(s) peut être remplacé par les déterminants le, la ou l' s'il est singulier et par le déterminant les s'il est pluriel. Pour vérifier l'accord, il faut repérer le nom qu'il introduit. Leur(s) est un déterminant possessif. On le trouve généralement devant un nom et il s'accorde avec celui-ci.
Pourquoi le /s/ est-il la marque du pluriel la plus répandue ? L'orthographe des mots au pluriel se base sur le cas régime (proche de l'accusatif latin) du Moyen français. Au singulier, le cas régime de l'actuel /mur/ était /murum/, et le pluriel /muros/.
Il faut écrire : Les ouvriers se sont fait payer en liquide. Immédiatement suivi d'un infinitif, le participe passé du verbe « faire » est invariable : ici, « faits » est suivi de « payer ». Il ne s'accorde donc pas et on écrit « les ouvriers se sont fait payer ».
« Tout un chacun » est une expression qui signifie « n'importe qui », « chaque homme », « tout le monde ». Cette expression a tout son sens ici. C'est cette expression qui est correcte. On dit : « tout un chacun ».
Avec fois, on écrit plus souvent chaque fois que à chaque fois, mais l'emploi de à n'est pas fautif : même problème chaque fois / à chaque fois.
Toute personne, toute chose faisant partie d'un ensemble : Chacun des assistants. 2. (Au masculin.) Toute personne en général : Chacun le dit.
Avec un trait d'union. - Plur. : des coffres-forts.
Sauf les noms : le bal - le carnaval - le festival - le chacal - le régal - le cal - le serval - l'étal qui font leur pluriel en "-als". Sauf les noms : (bail - corail - émail - soupirail - travail - ventail - vitrail) qui font leur pluriel en "-aux".
Les aromates comme le baume, la mhyrre, le storax, l'encens, l'absynthe, le genièvre, etc. Les noms des vertus et des vices comme la chasteté, la pudeur, la gloire, la charité, la paresse, l'ivresse, la haine, la bonté, le courage, la douceur, l'inclémence, l'injustice, l'innocence, l'indiscrétion, etc.
L'un et l'autre.
- Avec l'un (l'une) et l'autre employé comme pronom, l'accord est facultatif, mais se fait le plus souvent au pluriel : l'une et l'autre ont protesté ; l'un et l'autre se dit ou se disent. Mais le pluriel est de règle si le verbe précède : ils sont partis l'un et l'autre.
Les participes passés des verbes suivants ne s'accordent donc jamais : se téléphoner, se parler, se mentir, se plaire (complaire/déplaire), se sourire, se rire, se nuire, se succéder, se suffire, se ressembler, s'en vouloir.
Les jours de la semaine ne sont pas invariables : même si ça peut paraître bizarre, les jours de la semaine, tout comme tout autre nom commun, prennent la marque du pluriel.
De la même manière on écrit Les jeudis de chaque mois. Car on fait référence à tous les jeudis du mois. Les mois se mettent également au pluriel. Les juins des cinq dernières années furent très chauds.
C'est dans ce même ordre d'idée qu'on écrit : tous les dimanches matin et le mardi soir de chaque semaine. Dans le premier cas, matin est au singulier car il n'y a qu'un seul matin dans une journée par contre il y a plusieurs dimanches.