Donne-l'en ! Parle-l'en ! Je crois que ce n'est pas moi qui est élidé, mais me : donne me-en, comme dans tu m'en donnes (tu me en donnes, tu me donnes de en).
ta première phrase est tout à fait juste, mais la deuxième est fausse : "penser" n'est pas un verbe réfléchi ici, tu ne peux pas écrire "t'avoir pensé à moi" : si la personne à pensé à toi, c'est forcément avec sa pensée à elle... Le pronom réfléchi est de trop.
On lit, en effet, trop souvent « je vous donnerez » au lieu de « je vous donnerai ». Pourtant, ici, vous n'est pas sujet du verbe donner. Pour s'en convaincre, il suffit de remplacer l'un des deux pronoms par un autre. Par exemple, on dit bien « je lui donnerai » et non « je lui donnera ».
Le verbe est donc naturellement à la troisième personne du pluriel. Notre énergie et notre passion commune nous donnent l'envie de réussir !
On retrouve les mêmes formes de la conjugaison à l'impératif présent : réponds , répondons (rare), répondez . Exemples d'emploi : réponds-moi dès que possible , réponds-lui à l'occasion , répondez-moi s'il vous plaît .
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) !
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous et ce, sans sujet exprimé. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion. En général, l'impératif est identique au présent de l'indicatif à l'exception près qu'il n'a pas de sujet.
Elle m'a donnée avec un e
La règle qui s'applique, c'est que le participe passé donné ne peut s'accorder qu'avec le complément d'objet direct du verbe donner (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'elle a donné), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.
Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "être", il s'accorde en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous sommes parti(e)s. Lorsque le participe passé est conjugué avec l'auxiliaire "avoir", il ne s'accorde pas en genre et en nombre avec son sujet. ex. : Nous avons essuyé la vaisselle.
Notons qu'avec le verbe faire, on placera toujours les pronoms le, la, les en première position : fais-le-moi savoir, fais-le-lui faire. On considèrera que l'ensemble formé par le verbe et les compléments constitue une unité phonique indissociable, qui sera soulignée par l'emploi de deux traits d'union.
Dis-le-moi ou dis-moi-le? se demande une lectrice, Marie-France. Il faut employer «dis-le-moi» (dans l'ordre: verbe, complément d'objet direct, complément d'objet indirect) en n'omettant pas les traits d'union entre chaque mot. En effet, on met deux traits d'union quand l'impératif précède deux pronoms.
C'est sur ce principe que l'on doit dire 'sers toi "z" en'.
La réponse simple. On écrit « profite bien ».
Passe une bonne journée !
Mais : "APPELLE-moi" ! Sans "s". La terminaison est en effet en "e" pour tous les verbes du premier groupe conjugués à la deuxième personne du singulier au présent de l'impératif (Chante, mange, etc.) Pourquoi utiliser des mots ou des expressions en anglais ?
On écrit tu m'appelles , avec deux l et avec un s à la fin du verbe.
Il est alors correct d'écrire : les obstacles qu'on lui a donné à vaincre (on lui a donné à vaincre quoi ? qu' pour les obstacles). Ce participe passé peut toutefois s'accorder avec le COD qui le précède s'il le complète : voici les poèmes qu'on leur a donnés à apprendre. On peut aussi ne pas accorder.
Ils nous ont donnés avec un s
La règle qui s'applique, c'est que le participe passé donné ne peut s'accorder qu'avec le complément d'objet direct du verbe donner (c'est-à-dire le fameux mot qui désigne ce qu'ils ont donné), mais seulement si celui-ci est placé avant le verbe.