La graphie hé est moins fréquente que la graphie eh. Eh bien, en début de phrase, est généralement suivi d'une virgule : eh bien, qu'avez-vous à me dire ? Eh bien, tant pis pour toi ! Employé seul, il est suivi d'un point d'exclamation ou d'interrogation : eh bien !
Eh oui est une locution interjective que l'on emploie, souvent après un temps de réflexion, lorsque l'on admet quelque chose à regret, ou pour faire un aveu difficile ou étonnant. Ainsi, en 1940, Gide écrit dans son Journal : « Eh oui !
Eh et hé sont généralement placées en début de phrase où elles donnent le ton à ce qui suit, mais hé présente un degré d'intensité plus élevé, en plus d'être généralement moins fréquente et plus familière que eh.
Eh bien est une locution interjective, dont le second élément est l'adverbe bien. Pour former cette locution, il faut que le premier élément soit l'interjection eh et non la conjonction de coordination et. Il peut arriver, bien sûr, que les mots et et bien se suivent, comme dans : Il travaille vite et bien.
La première interjection, « hé », sert à appeler, à attirer l'attention (« Hé, vous, là-bas ! »). La seconde, « oh », semble exprimer une forme de supplication (« Oh, s'il vous plaît !). Mon tout, lui, ressemble à une erreur de communicants, du genre : « Au secours !
Comment écrire l'expression eh non ? Écrit-on cette expression avec le mot et ou bien avec le mot eh ? Elle s'écrit avec eh , qui est une interjection : eh non .
En général, les interjections sont immédiatement suivies d'un point d'exclamation, même à l'intérieur d'une phrase : Ah! Aïe! Chut!
L'interjection ho
Moins courant et moins polysémique que l'interjection oh, ho est employé pour interpeller ou encore, plus rarement, pour exprimer la surprise, l'indignation. Notons également son usage singulier pour transcrire le rire, notamment celui du père Noël (Ho! Ho!
Nous avons appris à l'école que "on", pronom indéfini, s'accorde comme la troisième personne du singulier, "il" : "On a faim", "on est bien", sur le modèle de "il a faim", "il est bien". Mais ce n'est pas toujours aussi simple, car "on" n'est pas toujours un pronom indéfini.
*hé ! 1. Sert à appeler, à attirer l'attention ou à marquer la surprise, l'indignation, etc. : Hé !
Ah! et Ha!
sont des interjections qui expriment la surprise, la douleur, la joie ou le soulagement. En général, Ah! est utilisé dans une phrase pour marquer la surprise, tandis que Ha! est utilisé pour exprimer le rire.
*On écrit 'et' lorsqu'il s'agit d'une conjonction de coordination qui joue le rôle de lien entre deux mots ou groupe de mots ou phrases et qu'on ne peut pas conjuguer à l'imparfait . Exemple : 2-J'ai pris mon cartable *était je suis parti à l'école .
(dans une réponse positive à une question) ➙ certainement, certes ; familier ouais ; → comment donc, bien sûr, sans doute, d'accord, entendu, OK.
Oui, c'est vrai ! Yes, it's true!
Oui, en français, est un adverbe utilisé pour marquer son accord, marquer une réponse positive ou pour répondre à un appel. Il dérive du latin hoc ille (celui-ci), par l'ancien français oïl (prononcé [wi] ou [wil]).
Dans j'ai eu , on trouve le participe passé du verbe avoir : eu . Il s'écrit en deux lettres, avec un u à la fin (donc sans t ). Et il s'emploie avec l'auxiliaire avoir , ce qui implique des règles d'accord particulières.
L'accord est alors comme la première personne. - Deux secondes, on arrive. - On fait ce qu'on peut. Dans toutes les conjugaisons de on, la marque de la personne se fait uniquement sur le participe passé.
En fait, les deux sont possibles, on peut écrire on est allés ou bien on est allé .
On écrit « on est parti » quand le pronom indéfini on désigne une personne ou un ensemble de personnes qu'on ne connaît pas, il est dans ce cas invariable et l'accord du verbe, de l'adjectif ou du participe passé qui l'accompagne est au masculin singulier. Le pronom on peut être remplacé par quelqu'un ou tout le monde.
ho ! hisse ! interj. Accompagne, pour l'encourager, un effort pour tirer, hisser.
L'Académie française indique qu'«ah» est attesté en français depuis le XIe siècle, mais qu'on trouve déjà ce mot «en latin sous la forme A ou Ha». Quant à la définition, l'Académie écrit : «Onomatopée imitant le bruit d'un éclat de rire.» Et propose comme à chaque fois un exemple : «Ah !
Ô combien ! en incise ou en fin de phrase, à quel degré. Nous avons aimé votre ouvrage ô combien ! Il est adroit, ô combien !
Fonctions. Le point d'exclamation sert à exprimer un sentiment, comme la joie, l'étonnement, la crainte, l'admiration, l'indignation, l'ironie, le chagrin, la douleur, etc. Il accompagne habituellement un cri, une injure, une interjection, une apostrophe, un ordre, une imploration, etc.
En revanche, mon Dieu (désormais MD) est une interjection dans : (4) Mon Dieu ! j'ai oublié mon dossier dans l'avion ! (5) Mon Dieu, qu'elle est belle ! 1.2.
Majuscule ou minuscule après le point d'exclamation
Après une interjection suivie d'un point d'exclamation, on emploie la majuscule si l'on considère que ce signe de ponctuation marque la fin de la phrase; sinon, on emploie la minuscule.