Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
Bonsoir. *Qu'il y a-t-il est une tournure du langage populaire parlé, incorrecte du point de vue de la syntaxe, même si elle se rencontre fréquemmentdans la presse et sur le Net. C'est tout aussi incorrect que si l'on disait, par exemple, *qu'il faut-il au lieu de que faut-il.
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc. Ce t n'appartient pas au verbe et c'est la raison pour laquelle on l'écrit à part.
Locution qui signifie qu'il existe quelque chose ou quelqu'un dans une situation donnée. Exemple : Il y a deux chaises à la cuisine. Locution qui introduit une notion de temps passé.
Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ?
Présent de l'indicatif de y avoir.
On emploie il y a lorsqu'on parle d'un événement qui a eu lieu dans le passé. Cet événement est terminé au moment où l'on parle. Il y a est souvent employé avec un verbe au passé composé.
On écrira donc toujours « y a-t-il » et non « y a t-il » ou « y-a-t-il ».
La formule il y a sert aussi de repère temporel, par exemple quand on dit il y a deux jours . Dans ce cas, on peut la remplacer par voilà , par ça fait , ou bien reformuler avec avant , auparavant (mais on n'a plus le jour présent comme repère) : deux jours avant , deux jours auparavant .
Locution-phrase
(Familier) Il n'y a pas moyen de nier, il n'y a pas de refus, de résistance à faire. Il n'y a pas à dire, cet ouvrage est plein de mérite.
Exemple: «Pense-t-on.» Cela signifie donc que les verbes se terminant en «d» ou «t» à la troisième personne du singulier ne pourront jamais être accolés à la lettre «t». Pour être correct, nous éviterons d'écrire «que répond-t-il?» et préfèrerons la formule «que répond-il?».
Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».
M'a-t-elle dit avec des traits d'union serait la graphie correcte.
Utiliser des pronoms
Dans un second temps, vous pouvez utiliser des pronoms pour remplacer les noms répétés. Vous pouvez utiliser les pronoms personnels (il, elle,…), les pronoms compléments (le, la, en , y,…), les pronoms possessifs (sa, son,…), les pronoms démonstratifs (celui-ci, celle-ci), etc.
L'expression impersonnelle "il faut" indique que quelque chose est nécessaire / doit être fait. Le verbe qui suit est à l'infinitif. Ex: Il faut manger trois fois par jour. Il faut apprendre à lire et à écrire.
3) Ça fait… que
ÇA FAIT est toujours accompagné de QUE. Il se trouve en début de phrase, et indique, comme DEPUIS, la durée en référence au moment où on parle : Ça fait 2 mois que je ne mange plus de chocolat. = Je ne mange plus de chocolat depuis 2 mois.
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
On écrira "a eu lieu", car lieu n'est pas le verbe.
On utilise l'expression ' j'ai faim ' ou je suis affamé c'est on veut utiliser le verbe être . Donc au lieu de dire "j'ai faim", il faut dire "je suis affamé". "affamé" étant l'adjectif du mot "faim".
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi. Ils auraient réussi s'ils avaient suivi nos conseils.
Le pronom y représente le plus souvent des noms de choses ou d'animaux. Il correspond généralement à un complément introduit par à : je vais à la poste, j'y vais ; il n'a pas répondu à ma question, il n'y a pas répondu. (Mais on dit, avec un complément nom de personne : il a répondu à son client, il lui a répondu.)
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.