Une égalité est une proposition pouvant s'écrire à l'aide du signe égal « = », séparant deux expressions mathématiques de même nature (nombres, vecteurs, fonctions, ensembles…) ; la négation de cette proposition s'écrit à l'aide du symbole « ≠ ».
Définition : une égalité est une expression comportant le signe = et deux membres de part et d'autre. Exemple : premier membre : 2 + 3 × 5 + 17 ; second membre : 2 + 15 + 17.
Si un triangle est rectangle , alors le carré de la longueur de son hypoténuse est égal à la somme des carrés des longueurs des deux autres côtés. Exemple 1 : Soit le triangle ABC rectangle en A ([BC] est donc l'hypoténuse), alors BC²=AC²+BA².
Un rappel : la règle de l'égalité entre deux fractions
Deux fractions sont égales si on multiplie (ou si on divise) le numérateur et le dénominateur de la première fraction par le même nombre afin d'obtenir la deuxième fraction.
Pour a et b deux nombres entiers (avec b différent de 0), effectuer la division euclidienne de a par b revient à trouver deux nombres entiers q et r qui vérifient l'égalité a = b × q + r a = b \times q + r a=b×q+r et que r < b r < b r<b.
L'égalité est un principe à valeur constitutionnelle. L'article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen dispose que "la loi doit être la même pour tous". Les personnes dans la même situation doivent être traitées de manière identique.
1. Qualité de ce qui est égal ; équivalence : Égalité de fortune. 2. Absence de toute discrimination entre les êtres humains, sur le plan de leurs droits : Égalité politique, civile, sociale.
L'égalité civique, c'est-à-dire devant la loi, par opposition aux régimes des privilèges. L'égalité sociale qui cherche à égaliser les moyens ou les conditions d'existence. L'égalité politique (par rapport au gouvernement de la cité). L'égalité des chances mise en avant par le libéralisme.
Si on multiplie chaque membre d'une équation par un même nombre, l'égalité reste vraie. Le membre de gauche est divisé par 2. Il faut donc le multiplier par 2 pour faire disparaître le 2 qui est sous la barre de fraction. Et pour maintenir l'égalité, il faut en même temps multiplier par 2 le côté droit du signe égal.
Si, pour n'importe quel nombre choisi, deux expressions littérales donnent le même résultat, alors on dit que ces expressions littérales sont égales. Exemples : Pour n'importe quel nombre choisi pour x on a x+7=2x+10−x−3 donc les expressions x+7 et 2x+10−x−3 sont égales. +21 et B=7(x2 +2)+7 sont égales.
Par exemple : On a : 62 = 36, le nombre dont le carré est égal à 36 est 6. On note alors : √36 = 6.
Théorème de Thalès : Si, deux droites parallèles coupent deux droites sécantes alors elles déterminent deux triangles dont les côtés correspondants ont des longueurs proportionnelles.
Théorème de Pythagore — Dans un triangle rectangle, le carré de la longueur de l'hypoténuse est égal à la somme des carrés des longueurs des deux autres côtés. En particulier, la longueur de l'hypoténuse est donc toujours supérieure à celle de chaque autre côté.
L'intitulé du parcours « Écrire et combattre pour l'égalité » invite à réfléchir sur les moyens employés pour mener une lutte, défendre une cause. Dans ce parcours, il s'agit d'une lutte pour « l'égalité ». Les deux infinitifs « écrire » et « combattre » sont reliés par la conjonction de coordination « et ».
L'égalité des fractions
Deux fractions sont égales si l'on passe de l'une à l'autre en multipliant le numérateur et le dénominateur par un même nombre non nul. Deux fractions sont égales si l'on passe de l'une à l'autre en divisant le numérateur et le dénominateur par un même nombre non nul.
Une égalité d'ensembles
Deux ensembles sont égaux s'ils ont exactement les mêmes éléments. Cela se traduit par deux inclusions simultanées. Pour démontrer l'égalité de deux ensembles et il faudra faire deux démonstrations d'inclusion, d'une part pour démontrer F ⊂ E , d'autre part pour démontrer.
L'inégalité reste vraie lorsque l'on multiplie ou divise les deux membres par un même nombre positif. On change le sens de l'inégalité lorsque l'on multiplie ou divise les deux membres par un même nombre négatif.
Réponse. 4/5=8/10=16/20=32/40...
Synonyme : concordance, équivalence, identité, parité. Contraire : différence, disparité, disproportion, distance, écart, inégalité, iniquité.
L'équité des sexes consiste à introduire des mesures, comme des quotas ou une discrimination positive, afin qu'hommes et femmes bénéficient des mêmes possibilités d'agir en égaux, par exemple en ce qui concerne l'accès aux soins de santé, à l'éducation, à l'emploi ou à la participation à la vie politique.
Dans la jurisprudence de la Cour de justice, l'égalité apparaît comme un principe structurel de l'ordre juridique de l'Union européenne. En ce sens, l'égalité constitue à la fois un principe général du droit au regard des sources du droit de l'Union (1) et un principe fondamental au regard la nature des normes (2).
La parité signifie que chaque sexe est représenté à égalité dans les institutions. C'est un instrument au service de l'égalité, qui consiste à assurer l'accès des femmes et des hommes aux mêmes opportunités, droits, occasions de choisir, conditions matérielles tout en respectant leurs spécificités.
L'égalité entre les femmes et les hommes est un principe constitutionnel précisé dans l'article 3 du Préambule de la Constitution de 1946, qui indique que « la loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme ».
Le comparatif d'égalité s'exprime avec l'adverbe aussi ( yhtä ) devant un adjectif ou un adverbe (a), ou autant en fonction d'adverbe ou de pronom (b).