M'a-t-elle dit avec des traits d'union serait la graphie correcte. shinouille a écrit: "je t'ai mis en rouge sur mon agenda" m'a t'elle dit.
Dans « qu'a-t'il dit », l'apostrophe est employée à tort. On croit que le « t » est seul à cause d'une élision, comme dans « tu t'appelles ». En réalité, c'est un « t » euphonique, qui évite le hiatus « a il » ; il est ajouté par analogie avec les verbes où il est une vraie désinence : « dit-il », « fait-il ».
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
Pour être correct notent les sages, on ajoutera ce que l'on appelle un «t» euphonique, afin de permettre la liaison entre les deux voyelles: «a» et «i». La formule exacte est: «Y a-t-il».
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Il est incorrect d'écrire est-t-il . Ce t supplémentaire peut se rencontrer entre le verbe et le mot il , mais seulement dans le cas où le verbe ne se termine pas par t ou d . Ainsi, on écrit va-t-il , mange-t-il , etc.
Dans une phrase interronégative, la négation doit être écrite, en principe, sous sa forme complète (ne… pas) . On écrira donc : N'a-t-il pas confié… Il est possible de faire l'économie de pas (N'a-t-il confié…), mais une telle formulation relève du registre littéraire.
La règle qui s'applique
Dans elle a été envoyée , le participe passé envoyé est utilisé avec l'auxiliaire être ( a été correspond effectivement à une conjugaison du verbe être !).
Bonsoir. *Qu'il y a-t-il est une tournure du langage populaire parlé, incorrecte du point de vue de la syntaxe, même si elle se rencontre fréquemmentdans la presse et sur le Net. C'est tout aussi incorrect que si l'on disait, par exemple, *qu'il faut-il au lieu de que faut-il.
t'a = pronom personnel TE, élidé devant le verbe avoir, celui-ci commençant par une voyelle. Cette phrase n'est pas correcte !!! Il s'agit d'une forme élidée (tu as), uniquement admise dans le langage parlé !
L'orthographe fait une distinction entre celui à qui t'as dit et celui qui t'a dit : dans le premier cas, t' représente le pronom tu, sujet du verbe (celui à qui tu as dit); dans le second, il représente le pronom toi, complément d'objet indirect ou d'attribution (celui qui a dit à toi), et ne détermine donc pas l' ...
La difficulté avec la formule a-t-il , c'est l'orthographe de ce qu'il y a au milieu. Le t se relie aux autres mots par deux traits d'union et pas autrement. Les erreurs qu'on rencontre le plus souvent sont a-t'il avec une apostrophe et a t il sans traits d'union.
Exemple: «Pense-t-on.» Cela signifie donc que les verbes se terminant en «d» ou «t» à la troisième personne du singulier ne pourront jamais être accolés à la lettre «t». Pour être correct, nous éviterons d'écrire «que répond-t-il?» et préfèrerons la formule «que répond-il?».
Dans quels cas écrit-on elle a eue ? Justement, pour en arriver à écrire elle a eue , elle a eus ou elle a eues , où on a ajouté un e de féminin et un s de pluriel, il faut déclencher l'accord. L'accord n'a lieu que si le mot qui désigne ce qu'elle a eu est placé avant le verbe.
« Elodie m'a envoyé un message pour me dire. »
La règle, c'est celle de l'accord du participe passé employé avec l'auxiliaire avoir . Ce participe passé s'accorde avec le COD du verbe, mais seulement si ce COD est placé avant le verbe. Le COD, c'est le mot qui désigne ce que j'ai envoyé.
Rappel : après l'auxiliaire avoir, le participe passé ne s'accorde pas. Elle a envoyé une lettre. Si un COD COD est placé avant avoir, le participe passé s'accorde avec le COD.
On écrit par exemple «Comment va-t-il?», avec des deux traits d'union car le «t» se trouve placé entre une forme verbale et un pronom personnel (ici, «il»). Dans le cas qui nous intéresse, le «t» résulte de l'élision du pronom toi.
Indique que quelque chose, quelqu'un existe, se trouve, est quelque part : Y a-t-il quelqu'un ici ?
On écrira "a eu lieu", car lieu n'est pas le verbe.
Si l'on place un « t » entre un verbe se terminant par une voyelle (ou par un « c » non prononcé) et un pronom tel que « il », « elle » ou « on », on n'en met pas quand le verbe se termine par un « t » ou un « d » : Pense–t-il ce qu'il dit ?
T'es et t'est
T'es est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif à la 2e personne du singulier. T'est est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe être au présent de l'indicatif, mais à la 3e personne du singulier.