Un livre se nomme ainsi : « On n'a qu'une vie » – de Sophie Le Menaheze. Du coup écrire « On a qu'une vie » serait une faute ?
Si la phrase est affirmative, il ne faut donc pas mettre de n'. On a le temps d'aller se promener avant le dîner. Si la phrase est négative, il faut mettre le n'. On n'a pas le temps de prendre un café.
Rappel : n'oubliez pas le n' de négation dans on n'a pas (négation = ne… pas/jamais/que). Il ne s'entend pas mais il faut l'écrire. On n'a pas d'argent.
Le problème vient de la liaison "on_a". 1) En remplaçant "on" par un autre pronom, on supprime cette liaison et on entend s'il y a ou non une négation. On a tout compris. On n'a rien compris.
Donc : quelle idée j'ai eue. Quelle idée que j'ai eu n'est pas correct. Personnes ayant répondu : jean bordes le 17 juin 2020. « Quelle idée » est bien COD, antéposé, et vous devez donc accorder : « eue ».
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
Dans j'ai eu , on trouve le participe passé du verbe avoir : eu . Il s'écrit en deux lettres, avec un u à la fin (donc sans t ).
On (du latin, homo, l'être humain) est un pronom indéfini neutre qui réfère à une ou plusieurs personnes, sujet de la phrase. Ce pronom ne s'emploie que pour désigner des êtres humains : on peut désigner un sujet indéterminé parce qu'il est inconnu du locuteur, il est alors équivalent à « quelqu'un ».
On n'écrit pas : "Ce jour là", "Ce mois ci", "Ce mois là", "Cette année ci", "Cette année là", "Cette fois ci", "Cette fois là", "Cette semaine ci" ni "Cette semaine là" !
Selon les règles d'orthographe françaises, il faut écrit « a-t-il » avec des tirets. En effet, le « t » est un « t » euphonique, qui a été ajouté pour faciliter la prononciation et non la contraction du pronom « toi » ou « tu ».
L'orthographe correcte est tu as , avec un s .
Cette chanson évoque l'amour avec un grand A, celui d'un amour qui lie les individus entre eux et fait société. Ici, l'amour est une force qui agit à la fois sur le sens personnel que sur le sens collectif. D'une certaine manière utopique, elle donne un message d'espoir pour le monde.
Quand on n'a que l'amour, Mon amour toi et moi, Pour qu'éclatent de joie Chaque heure et chaque jour. Quand on n'a que l'amour Pour vivre nos promesses, Sans nulle autre richesse, Que d'y croire toujours. Quand on n'a que l'amour Pour meubler de merveilles Et couvrir de soleil La laideur des faubourgs.
Explicitez les sigles, employez des mots courants plutôt que savants (« sévère » au lieu de « drastique » par exemple)… Utilisez des mots précis : utiliser des verbes et des mots précis permet d'écrire des phrases plus courtes et plus directes.
Et quelle en est la règle? -Explication : -On écrit 'on' lorsqu'il s'agit d'un pronom indéfini et qui peut être remplacé par le pronom personnel 'il' ou 'nous' et la phrase reste correcte.
Nous avons appris à l'école que "on", pronom indéfini, s'accorde comme la troisième personne du singulier, "il" : "On a faim", "on est bien", sur le modèle de "il a faim", "il est bien".
Il désigne généralement une ou des personnes inconnues. Dans cet usage, il a le sens de « quelqu'un », « quiconque ». Puisque le genre et le nombre des personnes en question sont ignorés, « on » est considéré comme étant de la troisième personne du masculin singulier, et il exclut celui qui parle.
Subjonctif présent, 2e personne du singulier : que tu aies. ait. avoir. Subjonctif présent, 3e personne du singulier : qu'il/qu'elle ait.
Le subjonctif s'emploie quand la réalisation de l'action exprimée par le verbe est mise en doute (est incertaine) ou rejetée. J'espère que tu comprends. Je voudrais que tu comprennes. - subjonctif car je ne suis pas sûre que cela soit le cas.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.