Qu'est-ce que est une expression qui sert à poser une question. Elle s'écrit toujours avec un trait d'union dans est-ce . Dans qu'est-ce que , on trouve le verbe être conjugué à la troisième personne du singulier, son sujet est ce .
qu'est-ce que pron. interr. Interroge sur les choses, en fonction d'objet direct... est n.m. inv.
On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral. Elle comporte toujours un trait d'union entre le verbe « est » et « ce ».
L'expression qu'est-ce que c'est s'écrit donc, au total, avec un trait d'union et avec deux apostrophes.
À « par quoi » ou à « pourquoi » ? Si la phrase répond à la question « par quoi », on écrit « par ce que » en trois mots. Mais si la phrase répond à la question « pourquoi », on écrit « parce que » en deux mots : Il est surpris par ce que je lui propose.
Ce que est employé lorsque le pronom relatif a la fonction de complément d'objet direct. Exemple : Il ne sait pas ce qu'il a fait.
Elle écoute ce dont je parle (Elle écoute la chose dont je parle). Ce qui est sujet du verbe qui suit. Ce que (ce qu') est complément direct. Il est généralement suivi d'un sujet et d'un verbe.
correct adj. Qui est conforme aux règles, à la normale, qui ne... Politiquement correct(Calque de l'Américain politically correct.)
On écrit toujours « est-ce que ». La locution « es-ce que » n'existe tout simplement pas.
📌 On peut remplacer “qu'est-ce que” par “quoi” ou « que ».
Qu'est-ce que est la tournure servant à introduire une question posée directement. La phrase se termine alors par un point d'interrogation. Qu'est-ce qu'il attend de cette rencontre ? Qu'est-ce vous voulez boire ?
- Est-ce que est la tournure réservée à l'interrogation directe, c'est-à-dire au cas où l'on pose directement une question sans la rapporter, sans la faire dépendre d'un autre verbe, d'un autre terme. Est-ce que vous avez compris ? Est-ce que je ne perds pas mon temps ?
Verbe impersonnel : on emploie toujours « ce qu'il ». Verbe rester et sembler bon : on emploie « ce qui » ou « ce qu'il », au choix. Verbes se passer, arriver, pouvoir, advenir, prendre, résulter, convenir : on emploie plus fréquemment la construction « ce qu'il » mais on peut aussi employer « ce qui ».
Ce qui se passe ou ce qu'il se passe ? Faut-il écrire Jean se demande ce qui se passe ou Jean se demande ce qu'il se passe ? Disons-le tout net : les deux formulations sont acceptées (car on ne peut savoir exactement ce que recouvre « ce qui » ou « ce qu'il »).
s'emploie à l'intérieur d'une phrase comme une simple articulation ou un renforcement : La vérité, n'est-ce pas, c'est que les difficultés le rebutent.
Ces expressions, construites avec le pronom 'ce' (ou de son abrégé c') et le verbe être, sont dites impersonnelles. Le pronom 'ce' est le sujet apparent du verbe être, mais le sujet réel est un mot ou bien un groupe de mots situé après le verbe.
➜ Quand le sujet commence par une voyelle, « est-ce que » devient « est-ce qu' ». Exemples : Elle travaille. Est-ce qu'elle travaille ?
Il sert à montrer quelque chose que l'on désigne (dans la réalité, dans la pensée ou par ce qu'on vient de dire). Il peut être placé devant un nom (ce canapé, ce matin, ce président) ou devant le verbe être conjugué (ce sont, ce sera, ce serait…). Avec un « s », « se » est un pronom personnel dit « réfléchi ».
Dans le menu Word, cliquez sur Préférences > Grammaire et orthographe. Dans la boîte de dialogue Grammaire et orthographe, sous Orthographe, activez ou désactivez la case à cocher Vérifier l'orthographe au cours de la frappe.
En français, on classe les fautes d'orthographe en deux parties : les fautes lexicales et les fautes grammaticales. Avec l'arrivée de l'informatique depuis quelques années, il est devenu nécessaire d'ajouter un troisième type de faute : les fautes de frappe.
Avec les verbes toujours impersonnels, on utilisera la tournure ce qu'il; avec les verbes rester, se passer, arriver, pouvoir, advenir, prendre, résulter, convenir, plaire et sembler bon, le choix entre ce qu'il et ce qui demande qu'on s'y attarde.
« Fais ce qui te plaît » : fais ce qui te donne ou te donnera du plaisir. En revanche, « Fais ce qu'il te plaît » sous-entend l'infinitif du verbe précédent : Fais ce qu'il te plaît de faire. Mais dans les deux cas on veut dire : Fais ce que tu voudras.
Il m'arrive une malchance. La malchance qu'il m'arrive. Ce qu'il m'arrive. Avec un antécédent nominal, l'emploi personnel (la malchance qui m'arrive) est plus fréquent que l'emploi impersonnel (la malchance qu'il m'arrive).