Tu es , c'est une conjugaison du verbe être , au présent. On l'emploie quand on écrit tu es le bienvenu , tu es sûre ? , tu n'es pas obligé , est-ce que tu es disponible ? Quand on inverse l'ordre du sujet et du verbe dans une question, le verbe garde la même orthographe.
En grammaire française, il est essentiel de noter que la seule forme correcte à adopter est bien « Tu es ». Utilisée comme deuxième personne du singulier du verbe « être » au présent de l'indicatif, cette tournure est d'usage courant.
Es et est sont des formes du verbe être conjugué à la 2e et à la 3e personne du singulier au présent de l'indicatif. On peut les remplacer par étais (pour es) ou était (pour est), c'est-à-dire par le verbe être conjugué à l'imparfait de l'indicatif. Exemples : - Tu es malade.
Il est possible de remplacer t'es par t'étais et t'est par t'était. Pour bien différencier les verbes es et est qui accompagnent le pronom personnel te (t'), il faut observer le groupe occupant la fonction de sujet. C'est ce sujet qui permet de bien accorder le verbe être. Tu t'es procuré un nouvel agenda.
Que tu "Aies" : le subjonctif présent à la 2e personne
C'est le verbe "avoir" conjugué à la deuxième personne au subjonctif présent (que tu aies). Exemple : "J'aimerais que tu aies une vie heureuse." Au subjonctif passé, temps peu usité, "aies" devient un auxiliaire (que tu aies eu).
J'espère que tu vas bien. Aussi, j'espère que tu ailles bien. Les deux sont correctes.
Le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment.
T'es est un pronom personnel​ (t') accompagné du verbe être conjugué à l'indicatif présent, à la 2e personne du singulier. Es est souvent l'auxiliaire des participes passés employés avec être. Le pronom personnel (t') devient alors le complément direct ou indirect du verbe. T'es peut être remplacé par t'étais.
Quelle est l'orthographe de tu n'es pas ? Quand on écrit ces mots dans une phrase, faut-il mettre un t à la fin du verbe ? Non, on écrit toujours tu n'es pas , sans t .
De manière générale, le subjonctif présent se forme sur le radical de l'indicatif présent auquel il faut ajouter les terminaisons suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent. Par exemple, pour le verbe aimer : que j'aime, que tu aimes, qu'il/elle/on aime, que nous aimions, que vous aimiez, qu'ils/elles/eux aiment.
« Ès » est une préposition qui ne s'emploie que devant un nom pluriel, or « médecine » est un nom singulier. Faux. Il faut écrire : Mazarin était passé maître ès machinations, dit-on. La préposition « ès » prend un accent grave.
On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral.
On écrit toujours « est-ce que ». La locution « es-ce que » n'existe tout simplement pas.
Les deux sont possibles, on peut écrire vous êtes libre ou vous êtes libres , selon la ou les personne(s) à qui on s'adresse. Voici comment choisir la bonne forme.
La préposition correcte pour le français est « de ». « T'en es où (de ton projet) ? » est familier ; on dit aussi « Où tu en es (de ton projet) ? » (familier) et (standard) « Où en es-tu (de ton projet) ? ». On peut maintenant s'interroger sur la raison de l'utilisation de « en ».
Tu n'es pas trop fatigué, j'espère. I hope you're not too tired.
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
La phrase négative s'oppose à la phrase affirmative. Elle sert à dire le contraire. Pour transformer une phrase affirmative en phrase négative, on encadre le verbe par une des négations suivantes : ne/pas, jamais, ne/plus... Par exemple : Gustave ne met pas son chapeau.
On peut remplacer c'est par cela est. Ex. : C'est une bonne nouvelle. La forme s'est est constituée du pronom réfléchi se élidé et du verbe être à la 3e personne du singulier : se + est = s'est. Pour le détecter, on peut revenir au verbe pronominal.
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
On écrit donc par exemple je vous ai envoyé un e-mail , je vous ai envoyé un courrier , je vous ai envoyé mon CV , je vous ai envoyé les documents demandés , je vous ai envoyé un message privé .
Il existe quatre temps du subjonctif : présent, passé, imparfait et plus-que-parfait.
Pour ce faire, tu vas devoir comprendre une chose, c'est que le subjonctif, on l'utilise quand une action est incertaine, quand il y a un doute ou quand on rejette une action. Par exemple, si je dis « je ne pense pas qu'il soit arrivé ». Il y a un doute ici, c'est pour ça qu'on utilise le subjonctif.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.