Peut aussi s'écrire « tabarnac », « tabarnaque ». Tabarnak est la grande star des jurons québécois, celui qui soulage le plus, celui qui a le plus d'impact… et celui qui est le plus déformé par nos cousins français.
Tabarnak : C'est un juron québécois, en référence au tabernacle d'église. Dans l'église catholique, le tabernacle est le meuble qui abrite le ciboire contenant les hosties. Ce mot à été déformé en français canadiens, pour devenir un sacre ( un juron ) familier : tabarnak.
- Ca va ? - Pas mal ! Chu t'à boute ! Ostie q'chu pu capabe !
«Bon matin» Ce sont les premiers mots que j'ai entendus en arrivant au Québec, un matin… Et oui car là-bas, pour dire « bonjour » le matin, on dit «bon matin», et non «bonjour». Logique finalement, comme «good morning»… Mais c'est vrai que pour une française de France, ça surprend un peu au prime abord.
Familier. Au Canada, petit ami, amoureux ou conjoint.
Français canadien : je t'adore (pour dire je t'aime). Français canadien : je t'aime (pour dire je t'aime bien).
1. Familier Au Québec, bonbon (dans le langage enfantin, particulièrement). 2. Au Québec, ensemble de choses destinées à séduire quelqu'un, à le flatter, à le tromper : Distribuer du nanane en période électorale.
Un beau gros bec. L'expression donner un bec est synonyme de faire la bise, donner un bisou, donner un bécot.
Chien-chaud, hot-dog ou « roteux » ? L'emploi du mot « chien-chaud » (traduction de l'anglais « hot-dog ») étant pratiquement disparu du paysage québécois depuis les années 1960, vous entendrez parfois le québécisme très familier qu'est le mot « roteux », pour désigner le même sandwich avec saucisse.
"Maudit niaiseux !"
Maudit, qui vient de malédiction et de son sens religieux, est un peu utilisé à toutes les sauces au Quebec. Dans ce cas précis ça veut donc dire « espèce d'imbécile », mais ça peut aussi vouloir dire fâché (« Y'est en maudit ! ») et plein d'autres trucs chelous.
À la r'voyure!
Cette expression familière signifie « à plus tard », « à bientôt ». Le mot « revoyure » est l'action, le fait de se revoir, de se dire au revoir.
(Québec) (Vulgaire) Juron manifestant la colère, l'indignation, la surprise ou l'étonnement s'il est situé en début de phrase. Précédé du pronom « en », il peut également signifier un grand volume. J. M. De Boss le disait aussi. « Tabarnak !
Ben | bin : C'est un petit mot très utilisé au Québec et qui ponctue les phrases.
Chick : Belle femme, belle fille, très jolie et ravissante, parfois même sexy. Prononcé chix (déformation de l'anglais chick). ex : Cette fille est bien trop chick !
Ceci n'est pas un tee-shirt mais un chandail.
Roffe : Terme québécois synonyme de "dur", "difficile" ou "compliqué". Ex : Je suis fatigué, c'est roffe aujourd'hui.
Au Québec, pour bien “cruiser” (draguer), un Français doit impérativement comprendre qu'il aura plus de chance de séduire une Québécoise s'il lui laisse de l'espace, s'il accepte qu'elle soit indépendante et qu'elle paie sa part à chaque fois qu'ils sortent.
"Au cas où" sert à exprimer une éventualité. Cette locution soulève une hypothèse. Elle peut être employée seule ou introduire une proposition au conditionnel ou au subjonctif.
ou adv.] Pronom, adverbe relatif désignant le lieu au propre ou au figuré et secondairement le temps. 1. a) [L'antécédent désigne un lieu, au propre ou au fig.]
Étymologie. De l'anglais chum (« copain, camarade »), sans doute une apocope de chamber fellow ou chamber mate (« concubin », « roommate »).
Canucks. C'est un surnom donné aux canadiens. Le terme Canucks est beaucoup utilisé dans le monde du sport.
Calisse. Peut aussi s'écrire « caliss », « câlice », « côlisse » ou « câlisse ». On emploie généralement « calisse » à l'écrit, mais on prononce bien l'accent circonflexe à l'oral. Celui-ci est un peu comme le grand frère de « crisse » : on l'utilise pratiquement de la même façon, juste un peu plus intensément.
Gars : (m) garçon, homme. Équivalent québécois de mec. ex : J'ai vu trois gars au coin d'la rue.