Dis-nous ce que tu en penses. Let us know what you think.
Lorsqu'on demande l'opinion à quelqu'un, on peut utiliser : “Tu en penses quoi ?” ou “Qu'en penses-tu ?” / “Qu'est-ce que tu en penses ?”.
La bonne forme est tu penses , avec un s .
Dis-le-moi ou dis-moi-le? se demande une lectrice, Marie-France. Il faut employer «dis-le-moi» (dans l'ordre: verbe, complément d'objet direct, complément d'objet indirect) en n'omettant pas les traits d'union entre chaque mot. En effet, on met deux traits d'union quand l'impératif précède deux pronoms.
La réponse simple. On écrit toujours « j'ai dit », avec un t final parce qu'il s'agit du verbe dire, conjugué avec l'auxiliaire avoir au passé composé. Le participe passé est dit. Exemple : J'ai dit bonjour à tout le monde.
Dis et dit sont deux formes conjuguées du verbe dire, à la première, deuxième et troisième personne du singulier : je dis, tu dis, il dit. Mais lorsqu'on utilise le verbe dire au participe passé la confusion s'installe rapidement, de savoir s'il doit être terminé par « s » ou par « t ».
C'est moi (= 1ère personne du singulier) qui le dis. C'est lui (3ème personne du singulier) qui le dit. C'est nous (1ère personne du pluriel) qui le disons. C'est vous (2ème personne du pluriel) qui le dites.
Cas particuliers :
L'impératif est suivi de deux pronoms, ils sont reliés par des traits d'union. - Ces fleurs lui plairont, offre-les-lui. Si l'impératif présent est immédiatement suivi de "en" ou de "y", on utilise obligatoirement le trait d'union.
Cela dépend du contexte. Si on est en train de parler, on peut fort bien dire « dis-lui… « , et la personne comprend le sens. Quand on dit « dis-le-lui », c'est plus complet, On peut finir avec le point.
L'imparfait est utilisé pour une action passée, qui a duré et qui est terminée. Le passé simple est utilisé comme temps de narration pour une action ponctuelle qui s'est déroulée dans le passé. IMPARFAIT : Les terminaisons sont toujours les suivantes pour les trois groupes : -ais, -ais, -ait, -ions, -iez, -aient.
L'imparfait est principalement utilisé pour exprimer une action passée pouvant durer, être habituelle ou répétée. Il peut avoir trait au déroulement d'une action et être également employé pour faire état de descriptions.
"Aujourd'hui est le plus beau jour de ma vie car c'est le jour que je vis." "Tu sais que tu es sur le bon chemin lorsque regarder en arrière ne t'intéresse plus ." "En te levant le matin, rappelle-toi combien précieux est le privilège de vivre, de respirer, d'être heureux."
Interrogation à travers laquelle on sollicite l'avis de notre interlocuteur.
« penses-tu qu'elle est malade ? » ou « penses-tu qu'elle soit malade ? » Mais si le verbe de la principale exprime la volonté, la crainte, le désir, le refus, le verbe de la complétive se met au subjonctif.
Les pronoms compléments d'objet direct sont : me, te, le/la/l', nous, vous et les. À l'impératif, on emploie : moi, le/la, nous et les.
L'impératif présent est utilisé pour exprimer un ordre. Il se termine par un point d'exclamation et ne se conjugue qu'à trois personnes: la 2e personne du singulier (tu), la 1e personne du pluriel (nous) et la 2e personne du pluriel (vous).
Un va-t-en-guerre
On écrit par exemple «Comment va-t-il?», avec des deux traits d'union car le «t» se trouve placé entre une forme verbale et un pronom personnel (ici, «il»). Dans le cas qui nous intéresse, le «t» résulte de l'élision du pronom toi.
On peut dire "Je me suis dit" et "Je me suis dite", "Gisèle s'est dit" et "Gisèle s'est dite", mais pas dans les mêmes cas, et c'est sans doute pourquoi elle ne sait plus sur quel pied danser. Si vous êtes un homme, pas de souci, vous dites "Je me suis dit" dans tous les cas. Mais, au féminin, ça se complique.
Pour les verbes en -er (premier groupe), avec je (première personne du singulier), la terminaison est -e . C'est la raison pour laquelle on écrit je contacte .
quels que soient/quelles que soient. Suivie d'un groupe nominal, cette locution signifie "peu importe". Pour utiliser "quel que soit", la phrase doit être constituée de deux parties, l'une contenant l'expression et l'autre y répondant. Exemple : Quel que soit son choix, il doit l'assumer.
On écrit : « c'est toi qui vois ». On accorde le verbe « voir » à la deuxième personne du singulier du présent de l'indicatif (« vois »), parce que le sujet de la phrase, « toi » (un pronom tonique), est la deuxième personne du singulier (il remplace « tu »).
— on a est-ce, qui se prononce comme l' "ès" et non les ceux. On écrira donc Est-ce toi ; en prononçant "ès toi", comme estois, quelle question ! À moins que ce ne soit "! es-ce toi", vu qu'on a appris qu'il fallait écrire tu es.
De même que l'on écrit « Merci de vous en être occupés », on notera « Merci de vous y être consacrés », si l'on s'adresse à des représentants du sexe masculin. Dans "s'occuper de" il ne l'est plus : il n'a pas occupé lui de quelque chose.