On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral. Elle comporte toujours un trait d'union entre le verbe « est » et « ce ».
Comment s'écrit l'expression est-ce que ? L'expression est-ce que sert à poser des questions, mais quelle est son orthographe ? Elle s'écrit avec le mot est , qui correspond au verbe être conjugué au présent à la troisième personne du singulier. Et on met un trait d'union entre ce verbe et le mot ce .
Lorsque le pronom qualifie «un sujet dont on ignore le sexe ou le nombre», «des personnes indéterminées», l'usage veut que le participe ait un genre non marqué. C'est-à-dire un masculin singulier. Pour être correct, on préférera donc écrire: «On n'est pas sûr d'y arriver.»
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » .
L'expression qu'est-ce que c'est s'écrit donc, au total, avec un trait d'union et avec deux apostrophes.
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
Quand écrit-on « est-ce que » ? On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral.
Ce qu'il se passe -> Il se passe « ce » (un événement, une situation, etc.) « Ce » a dans cette phrase la fonction grammaticale de COD, mais « ce » est le sujet réel du verbe se passer. Dans les deux cas, personnel ou impersonnel, c'est « ce » qui se passe.
* Qu'est-CE QU'IL se passe ? (Il se passe quelque chose.) * Qu'est-CE QUI se passe ? (Quelque chose se passe. Selon Grévisse, 1 On emploie QU'IL lorsque le verbe est ESSENTIELLEMENT impersonnel.
Qui est-ce que ? Les 2 expressions se terminent par « que » ( ou qu'), elles indiquent la fonction complément des 2 éléments recherchés. La première commence par qui -> l'élément recherché est une personne. Qui est-ce que tu écoutes ?
On se conjugue au singulier (on est) mais peut être suivi d'un adjectif ou participe passé au pluriel. Pluriel quand on = nous : On en est sûrs (= nous en sommes sûrs). On s'est rencontrées (= nous nous sommes rencontrées).
Quand on a la valeur d'un pronom personnel (on représente des personnes particulières, il peut être remplacé par je, tu, nous, vous), les accords peuvent se faire au masculin ou au féminin et au singulier ou au pluriel selon le genre et le nombre des personnes désignées par on.
Règle 1 : en général, on forme le pluriel des noms et des adjectifs en ajoutant s ; s'ils sont déjà terminés par -s, -x ou -z , ils ne changent pas au pluriel. Exemples : Un classeur, des classeurs. Un livre, des livres. Un tapis, des tapis.
Est-ce que est est une particule invariable que l'on utilise pour poser une question sans commencer par le verbe. Exemple : Est-ce que tu pourrais me dire si tu participes à la fête, j'ai besoin de savoir combien de couverts je dois prévoir.
Est-ce que je ne perds pas mon temps ? Dans l'interrogation indirecte, c'est-à-dire lorsque la question est rapportée, lorsqu'elle dépend d'un verbe, est-ce que disparaît et est remplacé par si. Il ne sait pas si vous avez compris.
Qu'est-ce que est la tournure servant à introduire une question posée directement. La phrase se termine alors par un point d'interrogation. Qu'est-ce qu'il attend de cette rencontre ? Qu'est-ce vous voulez boire ?
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Cette phrase comporte trois difficultés : la dernière lettre de tout , la première lettre de s'est et l'accord de passé . On écrit tout s'est bien passé, avec un t à la fin du mot tout , avec un s au mot s'est et avec passé au masculin singulier.
L'astuce pour repérer s'il faut écrire « se » est simple, si dans le contexte précis, vous ne pouvez pas remplacer votre pronom personnel par « cela », donc vous ne pouvez pas utiliser le pronom « ce ». Astuces supplémentaires : Vous ne devez écrire « ce » que lorsque vous ne pouvez pas le remplacer par « me ».
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
On écrit « s'est » avec un -s quand... : On écrit « s'est » lorsque celui-ci est suivi d'un participe passé. Alors, « s'est » fait partie de la conjugaison d'un verbe pronominal.
Les deux sont possibles. Dans la première « qui » pronom relatif mis pour « main » est sujet de « reste », danns le seconde « qu' » ou « que » pronom relatif ms pour main est COD de « il reste ».
Il est donc préférable d'écrire “ce que l'on dit“au lieu de “ce qu'on dit” pour éviter ce son mal sonnant. De plus, toujours pour éviter le son [kɔ̃], il est recommandé d'utiliser le l euphonique après que s'il est suivi d'un verbe commençant par con- ou com-.
Les questions fermées au registre courant
Cette question commence par “est-ce que” et se construit ainsi est-ce que + sujet + verbe + complément. ATTENTION Cette forme d'interrogation ne peut pas être employée avec de la négation. Est-ce que tu parles français ? ( Est-ce que tu ne parles pas français?)
C'est correct/C'est correc' : Le mot correct au Québec qui désigne quelque chose de vraiment bien, de vraiment bon, voire excellent (en opposition au français de France, ou correct désigne quelque chose de simplement passable, assez bien).