« Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël? » Quelle chose te ferait plaisir pour Noël ? Il est donc conjugué à la troisième personne du singulier : Qu'est-ce qui te ferait plaisir pour Noël ?
Quand le verbe de la proposition principale est au futur, le verbe de la proposition circonstancielle de condition introduite par si est au présent de l'indicatif. Cela me fera plaisir si tu m'aides. Mais si le verbe de la principale est au conditionnel, celui de la subordonnée est à l'imparfait de l'indicatif.
Qu'est-ce qui te ferait plaisir ? What would make you happy?
Aller s'aérer l'esprit dehors, seul(e). Penser à sa journée d'un point de vue extérieur. Prendre le temps de respirer, de ne penser à rien. Puis, revenir avec le sourire et tout clancher!
Dans les tournures impersonnelles
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
« Je ferai » correspond au futur et fait référence à des choses qui arriveront ou pourraient arriver dans le futur. « Je ferais » correspond au conditionnel, ce qui signifie que nous voulons voir des choses qui se produisent.
On écrit « je ferai » pour une action future que l'on pense accomplir de façon quasi certaine. « je ferai » correspond au verbe faire au futur simple et s'emploie dans les contextes suivants : - L'action se déroule dans l'avenir.
Bonsoir, A mon avis l'expression "au plaisir" ne se dit guère, sauf peut-être "au plaisir de vous revoir"... Si quelqu'un vous dit "au plaisir" avant de vous quitter, cela sous-entend "à bientôt", donc on peut répondre "à bientôt".
Facilement, de bon gré.
Au plaisir (de vous revoir), formule lorsqu'on quitte quelqu'un.
Cette formule s'emploie en guise «d'au revoir», lorsqu'on veut signifier à son interlocuteur que l'on espère le voir bientôt. Le «plaisir» nous vient de l'ancien français plaisir, qui signifiait «plaire», du latin placere, «être agréable, agréer». Jusqu'ici, rien ne semble justifier l'opprobre lancé sur notre formule.
« Si tu pouvais, tu irais la voir » : pour donner une information non confirmée, faire des hypothèses ou exprimer un souhait, on utilise le conditionnel présent. Le conditionnel présent peut servir à : - donner une information incertaine ou non confirmée.
s'emploie par plaisanterie pour dire que l'on mérite l ... conj.
Le conditionnel présent est formé sur la base du futur simple mais avec les terminaisons de l'imparfait. Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.
1. Mode du verbe qui sert à présenter l'action comme une éventualité ou comme la conséquence d'un fait supposé, d'une condition. (Le français possède un conditionnel présent [j'aimerais] et un conditionnel passé [j'aurais aimé] dont il existe une variante littéraire [j'eusse aimé].)
« Je ferai » est la conjugaison du verbe « faire » à la 1ère personne du singulier au futur simple de l'indicatif. On doit dire [feré] pour bien prononcer cette forme verbale.
Le plus-que-parfait est un temps du passé. Il précise qu'une action s'est déroulée avant une autre qui a déjà eu lieu dans le passé. Cette action peut être exprimée avec un passé composé, un imparfait ou un passé simple.
Le passé simple est un temps littéraire, utilisé presque exclusivement à l'écrit. Le passé simple implique une action courte et ponctuelle. Je regardais, est à l'imparfait. L'imparfait est utilisé pour une description, un comportement répétitif ou une action qui dure dans le temps.
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Le futur simple exprime une action à venir. Demain, j'irai au zoo. Elle verra ses grands-parents pendant les vacances. Le conditionnel présent exprime une hypothèse, un souhait ou une condition.
Il suffit de remplacer votre conjugaison aux personnes du singulier par "nous" pour entre "ons" (futur) ou "ions". Si en remplaçant par nous "ions" sonne bien alors utilisez le conditionnel. Je mangerai du chocolat demain soir (on ne peut pas dire "nous mangerions du chocolat demain soir").
Chaleureusement : on se permet de clore d'un "chaleureusement" un mail destiné à des personnes avec une forte différence d'âge, quel que soit le rapport hiérarchique, pour évacuer toute ambiguité. "De cette façon, on se refère plus à un lien maternel ou paternel." Salutations : le strict minimum.
La formule de politesse la plus connue, employée en réponse à “merci”, est “de rien”. C'est la locution la plus basique.