D'où vient le mot cancer ? Le mot cancer tire son origine du mot latin homonyme qui signifie crabe. C'est Hippocrate (460-377 avant J-C) qui, le premier, compare le cancer à un crabe par analogie à l'aspect des tumeurs du sein avec cet animal lorsqu'elles s'étendent à la peau.
Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter l'exposition aux rayonnements UV.
Hippocrate (460-377 avant Jésus-Christ) a été le premier à comparer le cancer à un crabe par analogie à l'aspect des tumeurs du sein lorsqu'elles s'étendent sur la peau. En effet, la tumeur est centrée par une formation arrondie entourée de prolongements en rayons semblables aux pattes d'un crabe.
Les principales stratégies utilisées dans le traitement des cancers sont la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, les thérapies ciblées, l'hormonothérapie et l'immunothérapie. Pour certains cancers du sang, une greffe de moelle osseuse est parfois nécessaire.
Les métastases se développent de préférence dans les poumons, le foie, les os, le cerveau. Ce n'est pas un autre cancer, mais le cancer initial qui s'est propagé. Par exemple, une métastase d'un cancer du sein installée sur un poumon est une tumeur constituée de cellules de sein ; ce n'est pas un cancer du poumon.
C'est le sucre (glucose) qui fournit l'alimentation nécessaire à chaque cellule de l'organisme, même les cellules cancéreuses.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
L'immunothérapie, traitement qui stimule les défenses immunitaires, a déjà fait ses preuves chez certains patients dans les cancers du poumon, du col de l'utérus, du sang (leucémies), de la peau (mélanome) et de la prostate. Dans ceux des ovaires, des intestins et du sein, les découvertes restent à faire.
Le Pr Dominique Marananchi rappelle que les cancers diagnostiqués lors d'un dépistage sont ceux qui se guérissent le mieux. Les cancers de la prostate, du sein, du testicule, de la thyroïde, et le mélanome ont le meilleur pronostic. La survie à cinq ans est supérieure ou égale à 80%.
C'est donc officiel, le sucre est l'ennemi numéro 1.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
Au total, les connaissances actuellement disponibles sont contradictoires et ne permettent pas d'établir un lien de causalité entre stress et augmentation du risque de cancer. Le cancer peut en revanche générer un stress chez les patients atteints de cancer et leurs proches.
D'autres maladies "fulgurantes"
Si les cancers de la prostate et du sein sont les plus fréquents, c'est le cancer du poumon qui est le plus mortel chez l'homme et celui du sein chez la femme, devant les cancers colorectal et de la prostate, selon les derniers chiffres de Santé publique France.
Les viandes rouges et la charcuterie, les graisses, le sel et l'alcool sont les principaux aliments qui augmentent le risque de cancer. Il est prouvé que la consommation de viande rouge (bœuf, veau, mouton, agneau, porc) et de charcuterie est associée à une augmentation du risque de cancer colorectal.
La régression spontanée d'une tumeur maligne peut s'observer en cas de cancer localisé mais également dans les formes métastatiques. En effet, la régression de métastases pulmonaires associées à un mélanome malin ou à un cancer du rein est un phénomène connu après traitement chirurgical de la tumeur primitive.
Gustave Roussy dans le top 5 mondial des meilleurs hôpitaux en cancérologie. Gustave Roussy est le 5e meilleur hôpital spécialisé en cancérologie au monde et le 1er hors Etats-Unis d'après le classement World's Best Hospitals 2021 du magazine américain Newsweek paru en septembre 2020.
Les fruits rouges comme les bleuets, les framboises, les mûres, les fraises et les cranberries sont les meilleurs antioxydants que l'on puisse trouver. Ils contiennent l'une ou l'autre des trois molécules anti-cancer (l'acide ellagique, les anthocyanidines et les proanthocyanidines).
Les cancers du poumon, colorectal et de la prostate sont les plus mortels car ils sont très fréquents. Selon les chiffres de l'Institut national du cancer, les cancers de la thyroïde, du sein et de la prostate sont des cancers de "bon pronostic" puisque 5 ans après le diagnostic, leur survie est supérieure à 80%.
Certains cancers sont dits silencieux. Ils ne présentent aucun symptôme jusqu'à un stade avancé de la maladie. Le diagnostic est donc tardif, ce qui a un impact sur les chances de guérison. C'est le cas du cancer de l'ovaire et du cancer colorectal.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
La plupart des cancers ont tendance à se propager plus souvent à un emplacement plutôt qu'à d'autres. Par exemple, le cancer du sein et le cancer de la prostate se propagent le plus souvent aux os. Le cancer colorectal a plutôt tendance à se propager au foie.