La cuisson des légumes est une étape très importante pour ne pas rendre une soupe trop amère. Il ne faut donc pas hésiter à prolonger leur cuisson et à ajouter une pincée de gros sel dans l'eau de cuisson.
Le curcuma par exemple, avec son goût chaleureux et terreux, viendra masquer l'amertume. Vous pouvez aussi choisir du cumin ou du paprika. Pour une touche sucrée, choisissez la cannelle.
Certaines « courges », cousines de la citrouille et du potiron, contiennent en effet des cucurbitacines, des substances irritantes au goût amer qui ne sont pas détruites par la cuisson et peuvent être responsables, rapidement après l'ingestion, de symptômes digestifs plus ou moins sévères.
« Si on tient à cuire dans du liquide, autant y aller au lait. Ça adoucit et chasse l'éventuelle amertume. » Secret de chef : « Ajouter un trait d'huile de noisette ou de noix juste avant de servir. Ça rallonge la longueur en bouche du légume. » Une autre bonne façon de cuire, c'est le four.
Le sel est souvent l'ingrédient le plus utilisé pour ôter l'amertume d'un plat. Mais cette astuce ne convient pas à tous les plats. Parfois, il suffit de rajouter 1/3 de cuillère à café de sucre pour venir adoucir le goût d'un plat.
Un goût amer dans la bouche peut être causé par une mauvaise hygiène buccale, l'utilisation d'antibiotiques et/ou d'antidépresseurs, le reflux, les troubles hépatiques, l'utilisation de compléments multivitaminés, l'acidocétose diabétique et les infections fongiques, par exemple.
En effet, l'acidité permet d'adoucir le piment pour équilibrer les saveurs de votre plat. Il vous suffit de verser du jus de citron dans ce dernier, jusqu'à ce que son niveau de piment vous semble acceptable. Cette astuce fonctionne également avec le vinaigre ou tout autre fruit à l'acidité prononcée.
En cas de doute, goûtez un petit morceau cru : si le goût est amer, recrachez-le et jetez la courge à la poubelle car cela signifie qu'elle n'est pas consommable, même cuite. Si le goût est neutre ou légèrement sucré, la courge est comestible.
En glace, en confiture, en gâteau ou encore en tarte, le potimarron va se marier à merveille avec les épices telles que la cannelle, la vanille, le gingembre mais aussi avec des fruits tels que la pomme.
La règle est simple : on ne garde la peau d'un cucurbitacé uniquement s'il s'agit d'un potimarron. En effet, la peau très fine de ce légume, une fois cuite, peut être consommée sans difficulté. Son goût ne sera pas trop prononcé, ni désagréable après cuisson contrairement à d'autres variétés de courge.
Ce phénomène se produit lorsque cohabitent des variétés amères et des variétés comestibles, dans un même potager ou dans des potagers voisins, et que les graines sont récoltées et semées d'année en année.
On constate une différence également pour la chair, celle du potimarron est plus tendre que celle du potiron. comme cette publicité ! Côté goût, sa chair épaisse se rapproche de la purée de marrons. Sa couleur peut varier de rouge à rouge brique ou rose, bronze ou même vert.
« Si vous brûlez exagérément, votre mbongo sera amer. Si vous mettez trop d'ingrédients, votre sauce perdra son goût. » Du haut de ses 11 ans, Samiratou maîtrise déjà « presque » toutes les étapes, même si elle peine encore à écraser les ingrédients à la pierre.
Comment enlever l'amertume d'une soupe à la courgette ? Lors de la prochaine fournée de soupe, n'hésitez pas à rajouter une cuillerée de bicarbonate de soude dans votre casserole.
L'amertume est causée par la présence de la cucurbitacine.
Le potimarron est une courge lisse très orangée virant parfois sur le vert. Très peu calorique avec un poids moyen de 2 kg, son goût similaire à la châtaigne fait de lui une courge facile à préparer, autant dans des plats salés que sucrés.
Par exemple le potiron et le potimarron contiennent environ 5g de glucides pour 100g ils pourront donc être considéré comme des “légumes non féculents” dans l'assiette. La butternut, elle contient près de 11g de glucides pour 100g et dans ce cas elle sera plus à considérer comme “légume féculent” dans votre assiette !!
On en utilise parfois les feuilles, les tiges ou les fleurs. C'est fraîches qu'elles donnent le meilleur d'elles même mais certaines s'utilisent aussi séchées comme le thym, le romarin et l'origan sans perdre leur caractère.
Grâce à la présence de fibres dans sa composition, ce cousin du potiron facilite le transit intestinal. En effet, les fibres de ce légume augmentent les volumes des selles en captant l'eau présente dans le tube digestif.
Riche en nutriments : Le potimarron est une excellente source de vitamines et de minéraux essentiels tels que la vitamine A, la vitamine C, le potassium et le magnésium. La vitamine A, présente sous forme de bêta-carotène, est bénéfique pour la santé des yeux, la peau et le système immunitaire.
Savez-vous que dans la grande famille des courges d'hiver le potimarron est le seul qui peut se déguster avec la peau ? Lors de la cuisson, cette dernière devient toute souple et elle se mêle parfaitement à la chair douce et agréablement sucrée.
Le lard. Le lard en tranches ou en dés est utilisé en cuisine pour relever le goût d'une préparation. Pour ce faire, les dés de lard sont d'abord rissolés afin de les rendre bien croquants. Ils accompagnent magnifiquement les purées de légumes, mais apportent également une note croustillante à une salade.
Il y a plusieurs façons d'adoucir un plat ou une sauce en cuisine. On peut ajouter de l'eau, du lait ou de la crème voire du sucre ou simplement prolonger la cuisson. Par exemple, on adoucit un concassé de tomates fraîches en ajoutant du sucre pour atténuer son acidité.
Des produits laitiers comme la crème ou le beurre, ainsi que des ingrédients sucrés comme les carottes ou les oignons, peuvent équilibrer la saveur.