Une humidité inhabituelle dans la pièce
Les traces d'humidité peuvent être un autre signe de présence de CO. De la condensation inhabituelle sur une fenêtre ou sur une table peut indiquer que du monoxyde de carbone s'accumule.
À la maison, les sources d'émanations de monoxyde de carbone sont multiples: Les cheminées, les appareils ménagers à gaz (cuisinière, four, réfrigérateur, etc.), les systèmes de chauffage et les chauffe-eau à combustion; Les véhicules et les autres appareils à combustion (tondeuse, souffleuse, etc.)
Ce gaz ne vient pas des appareils électriques. Ces appareils peuvent produire du monoxyde de carbone quand ils ne marchent pas bien : cuisinière, • chaudière et chauffe-eau, • chauffage d'appoint pas électrique, • poêle, • cheminée.
Il provient de tout appareil (cuisinière, chaudière, chauffe-eau, groupe électrogène, poêle, cheminée...) utilisé en atmosphère confinée ou dans un local exigu, ou défectueux.
Est-ce que le monoxyde de carbone monte ou descend ? Et pour cause : le monoxyde de carbone a la même densité que l'air. Il se mélange donc avec l'air ambiant, ne monte pas, et est plus concentré dans la zone où l'air est le plus brassé, c'est-à-dire au coeur de la pièce.
les chauffe-eau et chauffe-bains. les inserts de cheminées, poêles. les chauffages mobiles d'appoint. les cuisinières (bois, charbon, gaz)
Le détecteur de monoxyde de carbone doit être placé dans la même pièce que l'appareil à combustible du logement. L'idéal est qu'il se situe entre 1m et 3m à l'horizontal de la source.
Les signes cliniques ne sont pas spécifiques : maux de tête, vertiges, malaises, nausées, dyspnée, troubles de la vision, de l'odorat ou du goût, troubles du sommeil, de la mémoire, de l'attention, douleurs thoraciques, abdominales, musculaires peuvent être rencontrés à des fréquences variables.
Il n'irrite pas les yeux ni les voies respiratoires. Quand une personne respire du monoxyde de carbone, le gaz entre dans son sang et y prend la place de l'oxygène. Cela endommage les tissus et peut être très dangereux pour la santé.
Respectez systématiquement les consignes d'utilisation des appareils à combustion indiquées par le fabricant : ne jamais faire fonctionner les chauffages d'appoint en continu ; placer impérativement les groupes électrogènes à l'extérieur des bâtiments ; ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à ...
Valeur limite à ne pas dépasser. VME (Valeur d'exposition moyenne) égale à 50 PPM ou 55 mg/ m3.
Contrairement aux détecteurs avertisseurs autonomes de fumée (DAAF), obligatoires depuis le 8 mars 2015, les détecteurs avertisseurs autonomes de CO (DAACO) ne sont, ni obligatoires, ni soumis à la réglementation des produits de construction.
Réglés sur 50 ppm, les détecteurs se mettent en alarme dans des nappes de gaz pouvant être comprises entre 50 et 100 ppm. Ces déclenchements réguliers dans une plage de concentration inférieure à 100 ppm, sans danger pour la santé pendant 4h d'exposition, banalise le danger de l'exposition au gaz.
Le monoxyde de carbone (CO) est un gaz incolore, inodore, toxique et potentiellement mortel qui résulte d'une combustion incomplète, et ce quel que soit le combustible utilisé : bois, butane, charbon, essence, fuel, gaz naturel, pétrole, propane. Il diffuse très vite dans l'environnement.
Un détecteur de Monoxyde de Carbone est conseillé dès lorsque vous avez un appareil à combustion (chauffage, gazinière, feu à pétrole…)
La réponse directe à la question ci-dessus est: oui. Votre poêle à gaz, à granules ou à bois, votre encastrable ou votre foyer produira du monoxyde de carbone. Tous les appareils de chauffage doivent évacuer leurs gaz de combustion via une cheminée vers l'extérieur.
Le meilleur rapport qualité/prix
Le détecteur de CO2 Selensy est un appareil doté d'un capteur infrarouge NDIR. D'une grande précision, cet appareil homologué CE mesure en temps réel la quantité de dioxyde de carbone présent dans l'air, l'humidité relative et la température ambiante.
Les détecteurs de fumée alertent en cas d'incendie. Les détecteurs de monoxyde de carbone alertent si un appareil à combustion (chauffage d'appoint, poêle, insert, chaudière…) refoule du monoxyde de carbone, un gaz incolore et inodore mais mortel, dans la pièce.
Un adulte expire en moyenne 20 litres de CO2 par heure. En une nuit de 8h, cela représente un volume d'environ 160 litres. Si on prend une chambre de 10m2 avec 2.5m de plafond, qui nous donne un volume de 25m3 soit 25'000 litres (désolé pour les maths), il aura remplacé 0.64% du volume par du CO2.
Une intoxication modérée ou grave par le monoxyde de carbone provoque un défaut de jugement, de la confusion, une perte de connaissance, des convulsions, des douleurs thoraciques, un essoufflement, de l'hypotension artérielle et un coma.
Faire vérifier et entretenir les installations de chauffage et de production d'eau chaude, ainsi que les conduits de fumée par un professionnel qualifié, avant chaque hiver. Aérer 10 minutes matin et soir, tout au long de l'année et ne jamais obstruer les entrées et sorties d'air.
Pour combattre un feu et éviter sa propagation, il faut utiliser l'agent extincteur le plus approprié à la nature du feu. Il est plus courant d'utiliser l'extincteur à eau pulvérisée + additif. Il reste l'extincteur le plus courant pour la protection générale.