Augmenter les apports en vitamine C et en vitamine B6
C'est le cas de la vitamine B6, qui est nécessaire à la production de progestérone. Mais elle l'est aussi à la décomposition de l'œstrogène dans le foie. D'ailleurs, la vitamine B6 est également une vitamine clé de la grossesse et de la fertilité.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
Fatigue chronique, faiblesse musculaire, étourdissements (en passant de la position assise à la position debout), envies de sel, diminution de l'appétit et perte de poids sont quelques-uns des symptômes qui y sont associés.
Dans les déséquilibres hormonaux on conseille : Les plantes adaptogènes (ex : basilic sacré, astragale…) : permettent de lutter contre le stress corporelle. Méditation, exercices de respiration : permettent de gérer le stress émotionnel qui a un impact direct sur les glandes surrénales notamment (cortisol et adrénaline ...
Certains aliments contiennent de la progestérone. C'est le cas : des œufs, le jaune en particulier, des produits laitiers à base de lait de vache et de la volaille.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
La vitamine B6 et la vitamine B9 contribuent à réguler l'activité hormonale. En synergie avec les autres actifs, elles vont notamment participer au fonctionnement normal du système nerveux, très interdépendant du système hormonal, et à réduire la fatigue.
LES PLANTES AMIES DES FEMMES, pour l'équilibre hormonal
La sauge officinale : c'est une plante oestrogène-like, elle à une activité emménagogue (provoque les règles) et antalgique (diminue la douleur des règles). Elle a également une action sur les leucorrhées mycosiques.
Quelles sont les hormones du bonheur ? Il en existe 4 principales : la dopamine ; la sérotonine ; l'endorphine et l'ocytocine.
Mais la ménopause n'est pas la seule raison pour laquelle une femme peut avoir un faible taux d'œstrogènes. D'autres causes potentielles de déséquilibre incluent : le syndrome des ovaires polykystiques, l'allaitement, une ablation ovarienne, l'anorexie, et l'exercice intense.
De nombreux compléments alimentaires destinés aux femmes ménopausées contiennent des phyto-estrogènes issus du soja, de la sauge, de la luzerne, du trèfle ou du houblon. Ces composés naturels sont recherchés car leur action dans l'organisme ressemble à celle des hormones féminines.
Pour les limiter, on révise son hygiène de vie : On évite les excitants (café, alcool, soda...), qui renforcent la nervosité. On y va mollo sur les sucres raffinés, qui favorisent la production des enzymes impliqués dans la fabrication des œstrogènes (qui prennent le dessus sur la progestérone).
Pour simplifier au maximum, la leptine est l'hormone qui dit à ton corps quand il faut arrêter de manger. Si tu as un faible niveau de leptine cela peut souvent entraîner des fringales dans la journée et donc ton corps aura tendance à stocker davantage.
Le stress, le tabac et l'exposition aux métaux lourds jouent les trublions en contrariant l'activité des glandes endocrines. Leur impact est particulièrement délétère sur les ovaires, la thyroïde, le pancréas et les glandes surrénales.
Les oestrogènes sont des hormones féminines qui agissent sur beaucoup de tissus de l'organisme féminin. La principale hormone féminine avant la ménopause est l'estradiol qui est produit essentiellement par les ovaires. Les ovaires, au nombre de deux, sont des glandes qui sont situées dans le bassin près de l'utérus.
Non. Un traitement hormonal bien équilibré n'entraine pas de prise de poids comme l'ont confirmé plusieurs études scientifiques.