De quoi est morte l'orque ? La question se pose au regard de l'information révélée ce mercredi 6 juillet : une munition a été découverte à la base du crâne de l'animal, décédé fin mai dans la Seine, selon l'autopsie, qui privilégie toutefois un décès par inanition, indique la préfecture de Seine-Maritime.
Le squelette de l'orque, qui s'est perdue dans la Seine entre Rouen et Le Havre et est décédée le 30 juin, va rejoindre les collections du Muséum national d'Histoire naturelle.
« L'hypothèse la plus probable est celle d'un tir de pêcheur. La pratique est méconnue, mais souvent orques, dauphins, phoques se font tirer dessus, à cause de la compétition pour la pêche, relate Lamya Essemlali. Et comme cela survient en pleine mer, c'est en quasi-impunité. »
La présidente de l'association Sea Shepherd penche plutôt pour un "événement ponctuel" traumatisant qui expliquerait que l'animal se soit isolé des siens. L'orque comme le béluga ont par ailleurs été observés "dans la même embouchure au Havre", souligne Lamya Essemlali.
Les orques sauvages ne sont pas considérées comme une menace pour l'Homme, certaines s'approchent même des embarcations dans le but d'établir un contact. Cependant, il y eut des cas de spécimens captifs tuant ou blessant leurs dresseurs dans des parcs à thème marin.
La déroute de ces mammifères loin de leur habitat primaire fait l'objet de plusieurs autres hypothèses. Rejet familial, recherche de nourriture… Malades, ils pourraient également se retrouver déboussolés et perdre la trace de leur groupe.
Féminin : une orque. Le mot est féminin, toutefois on note la fréquence de plus en plus marquée du masculin (un orque) à l'oral. recommandation : Dans l'expression soignée, en particulier à l'écrit, employer le mot au féminin.
Il y a trois delphinariums en France métropolitaine: au Parc Astérix dans l'Oise (60), à Planète Sauvage en Loire-Atlantique (44) et au Marineland à Antibes (06). En tout, 27 dauphins et 4 orques vivent sur le sol français.
Cette opération est menée par des experts en bioacoustique de cétacés, accompagnés par le Groupe d'Etudes des Cétacés du Cotentin (Gecc) "Il y a un bateau qui va essayer d'attirer l'orque et un bateau qui sera un peu plus en retrait derrière pour observer son comportement", explique Delphine Eloi, directrice du Gecc.
Le cétacé a d'abord été repéré au large du Havre la semaine dernière, où sa présence est assez rare. Son dernier signalement a été fait au niveau de la commune de Yainville, assez loin dans les terres.
De quoi est morte l'orque ? La question se pose au regard de l'information révélée ce mercredi 6 juillet : une munition a été découverte à la base du crâne de l'animal, décédé fin mai dans la Seine, selon l'autopsie, qui privilégie toutefois un décès par inanition, indique la préfecture de Seine-Maritime.
Sur Twitter, l'association Sea Shepherd France a confirmé avoir « retrouvé le cadavre de l'orque [lundi] matin à 11 h 48 ». « Nous sommes actuellement avec elle pour empêcher que son corps ne soit percuté par un navire, ce qui compromettrait l'autopsie.
La réponse est non : "Il n'y a jamais eu, à ma connaissance, d'agression d'une orque vis-à-vis d'une personne en milieu naturel.
L'une d'entre elles est surprenante : les scientifiques émettent l'hypothèse que les orques aiment la pression de l'eau produite par l'hélice d'un bateau. «Nous pensons qu'ils adorent sentir les remous provoqués par l'hélice dans le museau» détaille Renaud de Stephanis.
Les yeux de l'orque sont situés juste en dessous et à l'avant des taches oculaires, au-dessus et derrière le coin de leur bouche. Les couleurs noir et blanc, ainsi que les taches blanches près des yeux de l'orque créent un effet trompeur sur leurs proies.
Quelques fois, des orques sont observées dans le Golfe de Gascogne, principalement au large de Capbreton, comme en octobre 2019 et en juillet 2020, mais aussi jusqu'en Charente-Maritime en 2021.
Tilikum, « l'orque tueuse », rendue célèbre par le documentaire américain « Blackfish (L'Orque tueuse) », est morte vendredi à l'âge de 36 ans, a annoncé sur Twitter le parc à thème SeaWorld, situé à Orlando en Floride (sud-est).
L'orque allaite généralement tout près de la surface. La mère glisse en position horizontale, la queue arquée, et le bébé nage sur le côté, la bouche sur la glande mammaire droite ou gauche.
Toujours au féminin (des chips faites à l'huile). Le pluriel est habituel, mais pour parler d'une rondelle unique de pomme de terre frite, on peut dire : une chips.
Le béluga ou bélouga (Delphinapterus leucas), appelé également baleine blanche, dauphin blanc et marsouin blanc, est une espèce de cétacés de la famille des Monodontidae vivant dans l'océan Arctique et dans l'estuaire du Saint-Laurent.
De son nom scientifique Delphinapterus leucas, le béluga est aussi surnommé "baleine blanche" et "dauphin blanc". Il appartient au sous-ordre des odontocètes (cétacés à dents), qui comprend également le cachalot, l'orque, le dauphin, le marsouin, le narval et le globicéphale.
Les orques ne connaissent aucun prédateur mais sont les prédateurs de tous : baleines, dauphins, éléphants de mer, phoques, requins, thons, harengs, saumons… Chaque orque mange environ 3% de son poids par jour : poissons mais aussi otaries ou jeunes lions de mer qu'elle capture en mer ou sur les plages.
Nous vous racontons aujourd'hui l'histoire de Bâbord et Tribord, deux orques redoutables qui croisent au large de l'Afrique du Sud et qui apportent la réponse à la question : orque vs requin blanc, qui gagne ? Inutile de ménager le suspense, il s'agit de l'orque, incontestablement !
Taper sur le nez du prédateur
«Il leur tapait sur le nez ou les branchies. Ces zones couvertes de capteurs sont très sensibles, ça peut les dissuader», ajoute le biologiste.