Écouter ses beaux-parents avec empathie et essayer de comprendre leurs attentes est essentiel pour faire grandir le respect mutuel. Être écouté est souvent la chose que les beaux-parents attendent le plus. De plus, consacrer du temps à cela fera toujours plaisir à son partenaire.
Faites-le de façon claire et paisible, en lui parlant « au je », et en évitant de l'accuser de quoi que ce soit. Gardez toujours en tête qu'il aime ses parents et tentez de trouver un terrain d'entente raisonnable pour tous. Soyez patiente et conservez votre calme. Rien ne se règle dans l'adversité.
La chemise doit impérativement être bien ajustée. Vous pouvez avoir le plus beau tissu du monde, mais si la chemise est trop ample ou au contraire qu'elle vous boudine, l'effet escompté ne sera pas en rendez-vous. Misez de préférence sur une chemise sur-mesure.
« Dès le début, il est important de fixer des limites à sa belle-famille, nous avertit Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne. Il ne faut pas avoir peur de mettre un cadre autour de ces relations qui peuvent rapidement devenir toxiques : osez affirmer vos besoins, ne vous sacrifiez pas.
Ces belles-mères toxiques aiment donner et imposer leur opinion. Elles n'ont pas la capacité de s'autocritiquer. Elles ne sont pas empathiques. Elles ne savent pas comment respecter les décisions de leurs enfants.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Soyez vous-même. Même si les parents de votre petit ami ne vous aiment pas autant que cela, cela ne veut pas dire qu'il n'y a aucun espoir pour la relation. Essayez de faire en sorte que tout se passe bien et sans doute, ils tenteront également de faire de même. Il n'y a rien de pire que de vouloir en faire trop.
Évitez les recettes trop épicées ou trop pimentées. Ça serait bête que votre belle-mère s'étouffe en plein milieu du repas, quand même. Pensez généreusement, mieux vaut en avoir trop que pas assez ! Au pire, s'il vous en reste, vous le mangerez demain en faisant un debrief du dîner avec votre moitié.
Pour nommer ses beaux-parents, il existe six possibilités : appeller sa belle-mère par son nom de famille, par son prénom, par « belle-maman », par « maman », par « mamie » ou « mémé », ou éviter. Parmi ces possibilités relevées, une nette préférence est accordée par les belles-filles pour « mamie », « mémé ».
Expliquez votre point de vue et vos limites à votre belle-famille. Faites savoir à vos beaux-parents que vous cessez tout contact avec eux et donnez les raisons de votre décision. Gardez la conversation courte et tenez-vous-en aux faits. Évitez de vous quereller.
« Une belle-famille envahissante peut générer une souffrance au sujet de laquelle il ne faut pas culpabiliser : chaque individu a droit au respect de son espace vital et, si celui-ci est menacé, il faut réagir ! » affirme Élisabeth Couzon, psychologue clinicienne.
Rien ne doit rester en suspens, au risque d'empirer les choses rapidement. Seulement, il est important que cela soit fait avec respect et tact. Ces relations sont très souvent conflictuelles par définition. Il vaut donc mieux faire en sorte de parler calmement et poliment pour éviter les tensions.
Qu'il s'agisse de vous ou d'une autre, votre belle-mère trouverait toujours à redire. Soyez patiente et positive et laissez le temps agir et votre belle-mère s'habituer peu à peu à votre présence. Laissez glisser certaines remarques, choisissez vos batailles ! Tous les conflits n'en valent pas la peine.
Vous pourriez commencer par quelque chose comme : « J'apprécie de t'avoir dans ma vie et je veux m'assurer que notre relation est aussi saine que possible. » Essayez de lui présenter les choses comme si vous résolviez un problème plutôt que de donner l'impression que vous vous disputez.
Parce qu'elle aussi a besoin de temps précieux … avec vous ! « T'es super belle, ! », « Tu rayonnes ! », « 'Tu as bonne mine maman. » Tous ces mots doux qui donnent le sourire.
Mettez-vous bien une chose dans la tête : la complicité parents-enfants, vous ne pourrez pas la concurrencer ! Il va falloir faire avec. Montrez-vous proche de sa fille ou de son fils et aux petits soins (sans en faire des tonnes, évidemment). Évitez d'être trop démonstratif, cela peut être gênant.
Cachez votre relation à toute personne qui selon vous, pourrait le dire à vos parents. Sinon, ils le découvriront par un tiers. Vous ne devriez le dire qu'à des amis proches X Source de recherche . Si vous en parlez à un ami, vous pouvez lui demander de vous couvrir lorsque vous serez avec votre partenaire.
Ne pas supporter sa belle-fille ou son gendre est souvent dû au fait qu'on les considère inconsciemment comme des rivaux ou des concurrents alors qu'en matière de relations beaux-parents/beaux-enfants, il ne s'agit pas du tout de ce registre là.
Souriez, soyez amical sans être trop hypocrite, mais rappelez-vous que c'est de votre devoir de partager avec eux, comme le fait votre partenaire avec votre famille, donc faites que tout se passe bien.
Une belle-mère manipulatrice narcissique utilise essentiellement la violence psychologique pour contrôler sa belle-fille qui est une victime. Elle va donc vous contrôler, vous rabaisser publiquement et littéralement vous casser mais jamais en présence de son fils et donc votre mari.
Mettez de la distance.
Sans vous justifier ou vous perdre dans des explications, annoncez avec fermeté que vous avez besoin de prendre du recul. Si vous faites face à une personne toxique, donnez le moins d'informations possible - elles pourraient se retourner contre vous.