Romano, le sens véritable « d'être soi-même » relève moins du problème logique de l'identité que de celui plus existentiel de la conformité : être soi-même, c'est être en conformité avec son être véritable. L'expression a donc une portée normative qui engage le problème de la vérité de la personne.
Se sentir libre d'exprimer nos valeurs, nos pensées, nos aspirations, et nos besoins dans un respect mutuel. Cela implique d'être en lien et de partager ce que nous sommes réellement, et donc être conscient de ce qui nous définit, de ce qui nous traverse, tels nos émotions, nos fragilités, nos voiles.
Mais, pourquoi est-il si difficile d'être nous-mêmes ? La réponse est simple : nous avons peur. Cela peut sembler ironique, mais nous avons peur de nous découvrir et de voir réellement qui nous sommes.
Acceptez de ne pas être parfait : c'est impossible donc arrêtez de vous mettre trop de pression ! Oubliez le regard des autres : on ne peut pas plaire à tout le monde ! Affirmez vos opinions : commencez à le faire dans un cercle restreint puis agrandissez-le ! Cultivez votre singularité : vous êtes unique !
Les caractéristiques de l'isolement
Les personnes isolées décident de se renfermer sur elles-mêmes du fait d'un manque de confiance en elles ou d'un sentiment de malaise lorsqu'elles sont en compagnie d'autres personnes. Elles préfèrent rester seules et accumulent les pensées négatives sur elles-mêmes.
Causes. Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation apparaît souvent chez des personnes qui ont connu un stress sévère, notamment : Une maltraitance affective ou une négligence au cours de l'enfance. Une maltraitance physique.
C'est lorsque nous passons de l'obéissance à la soumission. Certaines personnes finissent par faire trop confiance à ces personnes qu'elles considèrent comme plus expérimentées et pas assez à elles-mêmes. Nous ne sommes plus nous-même, lorsque nous nous soumissions à des règles, des ordres de façon aveugle.
Se connaître soi-même, c'est bien davantage se reconnaître dans ses propres choix, dans la manière de les assumer en étant capable, par exemple, de tenir ses promesses. La connaissance de soi met alors à jour notre identité-ipsé, c'est-à-dire notre dignité morale qui nous élève au-delà de ce que la nature fait de nous.
La confiance en soi : un manque de confiance en soi conduit souvent à être trop dur(e) envers soi-même, à se mettre beaucoup de pression et à se fixer des objectifs irréalistes. Au contraire, un excès de confiance en soi ne permettra pas de se remettre en question lorsque c'est nécessaire.
Il est impossible de ne pas être soi parce que la conscience est notre manière d'exister or la conscience est présence à soi et au monde. J'ai conscience de moi et j'ai conscience du monde, telle est la donnée immédiate.
Le trouble est souvent déclenché par un stress sévère. Le diagnostic repose sur des symptômes spécifiques après que les autres causes possibles aient été écartées. Le traitement consiste en une psychothérapie ainsi qu'un traitement médicamenteux en cas de dépression comorbide et/ou d'anxiété.
Ce ne sont pas non plus des techniques comme la méditation ou la relaxation qui vont permettre de traiter la dépersonnalisation. Il n'existe donc pas de moyen direct de contrôler dépersonnalisation ou déréalisation. Le penser, et le vouloir, c'est peine perdue.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
On se replie sur soi-même, on aspire au calme et on souhaite être seul. Ceux qui sont encore capable d'aller travailler, passent souvent la totalité du temps libre qui leur reste au lit. Le dépressif s'évade de la réalité, fuit cette insensibilité émotionnelle, ce sentiment de solitude et de vide à l'intérieur de lui.
La peur du regard et du jugement de l'autre est souvent nourrie par des fragilités au niveau de l'estime de soi. De nombreuses pensées apparaissent alors au quotidien afin de vous convaincre que vous n'êtes pas au niveau ou que l'autre ne devrait pas trop tarder à remarquer vos nombreux défauts.
Comment intégrer la pleine conscience dans votre quotidien? La pleine conscience peut être pratiquée de deux façons : Formelle : en prenant un temps d'arrêt en position assise ou debout pour méditer. Informelle : en portant l'attention sur chaque instant de l'activité quotidienne réalisée.
Passer de la peur au courage
Puis, il faut les analyser (nos peurs nous font penser à l'avenir), lire nos peurs pour les accepter et s'en défaire, les rendre moins effrayantes, dédramatiser la peur en elle-même. Enfin, il faut bien comprendre qu'elles sont « légitimes » et non-culpabilisantes.
De la fatigue accumulée, le changement de saison, des périodes stressantes, des changements qui demandent beaucoup d'adaptation ou de flexibilité… Les raisons peuvent être aussi variées que nombreuses. On se sent dépassée, désintéressée et on ressasse souvent les mêmes idées négatives ou dévalorisantes.