Regarder à gauche, puis à droite, puis de nouveau à gauche avant de s'engage. Tenir compte des facteurs extérieurs : vitesse des véhicules et des autres piétons, présence d'eau sur la route, luminosité, visibilité, etc. Marcher loin du bord du trottoir. Tenir la main des enfants et leur interdire de jouer sur le ...
Les règles de base sont simples : marcher sur le trottoir, emprunter les passages protégés, ne pas traverser une rue en diagonale et respecter la signalisation lumineuse. Car, même s'il est toujours prioritaire, le piéton doit accepter de partager l'espace avec tous les autres usagers.
Être aussi vigilant sur les passages pour piétons qu'en dehors. Regarder à gauche et à droite puis encore à gauche avant de s'engager sur la chaussée pour voir si des véhicules arrivent. Vérifier, s'il y a des feux, que le bonhomme est vert et que tous les véhicules soient à l'arrêt avant de s'engager.
Concrètement le piéton qui commet une faute en ne respectant pas le code de la route a le droit quand même d'être indemnisé. En revanche si à cause de sa faute le véhicule a des dommages, le piéton reste responsable des dommages au véhicule. C'est son assureur responsabilité civile qui interviendra alors.
En marchant sur le trottoir, tenez-vous le plus éloigné possible de la chaussée. Observez les autres usagers, surtout avant et pendant la traversée de la route. Marquez toujours un arrêt au bord du trottoir. Assurez-vous par un coup d'oeil à gauche et à droite que vous pouvez traverser la route sans danger.
Les pistes cyclables étant exclusivement réservées aux vélos, donnent la priorité aux cyclistes sur les piétons.
Quels sont les droits du piéton ? Le piéton est l'usager le plus protégé par le code de la route : il a, quoiqu'il arrive, toujours la priorité sur la chaussée. Ne pas céder le passage à un piéton est une infraction entraînant la perte de 6 points sur le permis de conduire ainsi qu'une amende de 135 euros.
Le piéton a commis une infraction et est donc responsable, mais c'est bien le conducteur qui est en tort puisqu'il aurait dû anticiper sa traversée. Cette situation paradoxale du Code de la route est souvent décriée. Le non-respect de ces règles expose le piéton à une amende forfaitaire de 4 euros.
En premier lieu, emprunter les passages pour piétons constitue une obligation légale et un comportement essentiel en matière de sécurité routière. À moins qu'il n'y en ait pas dans un rayon de 50 mètres autour de vous, vous devez traverser «sur les clous ».
Ce qui fait qu'au lieu de regarder d'abord à gauche pour traverser une rue à double-sens il faut regarder à droite puis à gauche. Le réflexe n'étant pas immédiat, pas de panique, je pense que les accidents ont été nombreux et il y a donc d'énormes signes sur la chaussée avant chaque traversée.
Il traverse sans passage pour piéton à moins de 50 m
C'est un cas plus rare et il faut connaître cette loi. Si aucun passage pour piéton n'est présent à moins de 50 mètres du piéton, celui-ci est en droit de traverser et aura la priorité de passage. Pas facile de sortir le décamètre et mesurer!!
412-42 leur impose de se tenir sur le bord gauche de la chaussée dans le sens de leur marche, sauf si cela est de nature à compromettre leur sécurité ou sauf circonstances particulières.
À défaut de passage protégé à 50 mètres, et hors intersection, il faut traverser selon un axe perpendiculaire à la chaussée. Aux intersections où il n'existe pas de passage protégé, le piéton doit traverser la chaussée dans le prolongement du trottoir (pas en diagonale).
Le refus de priorité à un passage piéton
Selon le code de la route, un piéton qui s'apprête à franchir un passage clouté est toujours prioritaire. Refuser la priorité à un piéton est donc une erreur éliminatoire au permis B.
Les piétons doivent traverser la chaussée en tenant compte de la visibilité ainsi que de la distance et de la vitesse des véhicules. Ils sont tenus d'utiliser, lorsqu'il en existe à moins de 50 mètres, les passages prévus à leur intention.
En 2017, les piétons représentaient 14 % de la mortalité routière avec 484 décès. Ces accidents mortels sont notamment survenus sur la chaussée, à moins de 50 mètres d'un passage piéton, ou sur l'un de ces passages. Sur le trottoir : Circulez sur les trottoirs et sur les accotements s'ils sont praticables.
Pourquoi les cyclistes ne prennent pas les pistes cyclables
Lors d'un trajet à vélo, un cycliste n'est donc pas dans l'obligation d'utiliser une piste cyclable (hormis panneau rond). Ainsi, un cycliste peut emprunter la route, c'est-à-dire là où les véhicules circulent, plutôt qu'une piste ou bande cyclable.
Le Code de la route prévoit également la possibilité d'autoriser les piétons à circuler sur une piste cyclable lorsqu'aucun trottoir n'est aménagé. Si un couloir n'est pas affecté à chacun, les piétons doivent marcher en sens contraire de la circulation des vélos pour leur assurer une bonne visibilité.
Comme le constate le même sondage Opinionway, tous les dangers, sans aucune exception, ressentis par les cyclistes interrogés, se rapportent au comportement des conducteurs motorisés : véhicule qui frôle, circulation rapide, ouverture de portière, angle mort, traversée de carrefour…
Traverser lorsque le petit bonhomme est vert. Le bonhomme rouge signifie le danger, et le risque d'accident. Vérifier que les véhicules soient arrêtés avec de traverser, y compris sur un passage piéton. Avant de traverser, il faut regarder « à gauche, puis à droite, et encore à gauche ».
412-42 dudit code impose la circulation des groupes de piétons sur le bord droit de la chaussée pour des raisons évidentes de sécurité. En effet, la circulation sur le bord gauche de la chaussée d'un ensemble de personnes de la taille d'un grand véhicule s'assimile à la circulation d'un véhicule à contresens.
Si vous êtes seul, marchez sur le côté gauche de la route de manière à voir arriver les voitures en face de vous. Si vous êtes en groupe : Marchez en file indienne du côté gauche de la route pour les petits groupes (moins de 20 personnes).