Le leader authentique doit faire preuve de transparence relationnelle, c'est-à-dire être honnête et direct dans ses rapports avec les autres. Il n'a pas d'intention déguisée et donne toujours l'heure juste à son équipe.
Est-on ou pas un leader? En fait, à peu près tout le monde possède en soi les germes du leadership. Dès le moment où une personne coordonne l'activité d'une ou plusieurs personnes ou encore si elle est prend la responsabilité d'un projet, d'une situation, elle est exposé à l'exercice du leadership.
Le leadership peut être potentiellement exercé par toute personne, quelle que soit sa position hiérarchique. Le leader peut donc être celui qui a du leadership, ou celui qui est en position d'autorité. L'idéal est la conjonction des deux !
Nous voyons ainsi que l'on peut devenir un manager-leader par ses capacités personnelles propres (l'inné), par la formation et par l'apprentissage (l'acquis) ; tout ceci pouvant être fortement favorisé par les rencontres que l'on peut faire en entreprise et par les environnements de travail dans lesquels on peut être ...
Le rôle du manager consiste donc à respecter 4 points clés : Impulser la cohésion d'équipe. Maintenir la motivation. Déléguer les tâches et l'organisation.
Les grands leaders sont loyaux
Etre loyal, ou inspirer la loyauté, revient à avoir de la transparence, de la confiance et de l'authenticité. Les grands leaders s'impliquent avec leurs équipes. Ils rendent compte à ceux qui en font de même et n'hésitent pas à accorder la confiance dans le but d'en avoir en retour.
La première catégorie de mauvais leaders est celle des leaders distants. Les leaders distants basent leurs relations avec leur équipe sur l'émotion. La communication n'est pas professionnelle, centrée sur les émotions et les ressentis. Le doute et le scepticisme sont roi et sapent les bases de la confiance.
Selon K. Lewin, psychologue américain spécialiste des relations inter-personnelles, on peut distinguer trois types de leadership : le leadership autoritaire, le leadership démocratique et le leadership permissif ou “du laisser-faire”.
Le leader est un état d'esprit, il est respecté pour le travail accompli, ses objectifs et ses idées. Le manager est une fonction, supervisé par son supérieur qui l'a choisi pour gérer une équipe, mener à bien un projet.
N'est pas leader qui veut. Le leadership bien plus que le management est un don.
Naturellement autoritaire, le leader rassure et inspire confiance. Egalement populaire et charismatique, son influence lui permet de galvaniser les foules. Quand le manager serait un simple gestionnaire, le leader aurait une vision.
Manager une équipe difficile implique de se comporter en véritable leader : en donnant un cadre, en faisant preuve d'autorité sans être tyrannique, en étant à l'écoute et proactif. Ces qualités sont d'autant plus importantes en cas de conflits ou de comportements délétères.
Dans les entreprises traditionnelles, il existe tout simplement une hiérarchie : le directeur est au sommet et en dessous de lui se trouve un réseau de managers et d'employés assurant le fonctionnement de l'entreprise.
Le leader se doit donc de faire en sorte que son équipe lui fasse confiance ; il doit pour cela donner l'exemple, respecter ses engagements, faire ce qu'il dit et dire ce qu'il fait, soutenir ses collaborateurs y compris lorsqu'ils se trompent, leur porter de l'attention et leur montrer de la reconnaissance en cas de ...
Un leader charismatique doit avoir une vision très claire et savoir la partager avec passion. Plusieurs points doivent être réunis pour qualifier un leader charismatique : la force de conviction, la capacité de mobiliser ses équipes, l'envie de les guider et, surtout, la volonté d'aboutir et de réaliser son projet.
Un Team Leader en entreprise a une fonction à la frontière des postes de manager et de chef de service. En tant que tel, il aura pour tâche de participer au développement et à la motivation de ses collaborateurs. Pour cela, il doit maîtriser des compétences clés en management et faire preuve de leadership.