Un bon vendeur, écoute, analyse, conseille et rassure. Il doit savoir aller au-delà d'un simple argumentaire commercial pour installer une relation de confiance avec son client. Un exercice délicat ! Dans les allées d'une boutique, le vendeur est l'élément clé pour transformer un badaud en client.
Avoir une grande connaissance des produits de sa marque (leur provenance, leurs qualités, leurs matières ou leur prix) Être à même d'argumenter de façon juste et efficace en faveur de sa boutique ou de son enseigne. Reconnaître les différents types d'objection client et y répondre de manière efficace et professionnelle.
Comment doit-on regarder ses clients pour réussir ses ventes ? Le regard est le moyen le plus direct d'expression de la personnalité d'un commercial. On peut parler avec son regard, car il est l'expression muette de nos sentiments et certains regards en disent souvent plus long que toute une conversation.
Chaque étape de la journée du vendeur fait l'objet d'une scénette : réception des marchandises, gestion des stocks, présentation du rayon et de la vitrine, gestion d'une vente, les scènes sont présentées par une légende en superposition.
Privilégiez toujours un vêtement à la bonne taille avec une bonne coupe ! Et n'hésitez, pas à questionner le vendeur sur la valeur ajoutée qu'apporte chaque tissu. S'il est vague dans ses explications, cela confirmera qu'il cherche seulement à vous faire acheter.
Ce'est le meilleur vendeur du monde. Et pas une fois par hasard mais pendant 12 années consécutives de 1965 à 1977, cet individu a été reconnu officiellement comme étant le meilleur vendeur (Livre Guinness de Records).
Le métier de vendeur est associé à un salaire moyen d'environ 1 700 à 2 500 euros bruts par mois. Cela correspond à un peu plus de 20 000 à 30 000 euros bruts par an. Le salarié disposera d'un taux horaire net de plus de 8,50 euros, et percevra entre 1 300 et 1 950 euros nets par mois.
Pour argumenter, un commercial doit s'entraîner à utiliser un vocabulaire positif. Il doit éliminer les négations (exemples : « impossible », « ne…pas »…) et les mots négatifs qui pourraient être mal perçus par ses clients (exemples : « cher », « problème », « compliqué », « difficile »…)
En observant la façon dont se déroule une relation de vente, on peut identifier quatre séquences qui s'enchaînent : il faut tour à tour accueillir son interlocuteur, découvrir ses besoins, lui proposer un bien ou un service adapté, conclure la vente et prendre congé.
Etape 1 : Prise de contact avec le prospect (guide complet ici) Etape 2 : Découverte et recherche de la problématique du prospect et du besoin client. Etape 3 : Argumentation et pitch. Etape 4 : Traitement les objections.
Donnez au client le bénéfice du doute, gardez votre calme, laissez-le partager sa colère et dites poliment, par exemple, avec un ton plus bas que lui : « Je vois que vous êtes incommodé et je souhaite vraiment vous aider.