Pour cela, tu peux sortir au trapèze si c'est possible sur ton bateau, ou faire du rappel contre les filières. (En sortant les jambes du bateau). A moins de vouloir finir à l'eau, il faut toujours faire du rappel ou du trapèze au vent du bateau ! Cette méthode permet de réguler la gîte sans perdre de vitesse.
Choquer revient à laisser filer doucement une manœuvre qui permet le réglage des voiles (les écoutes). "Choque le foc" revient laisser un peu de mou dans l'écoute de foc. Quand on choque, on donne du mou. Attention, à ne pas confondre avec "larguer" qui lui signifie qu'on lâche toute la tension d'un coup.
Ce qui empêche un voiliers de chavirer dans des conditions « normales », c'est le fait de posséder une quille qui le maintient à la verticale et lui offre une résistance pour l'empêcher de dériver latéralement dans l'eau.
Origine : l es trappeurs nord-américains transportaient, à bord de leurs canoës, les peaux d'animaux salées pour la conservation. Lorsqu'il leur arrivait de chavirer, les peaux tomant à l'eau étaient ainsi "dessalées" . L'expression s'est étendue à l'ensemble de l'embarcation.
De 5 à 20 nœuds
C'est idéal pour pratiquer la voile habitable ou la voile légère, type dériveur. Les conditions sont maniables à toutes les allures — même au près — et l'on peut naviguer toutes voiles dehors. L'état de la mer est généralement assez calme et les vagues sont souvent inférieures à 1 m.
- Le grand largue : l'axe entre le bateau et le vent est approximativement compris entre 120 et 170 degrés. C'est l'allure la plus rapide car la force du vent s'exerce au maximum dans l'axe du bateau.
C'est pour cette raison que la mode est aux doubles barres à roue (une à tribord et une à bâbord). Elles permettent de libérer l'accès à la mer et facilitent la circulation du cockpit (en étant renvoyées vers l'arrière) .
L'origine est la recherche excessive de vitesse et/ou le mauvais placement des équipiers. Les grands navires chavirent généralement à la suite d'une accumulation de problèmes, et/ou d'erreurs humaines. Les entrées d'eau qui s'ensuivent entraînent généralement la perte du navire.
En termes plus simples, le chavirement se produit lorsqu'un bateau, un navire ou un autre navire se renverse et commence à couler. Cela peut arriver rapidement et sans avertissement. Le chavirement se produit lorsque le poids du bateau ou du navire dépasse la résistance de la coque ou du pont.
La poussée d'Archimède
Comme des fils invisibles donnent son mouvement à une marionnette, gravité et poussée d'Archimède agissent en des points précis du navire : le centre de gravité (G) pour le premier, le centre de carène (C) pour la seconde. A l'équilibre, ces deux points sont alignés selon la verticale du navire.
Les marins surveillent un autre point qui est très important et qui s'appelle le centre de carène : c'est le point sur lequel s'applique la poussée d'Archimède. Il se trouve au centre de la partie immergée du navire. Cette position varie donc en fonction des mouvements du navire.
Dans presque tous les cas, un bateau se renverse parce que le vent est trop fort. Généralement, cela prend la forme d'une rafale qui dépasse le lest. Ainsi, un bateau peut naviguer par gros temps et sembler aller bien, mais une rafale soudaine le fait chavirer.
le conducteur de l'embarcation doit demeurer à proximité de la personne naufragée, tout en ralentissant; il approche la personne en demeurant sous le vent; il ferme les moteurs; il récupère la personne à la mer à l'aide de l'échelle ou d'un harnais.
La solution consiste à choquer l'écoute et le hale-bas de grand-voile en grand et à « pomper » sur la barre pour abattre. Lorsque le bateau repart, veillez à vite compenser à la barre et à l'écoute sous peine de finir à l'abattée dans le mouvement inverse.
Sur un voilier, border signifie ramener une voile plus près du bordé, la coque du bateau cela consiste également à aplatir une voile en fin de manœuvre. On utilise une manœuvre courante (un cordage, comme une écoute).
Il suffit de choquer la voile et de pousser la barre. La fin de la manœuvre est la même que pour s'arrêter au près. On ne s'occupe pas de la voile ; elle est déjà choquée à fond. Il suffit de pousser sur la barre pour faire lofer le bateau.
La prise d'air peut provoquer une panne du moteur car elle favorise la formation d'une bulle d'air dans le circuit du gasoil. Bien que ce type de problème ne soit pas toujours perceptible à l'œil nu, il convient toujours de purger le circuit pour tenter d'évacuer l'air qui bloque l'arrivée du carburant jusqu'au moteur.
Une pompe de cale est conçue pour évacuer le plus rapidement possible l'eau et les autres liquides de votre cale.
1 — Utilisez la pompe d'eau de mer du moteur
Cette eau sera aspirée par la pompe moteur pour le refroidissement. En cas de problème électrique, ce système peut être un palliatif à la pompe électrique.
Dans ce cas, utilisez plusieurs dispositifs de flottaison pour maintenir l'ancre à flot pendant que vous vous rendez en eau plus profonde. Veillez aussi à porter des vêtements de flottaison individuels et à vous attacher à votre bateau pour pouvoir revenir même si vous êtes fatigué.
Si possible, grimper sur un objet flottant proche pour sortir de l'eau la plus grande partie possible du corps. Limiter la perte de chaleur en croisant les bras serrés sur la poitrine et en relevant les cuisses près des bras (position fœtale).
Ce signal de détresse consiste en une flamme rouge au bout d'une torche à la main. Ce feu a une visibilité limitée à la surface, mais est le meilleur moyen de repérer votre position depuis les airs et brûle environ une minute.
Le volant est sur le côté droit de l'embarcation à moteur pour des raisons mécaniques. L'hélice d'un bateau tourne dans le sens horaire. Il faut donc un contre-poids à droite du bateau (le conducteur) pour compenser l'effet de la rotation de l'hélice.
La barre d'un navire (ou barre de gouvernail ou barre de pilotage ou, si en forme de roue, barre à roue) est utilisée pour orienter un navire à moteur ou à voile dans la direction voulue.
Pour diriger le bateau dans la direction souhaitée, il suffit de tourner la roue du gouvernail ou de manœuvrer la barre. Écoutes : ce sont des cordages qui servent à régler les voiles, les écoutes font partie du gréement courant.