Evitez les répétitions de trois manières : 1- en utilisant un pronom personnel ; 2- en changeant la construction de la phrase ; 3- en utilisant un synonyme ou un équivalent. Ex : Tu m'as prêté un livre.
L'anaphore rythme la phrase, souligne un mot, une obsession, provoque un effet musical, communique plus d'énergie au discours ou renforce une affirmation, un plaidoyer, suggère une incantation, une urgence.
"Nous" peut aussi être un substitut du "je", par emphase ("Nous, Roi de France...") ou au contraire par modestie (dans une dissertation ou une thèse, lorsque le "je", par principe, est interdit : "Nous allons démontrer que...")
La répétition
C'est une figure d'insistance consistant à répéter un mot, une expression, un groupe de mots ou un ensemble de mots. L'opération consiste donc à ajouter des éléments identiques, « les uns sur les autres ».
La répétition porte sur l'ouverture et sur la clôture, ou encore sur les deux. À l'ouverture, c'est l'anaphore (A…/ A…), à la clôture, c'est son pendant, l'épiphore (… A/… A) ou sa forme atténuée, l'épanode, qui admet des variations (…
Psittaciste, subst.,rare. Personne qui pratique le psittacisme, qui répète sans réfléchir. Pascal (...) n'aura pas été un janséniste pour rire, un psittaciste, un simple ergoteur (Bremond, Hist.
Définition de répétition nom féminin
Des répétitions inutiles (➙ redite, redondance ; pléonasme, tautologie).
ON est un pronom (im)personnel qui s'utilise comme il ou nous. On peut le remplacer par il. ONT est l'auxiliaire avoir conjugué au présent, on peut le remplacer par "avaient".
"Réfléchir aux actes passés peut vous aider à ne pas répéter vos erreurs. Il est important d'étudier ce qui s'est mal passé, ce qui aurait pu être mieux réalisé, et comprendre comment faire les choses différemment la prochaine fois", estime Morin.
La répétition peut augmenter la crédibilité perçue d'une information, comparativement à une nouvelle information. On a tendance à renforcer (irrationnellement) notre croyance envers une information si celle-ci nous parvient de manière répétée.
Améliorer sa syntaxe et sa grammaire
Pour ce faire, il n'y a pas de secret, il existe une habituation de l'oeil et du cerveau aux formes correctes : il faut donc essayer de lire très régulièrement des textes bien rédigés (romans, articles de journaux, articles web de qualité, etc.) afin de « se faire l'oeil ».
Le mot « il y a » : -il peut être supprimé en changeant la phrase et en utilisant un verbe plus précis. Dans cette pièce, il y avait un coffre. Dans cette pièce, se trouvait un coffre. Dans cette pièce, un coffre était posé.
La stéréotypie, étymologiquement le « caractère figé », est en psychiatrie un des symptômes, le principal, du syndrome catatonique. Il se caractérise par une « itération » ou par une « fixation invariable » soit d'un ou plusieurs gestes soit d'un ou plusieurs mots sans but utile ni intention significative.
Pourquoi certaines personnes ne finissent-elles pas leurs phrases ? - Quora. Quelques hypothèses : on peut être décontenancé par la personne en face de soi (regard, ton de voix…) et on peut avoir peur d'être jugé au milieu de la phrase on pense que l'autre a déjà compris ce qu'on veut dire.
Pour faire simple, il s'agit de nos schémas erronés de construction psychologique ou schémas d'inadaptation qui nous maintiennent dans ces croyances négatives sur nous-mêmes. Ces schémas nous poussent de manière inconsciente à répéter le même type de fonctionnement qui est souvent autodestructeur ou insatisfaisant.
L'épiphore est le contraire de l'anaphore puisqu'elle consiste à créer une répétition d'un mot ou groupe de mots en fin de phrase.
Donc, à la Comédie-Française, aujourd'hui, la toute dernière répétition ne s'appelle plus la Générale, mais la Couturière, et ce nom est assez ancien également.
Surtout utilisée en poésie, l'anaphore, aussi appelée anaphore rhétorique, est un procédé de reprise qui vise à produire un effet de symétrie, d'insistance ou de renforcement.
Tournures pour la remplacer :
[xx] se dresse, se trouve, se tient… Remplacer il y a nécessite souvent une reformulation. Ex. 1 : Il y a du soleil.
« C'est pour ça », c'est plus familier, c'est moins joli que « c'est pour cela », mais ces deux expressions sont les mêmes : c'est pour ça, c'est pour cela. C'est pareil : ce qui vient après est expliqué par ce qui vient avant.