S'adresser directement aux colporteur(euse)s peut être la solution ; faire une mise au point suffit en général. La rumeur est croustillante et la tentation de la répéter est grande. Mais en y réfléchissant elle peut être source de mal être de la personne concernée...
Elles aidaient même certains à atteindre leurs objectifs, comme trouver un conjoint ou connaître l'humeur et les malheurs d'un autre. À un niveau plus profond, le besoin psychologique fondamental sous-jacent aux commérages est la nécessité d'éliminer l'incertitude.
La rumeur est grave et crédible : rétablissez la vérité de façon factuelle, sans être dans l'émotion. Vous pouvez vous adresser directement aux personnes à l'origine des « on-dit » en mettant la situation au clair, ou rétablir les faits via un e-mail ou à l'occasion d'une réunion.
Identifie le manque d'assurance.
Une autre raison qui pousse les gens à répandre des médisances est le manque de confiance en soi. La personne qui parle mal de toi le fait peut-être parce que cela lui permet de se sentir mieux !
Posez des questions comme « Est-ce à moi que tu lances cette pique? » ou « Que voulais-tu dire en pointant tes pouces vers le sol pendant que je parlais? » Ensuite, si votre Sournois répond en se moquant encore de vous, dites quelque chose comme « On dirait bien que tu te paies ma tête? » Il est important de lui ...
Le plus court chemin vers l'amitié
Même si la copine, voisine ou cousine au cœur de nos discussions a parfois les oreilles qui sifflent, ceux qui cassent du sucre sur son dos prennent souvent du bon temps ! Parler d'un tiers crée une connivence, une complicité entre les interlocuteurs. Selon Frank T.
Nouvelle, bruit qui se répand dans le public, dont l'origine est inconnue ou incertaine et la véracité douteuse : Des rumeurs de guerre.
Une rumeur qui circule dans l'entreprise peut engendrer de profonds malentendus et avoir des conséquences désastreuses sur l'implication des salariés. Le manager doit prendre conscience qu'une rumeur si petite soit-elle peut nuire à la réputation de l'entreprise.
(Familier) Qui aime les potins, qui fait des commérages.
Vieux. Marraine d'un enfant par rapport au parrain (ou compère).
Savoir rester neutre
Travailler en entreprise c'est accepter de travailler en communauté. S'il est important de s'impliquer dans la vie de bureau et de s'intéresser à ses collègues, il est fortement déconseillé d'entrer dans une dynamique de commérage.
potinière. Adepte des potins, personne qui aime entendre ou propager des rumeurs, des cancans. Exemple : Il est très potinier. Dès qu'il entend la moindre rumeur, il creuse pour en savoir plus et pour la propager auprès de ses amis.
édification. fait d'éclairer ou d'instruire (apprenez, pour votre édification, que ...)
Synonyme : bourdonnement, murmure, tumulte. – Familier : brouhaha.
En effet, explique la psychologue, la critique permet de s'adapter au monde. Selon elle, on critique les autres de manière à conforter la posture que l'on a prise, une posture "sécuritaire" adoptée en fonction de l'environnement dans lequel on se trouve.
Bon à savoir : le pervers narcissiqueUn pervers narcissique est une personne qui souffre d'un trouble de la personnalité. Celle-ci a une mauvaise image d'elle-même et tente de la changer en dévalorisant et en rabaissant les autres, le plus souvent des proches.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.