Vérifier les coordonnées du site ou de la société : si vous avez un doute, n'hésitez pas à vérifier les coordonnées exactes du site ou de la société. Ne pas communiquer vos coordonnées bancaires par mail : les banques et sociétés sérieuses ne vous demandent pas par mail vos données bancaires.
Sachez protéger vos informations!
Ne déposez jamais vos documents confidentiels – comme un relevé de placement ou de carte de crédit, ou une déclaration de revenus – dans votre bac de récupération. Un fraudeur pourrait utiliser l'information qu'on y trouve. Déchiquetez ces documents.
Vous devez fournir vos identifiants et le numéro de votre carte bancaire. Le récépissé que vous allez recevoir doit ensuite être transmis à votre banque. Vous pouvez également porter plainte directement auprès de l'autorité judiciaire en vous rendant dans une gendarmerie ou un commissariat de police.
Le seul danger étant le vol simultané de votre téléphone et de votre carte. Les porte-monnaie électroniques tels que PayPal ou Paylib (environ 10% du marché) permettent de payer directement via un portefeuille virtuel connecté à la banque, sans avoir à divulguer de numéro de carte au Web marchand.
Le système d'authentification 3D Secure, qui exige de l'auteur d'un paiement en ligne de valider sa transaction via un code à usage unique, reçu par texto. Le seul danger étant le vol simultané de votre téléphone et de votre carte.
Rassurez-vous, le risque est quasi-inexistant. En effet, détenir un numéro de compte bancaire ne permet pas de débiter ce compte, seulement de le créditer. En aucun cas le fait de fournir votre IBAN donne autorisation de prélèvement (le fameux SEPA).
Le cybersquattage ou, en anglais, cybersquatting, est l'enregistrement frauduleux, abusif d'un nom de domaine. Un individu enregistre le nom de domaine d'une marque qui ne lui appartient pas.
Pour être remboursé, vous devez signaler la fraude à votre banque au plus tard 13 mois après la date de débit. Ce délai est de 70 jours si l'établissement du bénéficiaire du paiement se situe hors de l'Union européenne ou de l'Espace économique européen (articles 133-1-1 et 133-24 du Code monétaire et financier).
Pour cela, vous devez d'abord contacter le vendeur. Vous pouvez aussi déposer une plainte sur la plateforme en ligne RLL. Si cette démarche n'aboutit pas, vous devez faire appel au médiateur de la consommation. Enfin, en dernier recours, vous pouvez saisir les tribunaux.
Si donner son adresse mail n'expose qu'aux courriers indésirables, dévoiler son adresse postale permet d'identifier le lieu d'habitation. C'est plus dangereux. C'est pourquoi un enfant ne doit sous aucun prétexte mentionner son adresse personnelle sur Internet sauf avec l'autorisation de ses parents.
Vérifiez l'adresse du site qui s'affiche dans votre navigateur. Si cela ne correspond pas exactement au site concerné, c'est très certainement un site frauduleux. Parfois, un seul caractère peut changer dans l'adresse du site pour vous tromper.
Rester sur ses gardes est conseillé: vérifier l'adresse mail de l'expéditeur ; si elle contient des fautes d'orthographe ou que ce n'est pas l'adresse habituelle, il s'agit probablement d'un message de phishing. Tout hacker intelligent peut faire en sorte que le mail semble provenir d'un compte officiel.
La fraude au RIB, ça existe ? Pour pouvoir vous nuire, un malfaiteur doit réussir à se procurer votre RIB, et pourrait usurper votre identité pour falsifier une autorisation de prélèvement, et ainsi réaliser des paiements via votre compte.
Est-il dangereux de donner son IBAN ? Donner uniquement son IBAN n'est pas vraiment dangereux, puisque les banques en ont besoin dès lors qu'un virement ou un prélèvement doit être mis en place. L'utilisation de ce code par un établissement bancaire est tout à fait sécurisée.
Pour recevoir un virement, la simple transmission de votre BIC/IBAN au tiers lui suffit pour réaliser ce transfert. De même pour émettre un virement vous aurez besoin du BIC/IBAN du bénéficiaire. Vous pouvez réaliser cette opération directement depuis votre espace client sécurisé.
Comment puis-je savoir qui a utilisé ma carte bancaire ? De manière légale, la seule solution pour savoir qui a utilisé votre carte bleue est de retrouver les destinataires des différents paiements. Par la suite, il vous faudra leur demander de vous communiquer l'adresse d'expédition des colis.
Parfois, https est remplacé par SSL. Attention : si on doit saisir son numéro de carte bancaire, la date d'expiration et le cryptogramme (le code à 3 chiffres au dos de la CB), on ne doit jamais communiquer son code confidentiel à 4 chiffres.
Il existe plusieurs techniques de fraude, dont les principales sont : le clonage (ou skimming) : les pistes magnétiques de la carte de paiement sont copiées dans un commerce de proximité ou dans des distributeurs automatiques à l'aide d'un lecteur à mémoire.
C'est en quelque sorte la carte d'identité de votre compte bancaire. Il contient toutes les informations nécessaires pour faire des virements ou des prélèvements sur votre compte. Communiquer son RIB est nécessaire quand vous avez choisi de régler l'électricité ou le gaz par prélèvements bancaires.
Si vous avez cliqué sur le lien, vérifiez l'adresse du site Internet qui s'affiche dans votre navigateur. Si cela ne correspond pas exactement au site concerné, c'est très certainement un site frauduleux. Parfois, un seul caractère peut changer dans l'adresse du site pour vous tromper.
N'oubliez pas, comme le phishing par e-mail, le hameçonnage par SMS est une escroquerie qui consiste à tromper la victime et à la faire coopérer en cliquant sur un lien ou en fournissant des informations. En effet, la protection la plus simple contre ces attaques consiste à ne rien faire.
La plupart des technologies anti-phishing se basent sur l'empreinte, un identifiant unique associé à un email et calculé à partir de son en-tête, son pied de page, son objet ou son corps de message. Lorsque le filtre de messagerie reconnaît une empreinte, il bloque l'email correspondant.