Exceller dans la vie peut être aussi simple que se montrer gentil avec les gens, être plus organisé, envisager des changements de vie plus importants, comme un changement de carrière ou faire l'effort de passer davantage de temps avec votre famille et vos amis.
Faire semblant de lui demander un conseil alors que l'objectif est de lui faire un compliment : « Comment avez-vous réussi à boucler cette fusion aussi brillamment ? » Commencer par lui résister avant de se ranger à son avis : « « Au début, je n'étais pas tout à fait d'accord, mais maintenant c'est très clair.
Exceller repose en grande partie sur du savoir-savoir, savoir-faire et savoir-être. Monter sur l'échelle de l'excellence demande donc d'assimiler les principes techniques du sujet que vous souhaitez maîtriser. Pour ce faire, les recours sont multiples : formation, entraînement, binôme, mentoring, tutorat, etc.
C'est exprimer son point de vue, ses émotions, dire ce qui ne va pas à un collaborateur ou à son supérieur, dit Jean-Michel Milon. Dire non avec diplomatie évite aussi d'être débordé, donc favorise la pêche.
Un collègue toxique se met toujours en avant. Enfin, vous réaliserez rapidement qu'un collègue est toxique à sa façon de se comporter avec la direction. Il critique en permanence ses supérieurs mais quand ils sont là il fait en sorte de leur donner toujours raison.
C'est une façon d'attirer l'attention sur quelque chose que l'on reproche à l'autre. Ou, de façon très indirecte, de manifester que l'on a peur de lui. Celui qui est ignoré devient mal à l'aise. Il ressent une insécurité, car à tout moment, la situation peut dégénérer en conflit.
Flatterie, cirage de pompes, mise en avant de soi-même (parfois au détriment de vos collègues de travail), mimétisme, comportement tellement exemplaire et obséquieux qu'il en devient risible et contreproductif… Cette attitude n'est pas forcément la plus indiquée pour être bien perçu par sa hiérarchie.
Pour se moquer de quelqu'un de très zélé, on dit que c'est un fayot. Ce terme est né dans le monde de la marine militaire au milieu du XIXe siècle. A cette époque, ce type de haricot était très souvent servi lors des repas à bord des bateaux, en raison de son prix très faible et de son excellente conservation.