Ces inégalités s'expliquent principalement par la place des femmes dans le marché de l'emploi : les femmes sont concentrées dans 12 familles professionnelles, dévalorisées financièrement et socialement, où les qualifications et la pénibilité ne sont pas reconnues.
Une multitude de facteurs – stagnation des salaires et baisse de la part des revenus du travail, déclin progressif de l'État-providence dans les pays développés, protection sociale insuffisante dans les pays en développement, changements dans la fiscalité, déréglementation des marchés financiers, évolutions ...
Les chiffres clés
244 millions d'enfants âgés de 6 à 18 ans dans le monde ne sont pas scolarisés dont 118,5 millions de filles. Chaque année, 12 millions de filles sont mariées avant l'âge de 18 ans. En temps de crise, les filles ont 2,5 fois plus de risques d'être déscolarisées que les garçons.
Même si les femmes indiennes sont de plus en plus nombreuses à travailler, la majorité d'entre elles, à savoir les plus pauvres, travaillent parce qu'elles n'ont jamais eu le choix, pour des salaires nettement inférieurs à ceux des hommes (à l'exception des emplois de la fonction publique).
Indira Gandhi est veuve en 1960 et première ministre de l'Inde en 1966. La Constitution de l'Inde garantit l'égalité aux femmes (article 14), l'absence de discrimination par l'État (Article 15-1), l'égalité des chances (Article 16), l'égalité de salaire à travail égal (article 39-d).
En Inde, les raisons avancées pour ne pas vouloir de filles sont toujours les mêmes : économiques, sociales, claniques, au premier rang desquelles échapper à la dot qui ruine les familles lorsqu'il faut marier les filles. "Personne ne veut accoucher d'une fille.
Premièrement, il faut investir dans le capital humain féminin. Les avancées obtenues en permettant aux femmes d'accéder équitablement aux denrées alimentaires, aux soins de santé et à l'éducation sont particulièrement importantes dans les pays émergents et en développement.
33% des femmes de 16 à 24 ans pratiquent une activité une fois par semaine, soit 12 points de moins que chez les hommes. Un écart qui s'explique surtout par la persistance de certains stéréotypes : une personne sur deux considère encore que « certains sports conviennent mieux aux garçons qu'aux filles », selon l'Insee.
Pour démontrer une inégalité, on peut s'appuyer sur une des inégalités déjà connues et appliquer des opérations qui conservent ou renversent l'inégalité. Pour tout x ∈ R, −1 ≤ sin( x ) ≤ 1 et −1 ≤ cos( x ) ≤ 1. Pour tout x ∈ R, e x > 0.
Ces différences, qui structurent le monde du travail, entraînent un autre type d'inégalité fortement présente dans notre modèle actuel : les inégalités salariales. Encore aujourd'hui, les hommes restent rémunérés en moyenne 24,4 % de plus que les femmes. A poste et compétences égales, l'écart salarial est de 4 %.
La parité signifie que chaque sexe est représenté à égalité dans les institutions. C'est un instrument au service de l'égalité, qui consiste à assurer l'accès des femmes et des hommes aux mêmes opportunités, droits, occasions de choisir, conditions matérielles tout en respectant leurs spécificités.
Donner la priorité aux agendas localisés et construire des réseaux et des alliances qui centrent les initiatives provenant d'organisations de base qui s'attaquent à l'inégalité des genres et aux droits des filles et des femmes dans et par l'éducation.
Définition de disparité
La disparité est le manque de parité, d'égalité, d'harmonie entre des personnes ou des choses que l'on compare. La disparité qualifie ce qui n'est pas pareil, ce qui est différent, varié dissemblant, contrasté, disproportionné.
Une forte inégalité est injuste, car elle suscite chez les plus démunis un désir de nuire aux mieux lotis, ce qui porte atteinte aux intérêts de tous les membres de la société.
La promotion de l'égalité entre les sexes est essentielle dans tous les domaines d'une société saine, qu'il s'agisse de réduire la pauvreté ou de promouvoir la santé, l'éducation, la protection et le bien-être des filles et des garçons.
Les inégalités sont en hausse et elles nuisent à l'économie, à la démocratie et à la société. Les écarts excessifs de richesses et d'opportunités affectent tout le monde. Souvent présentées comme inéluctables, elles sont le reflet de choix de société.
L'approche de "genre", c'est-à-dire l'analyse et la prise en compte, dans tous les domaines, des rapports sociaux entre femmes et hommes, est essentielle pour atteindre les objectifs d'égalité (...) Genre, égalité, parité, équité, mixité... Sexisme, phallocratie, patriarcat, misogynie, féminisme, anti-féminisme...
Dans le monde occidental, les homosexuels, transgenres et intersexes ont été décrits comme faisant partie d'un troisième sexe, bien que certains contestent cette qualification.
Il s'agit notamment des lesbiennes, des gais, des bisexuels, des transgenres, des intersexués et des personnes dites queer. Non binaire. Personne qui conçoit le spectre des genres comme n'étant pas exclusivement masculin ou féminin et dont l'identité de genre se situe en dehors du modèle de genre binaire.
Les habitants des villes de l'Inde font l'amour en moyenne une fois par semaine. Les hommes sont stimulés d'abord par la poitrine des femmes, tandis que celles-ci préfèrent l'allure générale et la musculature de leurs partenaires, indique une étude.
POURQUOI LES INDIENNES PORTENT-ELLES UN POINT ROUGE SUR LE FRONT ? Le tilak, tika ou pottu est une marque portée sur le front par des Indiens. C'est une marque censée porter bonheur, appo- sée au cours d'une cérémonie religieuse ou en guise de bien- venue ou bien le tilak indique l'appartenance à un groupe re- ligieux.
Quelque 82% des Indiens interrogés affirment «aimer» la France. Ce sont les plus grands fans de l'hexagone. Pour eux, le pays est avant tout «cultivé, intelligent et créatif». Ils estiment que le rayonnement français est avant tout culturel.