On peut gagner de l'argent en donnant l'accès à sa forêt à des chasseurs. Les chasseurs ont besoin d'espaces boisés pour chasser, mais ne peuvent le faire sans l'accord de son propriétaire. Vous pouvez donc proposer votre forêt à des chasseurs qui vous paieront un droit de chasse.
Le prix moyen des forêts non bâties est de 4 190 €/ha, en baisse de 1,1%. Les prix sont compris entre 620 et 12 470 euros/ha, selon les disparités régionales, la qualité des biens mis sur le marché, et la concurrence entre acheteurs, pour 90% des ventes.
« Le rendement est lié à la croissance des arbres. Sur du chêne on va obtenir 1,5% à 3% par an. Mais avec des pins Douglas il est possible de monter à plus de 8%.
Il vaut mieux préparer le sol en ajoutant du compost. Placez ensuite les plantes choisies dans les trous qui ont été creusés et arrosés. Vous pouvez ajouter du paillis de feuilles ou d'écorce de plantes boisées naturelles pour finaliser votre jardin.
Deux possibilités s'offrent à vous : La vente de bois sur pied : vous mettez en vente une partie ou la totalité des arbres de votre parcelle en l'état. Les produits sont vendus sans être abattus ni débardés. Vous devez indiquer les itinéraires de sortie des bois de la forêt et les places de dépôts.
Le concept est simple. On achète et devient propriétaire d'arbres auprès d'Ecotree, qui s'occupe de la plantation et de l'entretien des forêts. Les arbres achetés séquestrent du carbone et favorisent la biodiversité. On peut voir leur localisation, leur valorisation et une estimation du CO2 absorbé.
Le paulownia absorbe, selon Arbrepaulownia, 10 fois plus de C02 et produit 4 fois plus d'oxygène que d'autres arbres. Enfin, le paulownia offre l'avantage de pouvoir être planté quasiment partout en France que ce soit en fonction du climat ou de la qualité du sol.
Des essences performantes à utiliser aux bons endroits
Le sapin pectiné et le pin sylvestre, conduits correctement, donnent aussi des produits de qualité que nos scieurs du massif vosgien savent exploiter. Enfin, les douglas et mélèzes, autrefois "boudés" par les industriels locaux, sont aujourd'hui très recherchés.
Le prix moyen national des forêts non bâties cède 1,1 % en 2019, à 4 190 euros/ha.
L'achat d'une parcelle de bois bénéficie de conditions fiscales intéressantes. Elle peut se faire directement en contactant un notaire ou une société d'aménagement foncier et d'établissement rural (SAFER), ou indirectement en passant par une société civile immobilière de groupement forestier.
Le chêne a progressé de 39 % pour atteindre un prix moyen de 225 €/m³ sur pied pour un volume unitaire de 1,7 m³. En bon choix, la progression tourne autour de 60 %. Le label UE concernait environ 20 % de la récolte. Le hêtre demeure assez stable, autour de 47 €/m³, toutes régions et toutes qualités.
Les rendements de l'investissement dans les forêts tournent généralement autour de 2 % nets par an, selon Les Echos, pouvant monter jusqu'à 3 %. Ils ont notamment diminué avec l'augmentation des prix du foncier forestier. Gardez en tête que les revenus provenant des coupes sont espacés dans le temps.
Investir dans la forêt permet de se constituer un patrimoine tangible, décorrelé des marchés financiers et immobiliers. La diversité des forêts en fait alors un outil de diversification patrimoniale vert et durable. Chaque groupement forestier dispose de sa propre stratégie d'exploitation.
2 Un avantage successoral
Les bois et forêts, ainsi que les parts de groupements forestiers peuvent bénéficier d'un abattement des ¾ de leur valeur lors de succession ou de donation. Ainsi, investir en forêt peut donc être un placement en vue d'une transmission de patrimoine avec des droits de succession réduits.
Avec une productivité telle que l'on estime souvent que 2 plants suffisent pour nourrir tout l'été une famille de 4 personnes, la courgette se place comme un des légumes les plus rentables à cultiver !
Les plants des pépinières du MFFP font aussi l'objet de distributions d'arbres gratuits aux citoyens de toutes régions par des organismes reconnus, au cours du mois de mai dans le cadre du « Mois de l'arbre et des forêts ».
L'exploitation du bois conduit aussi à la destruction des arbres secondaires et des espèces de sous-étage qui fournissent des PFNL. Les dommages sont associés à la chute des arbres et au passage de gros engins qui détruisent aussi les PFNL.
Aujourd'hui, l'exploitation irresponsable des forêts a des conséquences sociales et environnementales très lourdes. Réduction de la biodiversité, érosion, pollution de l'eau ou perturbation de son cycle, voir même, déforestation. Des impacts d'autant plus préoccupants que la demande ne cesse d'augmenter.
L'exploitation forestière mondiale illégale génère un ensemble de problèmes écologiques et sociaux. La destruction de la forêt tropicale humide libère une quantité importante d'émissions de gaz à effet de serre, menace la biodiversité et met en péril d'autres « services de l'écosystème » tels que l'eau propre.