Les adverbes et locutions adverbiales "c'est pourquoi", "à cause de cela", "c'est pour cela", "aussi", "ainsi", "par conséquent", "en conséquence", et la conjonction de coordination "donc" introduisent l'expression de la conséquence. Elle a froid, c'est pourquoi elle tremble.
Une cause présente la raison de quelque chose, c'est un élément qui en produit un autre, c'est un fait qui en entraîne un autre, etc. Une conséquence explique ce qui arrive (l'effet), c'est le résultat de quelque chose (les répercussions).
Les termes et structures qui expriment la cause sont : parce que, puisque, comme, car, en effet, étant donné (que), vu (que), du fait de, en raison de, faute de, sous prétexte que, suite à, à cause de, grâce à, pour et par.
Les termes et structures qui expriment la conséquence sont : donc, alors, ainsi, en conséquence, par conséquent, c'est pourquoi, si bien que, de manière que, de façon que, de sorte que, si … que, tellement … que, au point de/que, à tel point que, un tel … que, une telle … que, de tels … que, de telles … que, il suffit ...
parce que, comme (toujours en début de phrase), puisque (en début de phrase), vu que, sous prétexte que (quand la cause ou l'excuse données sont fausses ou discutables), étant donné que, du fait que, d'autant (plus) que, du moment que...
2) Dans une phrase complexe,
la proposition subordonnée circonstancielle de conséquence (ou subordonnée consécutive) est introduite par une conjonction de subordination : .de sorte que, si bien que, au point que. Tu as bougé, si bien que la photo est ratée.
On pourrait dire : « en effet, il est plus intelligent. » « Par conséquent », « ainsi », « alors » et « du coup » sont quant-à eux des adverbes de conséquence, ils introduisent une proposition qui exprime la conséquence de ce qui vient d'être dit.
-> La conjonction de subordination : comme, puisque, parce que , étant donné que, d'autant plus que / d'autant moins que, vu que, sous prétexte que, etc. Ex. : Elle a eu un accident parce qu'elle téléphonait en conduisant.
1. Ce qui est produit nécessairement par quelque chose, qui en est une suite logique : La décision est lourde de conséquences. 2. Caractéristique d'une formule résultant d'une règle d'inférence.
Le but est le résultat que l'on veut atteindre. La conséquence est le résultat atteint.
Connecteurs exprimant la conséquence : donc, ainsi, c'est pourquoi, si bien que, de sorte que,... Connecteurs exprimant l'opposition : mais, or, pourtant, cependant, bien que, même si,... Connecteurs exprimant l'addition : et, en outre, de plus, de même que, ...
Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
Comment exprimer l'opposition ? -> en utilisant un infinitif ou un nom précédé de "au lieu de", "bien loin de", "malgré", "en dépit de", "par contre"... C'est la proposition infinitive ou le groupe nominal qui exprime l'opposition. exemples : Au lieu de pleurer, tu ferais mieux de travailler.
La condition exprime qu'un fait ou un état est indispensable pour qu'en conséquence un autre fait ou état existe. Exemple : si tu es prêt on ira manger ensemble ( à condition que…). L'hypothèse exprime qu'un fait ou un état est imaginé ou supposé. Sa conséquence est donc éventuelle.
MAIS, OU, ET, DONC, OR, NI, CAR sont des conjonctions de coordination. Elles coordonnent ou lient deux mots ou deux propositions de nature ou de fonction identiques.
“Car” est aussi plus utilisé à l'écrit. Finalement, “car”, à la différence de “parce que”, est toujours précédé d'une virgule. Et on ne le trouve pas en début de phrase ! D'ailleurs, “car” ne répond pas à la question “pourquoi ?” Dans ce cas, on doit utiliser “parce que”.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
-conséquence: si...que, tellement...que, tant...que, de sorte que, si bien que, trop... pour, assez... pour... -but: pour que, afin que, de peur que, de crainte que, dans l'espoir que...
On appelle « sujet », le mot qui représente la personne, ou l'animal, ou la chose, et qui fait l'action, qui existe, ou qui est dans l'état exprimé par le verbe. Exemples de sujets : Pascal étudie l'anglais. La Terre est ronde.
La subordonnée circonstancielle de cause indique la raison pour laquelle s'accomplit l'ac- tion : Le poisson rouge est mort parce qu'on a oublié de le nourrir. Subordonnants : comme, du moment que, d'autant plus que, parce que, puisque, sous pré- texte que, etc. Comme il est malade, il ne s'est pas présenté à l'examen.
Les compléments circonstanciels de cause répondent aux questions : pourquoi ?, à cause de quoi ? Ils indiquent donc la raison pour laquelle se déroule l'action : À cause de toi, j'ai tout perdu ! Il a agi par dépit.
Adverbes et conjonctions exprimant l'opposition ou la concession. Les adverbes (et locutions adverbiales) "quand même", "pourtant", "cependant", "néanmoins", "toutefois", "au contraire" et les conjonctions de coordination "mais" et "or" introduisent l'expression de l'opposition et de la concession.
2) Dans une phrase complexe,
parce que, comme (obligatoirement placé en tête de phrase), parce que, puisque (suppose que la cause est déjà connue), étant donné que, sous prétexte que, d'autant que. Puisque vous le voyez souvent, assurez-le que je l'aime beaucoup.