Tu dis par exemple : « j'ai mal au genou, j'ai mal au doigt », si tu as mal à un doigt, « j'ai mal au doigt » parce que doigt et genou sont masculins. « J'ai mal au dos ». Donc, si tu as affaire à un masculin singulier, tu dis « au ». Si le mot qui suit la préposition est un mot au pluriel, tu dis « aux ».
La souffrance peut être physique ou mentale, selon qu'elle se rattache principalement à un processus somatique ou psychique dans un organisme. La douleur (comme sensation), la nausée, la détresse respiratoire, et la démangeaison sont des exemples de souffrance physique.
La façon la plus naturelle d'exprimer sa souffrance est de ne pas hésiter à pleurer : souvent assimilés à un signe de faiblesse, les pleurs sont pourtant la meilleure manière d'évacuer une douleur profonde.
La tristesse est un état d'incapacité à éprouver de la joie, à montrer de la gaieté, se traduisant notamment par les traits du visage affaissés, le regard sans éclat. Synonymes : abattement, affliction, amertume, cafard (familier), chagrin, dépression, ennui, mélancolie, morosité, nostalgie, peine…
Ses yeux devinrent des fentes / se fermèrent / se rétrécirent. Ses yeux s'éclairèrent / s'assombrirent / fixèrent le vide. Ses yeux s'emplissent de larmes / commencent à briller / se révulsent. Yeux écarquillés / baissés.
Si vous ne savez pas de quelle manière vous pouvez aborder le sujet ou si vous n'êtes pas à l'aise, essayez de dire quelque chose comme « Tu sais quoi, je me suis senti un peu bizarre/déprimée/contrariée dernièrement.
Voici quelques exemples de message X Source de recherche . « Je suis triste à cause de ma rupture en ce moment. » « Ça me déprime de ne plus pouvoir danser. » « Je n'ai pas trop le moral parce que mes amis me manquent. »
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail) Des symptômes qui durent dans le temps (plus de 15 jours) et perturbent beaucoup le quotidien de la personne.
L'individu qui en souffre perd contact avec ses désirs, ses goûts, ses affinités. Il se sent vidé de son énergie et a l'impression de mener une vie routinière, monotone et solitaire. L'envie de rien, le manque d'appétit, la sensation désagréable de perdre le sens de son existence, tout cela traduit un mal de l'être.
La pire des souffrances, c'est celle qu'on ne peut pas partager.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Elle est donc paradoxalement une énergie qui nous permet de dire adieu, de quitter une image de soi, un idéal ou une situation matérielle, affective avant de passer à autre chose. «Elle est ce processus à travers lequel, après une période de perte ou de déception, nous préparons une nouvelle version de nous-mêmes.»
1. Perte de toute espérance, abattement total de quelqu'un qui a cessé d'espérer ; affliction profonde, détresse, désespérance : Sombrer dans le désespoir. 2. Personne qui cause un grand chagrin à quelqu'un, qui le décourage : Cet enfant est mon désespoir.
Mettre des mots sur ce que l'on ressent est aussi le meilleur moyen d'exprimer son émotion et donc de ne pas laisser la frustration, les angoisses et le ressentiment s'accumuler.
« le vent en poupe »
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Si on est en désaccord avec cette affirmation, on peut dire “je ne suis absolument pas d'accord avec toi” ou “je ne suis pas du tout d'accord avec toi“. Pour nuancer davantage le propos sans être aussi catégorique, on peut répondre “je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi” ou bien “je n'en suis pas sûr/certain“.
Elle se caractérise par les yeux grands ouverts, sourcils relevés et la bouche qui s'ouvre (le menton tombe). On est bouche bée, on reste sans voix … Généralement elle va rapidement faire place à d'autres émotions : joie, peur, dégout…
Si l'émotion est observée du point de vue externe, ne vous contentez pas de décrire l'expression du personnage concerné. L'émotion se traduit aussi par sa gestuelle, sa posture, ses tics, sa voix (ton, inflexion, débit) …
Voici les mots, à vous de piocher dedans : fâché, contrarié, amer, énervé, rebelle, furieux, renfrogné, hostile, plein de haine, jaloux, mesquin, insatisfait, distant, sous pression, protestataire, provocant, rancunier, révolté, à bout de nerfs, rageur, belliqueux, brutal, mécontent, trompé, trahi, détesté, frustré, ...