La plupart des bijoutiers utilisent des techniques modernes pour fabriquer les bijoux, comme la soudure laser, la gravure numérique ou la conception assistée par ordinateur, ce qui leur permet de répondre à toutes les demandes.
En effet, vous pouvez prendre des cours de bijouterie ou suivre une formation dans une école, et même faire des stages d'initiation auprès de professionnels du métier. Toutefois, certaines personnes choisissent aussi de se former de manière autodidacte, par l'intermédiaire de livres, ou de blogs comme celui-ci.
Le CAP Art et techniques de la bijouterie-joaillerie est la formation de référence. Accessible dès le niveau 3e, elle permet d'acquérir en deux ans les compétences nécessaires, aussi bien sur le plan technique qu'artistique.
Le bijoutier va travailler en exploitant des pièces faites de métal, que celui-ci soit précieux ou non. Il peut varier entre le bronze, l'argent, l'or ou encore le platine. Le joaillier, quant à lui, travaille uniquement avec des pierres précieuses comme des émeraudes, des saphirs ou encore des rubis.
Parmi nos chouchous, on retient Perles&Co, un e-shop qui recense plus de 60 000 références de perles et d'accessoires pour la création de bijoux. Pour varier les plaisirs, nous vous conseillons de vous rendre aussi sur les e-boutiques Creava et La Petite Epicerie.
Ces accessoires peuvent-être de véritables œuvres d'art et découlent de savoir-faire complexes, artisanaux et parfois même ancestraux. Autres caractéristiques : les bijoux de créateur sont réalisés à la main souvent en série limitée pour conserver leur qualité d'exception, de singularité et de préciosité.
L'or ou l'argent liquide passe d'un creuset dans le moule dans une machine utilisant la force centrifuge. Le moule est dissout à l'eau froide et le bijou est fignolé : limé, poncé, poinçonné, poli, cisaillé, nettoyé à l'appareil à ultrasons et lustré à la peau de chamois.
La réponse s'appelle la fonte à cire perdue. Ce procédé consiste à fabriquer un moule de cette cire. Soit en plâtre, soit en caoutchouc, le moule va épouser la forme et les contours de la cire et devient ainsi l'empreinte de votre bague sur-mesure.
Personne qui crée, modifie, répare ou reproduit des bijoux faits de métal précieux ou semi-précieux (bagues, broches, bracelets, pendentifs et médaillons, par exemple), à l'aide d'outils manuels ou mécaniques et dans le but de les vendre.
Employer de la pâte d'argent. Il vous faut une source de chaleur. La pâte d'argent est composée de particules d'argent et de liant organique. Elle se pétrit comme de l'argile, mais il faut ensuite la cuire pour faire fusionner l'argent et éliminer le liant organique.
Communément appelé “inox” , l'acier inoxydable est tout simplement un alliage de fer et de carbone qui a la spécificité d'être résistant à la corrosion et la rouille. Comme son nom l'indique, il ne s'oxyde pas. C'est donc un très bon métal pour la fabrication de bijoux.
Pour faire fabriquer un pendentif, il est recommandé de s'adresser à un professionnel. Bien sûr, vous pouvez créer vous-même vos bijoux. Mais s'ils font intervenir de l'or, de l'argent et des pierres précieuses, jouez la carte de la sécurité en faisant appel à un bijoutier-joaillier expérimenté.
Salaires. En début de carrière, l'ouvrier bijoutier gagne environ 1 500 € brut par mois. S'il est installé à son compte, les revenus du bijoutier-joaillier dépendent de la taille de son entreprise et surtout de l'importance de sa clientèle.
Il s'agit de l'or rempli (gold filled). Les bijoux en or rempli sont composés d'un métal de base, par exemple du laiton, recouvert d'une couche d'or (10 ou 14K) par un procédé alliant pression et chaleur. Cette couche est beaucoup plus épaisse que dans le cas d'un bijou plaqué or.
Le cobalt. Le cobalt est un métal utilisé majoritairement dans les compagnies de joncs pour homme. Sa couleur blanche ressemble énormément à la couleur de l'or blanc, mais puisque c'est un métal moins rare, il est beaucoup moins dispendieux. C'est un métal très résistant avec une très haute durabilité.
Une personne qui souhaite ouvrir un magasin de bijoux fantaisie doit avoir un statut juridique. A partir du moment où ce dernier exerce son activité de manière régulière, il ne peut le faire en tant que simple particulier. La législation en vigueur lui permet de choisir entre plusieurs structures juridiques.
Le BMA (brevet des métiers d'art) parcours bijouterie-joaillerie, qui s'intègre après un CAP bijouterie, pour deux années supplémentaires. Le DMA (diplôme des métiers d'art) parcours arts du bijou et du joyau. Cette formation est accessible aux bacheliers de toute filière, titulaires d'un CAP bijouterie.