Des boîtes de conserve pour fabriquer des tambours
Découpez un morceau de ballon de la taille du cylindre de la boite de conserve. Placez-le sur le dessus de la boîte et tendez-le au maximum, il doit un peu dépasser du bord de la boîte. Fixez-le à l'aide d'un élastique. Le tambour est prêt !
Pour fabriquer ces tambours il vous faut des boîtes de conserve vides, ouvertes d'un côté. Nous vous conseillons d'utiliser les boîtes métalliques avec couvercles en plastique, car l'enfant ne risque pas de se couper comme avec une boîte de conserve ouverte à l'ouvre-boîte.
Les premières traces de l'existence de cet instrument remontent à 6 000 ans av. J. -C. Les tambours accordés sont l'invention des Égyptiens.
Commencez lentement, un coup de chaque main, on dit que l'on joue « en frisé», puis accélérez votre vitesse en veillant à bien toujours laisser les baguettes vibrer sur la peau. Quand vos coups seront très rapprochés vous obtiendrez un roulement.
Pour cela, il suffit d'un bâton en bois, de coton, de plastique et d'un élastique. Placer une boule de coton à l'extrémité de la baguette en bois entourée d'un rond de plastique serré par un élastique. Et voilà, votre djembé aux couleurs de l'Afrique est prêt à vous faire swinguer. En avant la musique !
Une peau de tambour peut être de très fine, comme une feuille de papier 200g, à très épaisse jusqu'à 5mm ! Cela va jouer énormément sur le son, sans compter le grain sonore propre aux peaux de chaque animal. On croit souvent que plus la peau est épaisse, plus le son est grave.
Le corps du tambour s'appelle la quaisse, dont le nom se transporte souvent à tout l'instrument.
Le tama (sérère, wolof, mandingue, bambara) gangan, dumdum (yoruba), kalangu (hausa, songhaï), odondo (akan), lunna (dagomba), karangou ou kalangou, appelé également « le tambour parlant », est un instrument de percussion de la famille des membranophones originaire d'Afrique de l'Ouest.
Glissez 2 perles en bois assez grosses sur la ficelle. Nouez une perle à chaque extrémité de la ficelle. Veillez à faire un nœud solide pour ne pas que la perle se détache à l'utilisation. Appliquez de la colle sur l'arrière d'un de vos cercles de tambour.
Froissez quelques mouchoirs Lotus doux et résistants en forme de petites boules. Collez ces petites boules aux extrémités des bâtonnets pour former les chevilles de la guitare. Enfin, tendez les bandes élastiques autour de la boîte de mouchoirs et fixez-les bien tendues pour que l'instrument fasse du bruit.
Prendre une bouteille en plastique, la laver et l'essuyer. Découper une fente rectangulaire au milieu de la bouteille en plastique avec des ciseaux en plastiques pointus. Demandez à votre enfant de : Découper des bandes de papier dans un vieux journal.
2. Tambour africain fait généralement de bois creux recouvert ou non d'une peau tendue et servant à rythmer chants et danses ou à transmettre un message. Tam-tam africain, nègre; tam-tam des sauvages; son du tam-tam; roulement de tam-tam.
Selon l'Encyclopædia Britannica, la qualité de la sonorité des tam-tams serait due à la composition de leur bronze comprenant quatre-vingts parties de cuivre pour vingt d'étain, ainsi qu'à leur trempe à l'eau froide.
"Démontez" votre tambour de son stand (ou attache), et placez la peau à étouffer sur votre genou (il faut être assis). On peut aussi taper avec la clé sur la peau, pour écouter sa tonalité, mais c'est plus ardu à entendre.
2° Mettre tremper la peau dans l'eau froide (de l'eau chaude la cuirait, bien sûr) pendant quelques minutes ; on apprécie très facilement à la main l'assouplissement de la peau ; ici deux ou trois minutes ont suffi, cette peau de timbre (en veau mort-né) étant très fine.
Une ou deux fois par an passer une noisette d'huile sur la peau (côté externe ou interne pour un tambour poilu) avec un chiffon doux ou votre main (huile d'amande douce par exemple, ou de cameline). Cela va nourrir la peau (comme nous) et l'aider à mieux résister à la sécheresse.